Nuit De Noce Ratée
Le lendemain de son mariage, Lucie, vingt ans, et son mari Gil, prennent le petit déjeuner dans leur chambre. Lucie est vêtue d'une jupette à carreau et d'un sweet. Il est neuf heures.
-Dit, chéri, tu t'es pas bien foulé pour une nuit de noce, fait remarqué Lucie, deux petits coups. Je m'attendais à mieux.
-Je le sais mon amour, j'étais fatigué et j'avais trop bu. Ce soir je me rattrai, c'est promis.
Viens t'asseoir sur mes genoux, lui dit Gil. Peut être qu'une grosse queue va te rendre visite plaisante Gil.
-Que tu es con, lui répond Lucie en s'asseyant sur ses genoux, tu sais bien que je t'aime.
Gil glisse une main entre les cuisses de Lucie.
-Oh, tu es toute mouillé, et sans string, remarque Gil. Vivement ce soir.
Ils se donnent un long baiser et Lucie va prendre une douche.
-En partant, tu penses à faire un voyage à la voiture, lui dit Lucie.
En effet, Gil doit ramener ses grands parents chez eux, entre trois heures et demi et quatre
Heures de route.
-J'y vais chéri, à plus, sois sage.
-A plus, mon amour, reviens en forme, ironise Lucie.
Lucie sort de la douche, elle a remis sa jupette et son sweet. Elle cherche ses affaires.
-Oh mon dieu, dit-elle, il a emporté mes habits qui étaient dans la valise de la mariée.
Je me retrouve sans string, ni soutien gorge. Quel âne. Bon ma cousine pourra me dépanner.
Elle quitte sa chambre et va regagner les autres. Dans la salle il n'y a que son oncle
Marcel, quarante cinq ans, et sa tante Monique Quarante deux ans.
-Bonjour, dit Lucie, ta fille pourrait pas me dépanner, Gil a emporté la valise, tous mes habits son dedans.
-Ah bon, répond Monique, je vais voir.
Lucie s'avance ensuite pour dire bonjour à son oncle qui est assis devant une table.
C'est la seule chaise et table de libre.
-Bonjour tonton, çà va ? demande Lucie.
-Super. Et toi cette nuit s'est bien passée, ironise-t-il.
-Bof, pas terrible lui répond Lucie. Gil était fatigué. Mais au fait. Ils ont empilés toutes les tables et les chaises.
-Viens t'asseoir sur mes genoux si tu veux, propose Marcel, comme quand tu étais petite.
Lucie s'avance."Mince tu n'as pas de culotte, tant pis.
-C'est gentil, dit-elle en s'asseyant sur les genoux de Marcel.
Elle passe un bras autour du cou de son oncle. Marcel, pose machinalement une main sur les genoux de sa nièce, l'autre dans son dos. Il remonte doucement sa main sous le sweet.
-Mais tu n'as pas de soutien gorge, remarque-t-il.
-Gil a emporté tous les habits, répond-elle.
Le regard de Marcel se porte alors les cuisses de Lucie. Il aperçoit presque la chatte tellement la jupette est courte. Il commence à avancer sa main sur la cuisse de Lucie.
Ses doigts sont en contact avec les poils du pubis. Il l'a fixe du regard. Elle a les yeux fermés. Elle pose sa tête sur l'épaule de son oncle, et lui murmure à l'oreille.
-Caresse moi, s'il te plait, j'en ai envie.
Avec deux doigts il caresse les lèvres de bas en haut, grattant au passage le clitoris entièrement sorti de sa capuche.
-Mais, tu es toute mouillée ma chérie, constate Marcel.
-Je sais tonton, vas-y, fait moi du bien, s'il te plait.
-Mais Gil, tu ny penses pas. Cà fait un jour que vous êtes mariés.
-Il avait cas assumer cette nuit.
Marcel branle en accélérant, le pouce toujours en train de frictionner le clitoris de Lucie, qui commence à se tordre, avec des gloussements de plaisir. Marcel sans son souffle dans son cou.
-T'arrête pas tonton, je joui oh oui, oui vas-y, ah mon dieu que c'est bon.
-Tu avais une grosse envie, on dirait remarque Marcel. C'est vrai que Gil a du te rater.
Tu veux t'asseoir sur ma queue, çà te dirait ?
-Oh oui, tonton, je veux bien, répond-elle.
Elle se lève en tournant le dos à son oncle. Il quitte son jogging, attire Lucie vers lui et la fait descendre.
-Mon dieu, quel machin, s'exclame-t-elle, tu vas me déchirer.
-On va y aller doucement, la rassure Marcel.
Une minute après, elle est complètement empalée sur son oncle, poussant des petits cris de plaisir. Elle s'appuie sur la table, et cambre ses reins pou mieux se faire pénétrer.
Marcel lui, caresse les petits seins de sa nièce, Il est aux anges. Elle est si petite entre ses bras. Il l'a fait monter et descendre sur sa queue. Elle pince ses lèvres et ferme les yeux.
-Tu aurais du venir cette nuit, tonton, murmure-telle. Qu'est-ce-que tu me fais du bien avec ta grosse queue.
D'un coup, la porte s'ouvre. C'est Monique !
-Je n'ai rien trouvé, dit-elle, tu n'as qu'à faire attention. Mais aussi qu'elle idée de s'habiller si court !
-Qu'est-ce-que tu as, poursuit Monique, tu peux pas bouger ?
-Avec ce que j'ai dans la chatte, répond Lucie
.
-Quoi, dit Monique en s'avançant vers la table.
Monique remarque les mains de Marcel sous le sweet. Elle s'approche, soulève la jupette de Lucie.
-Ben dit donc, tu perds pas du temps pour tromper ton mari.
Elle glisse une main entre les cuisses de sa nièce et lui caresse le clitoris.
-Tu es toute mouillée petite vicieuse, fait remarqué Monique, Gil t'a pas assez donné cette nuit.
Marcel commence à grogner, à s'agiter, il va jouir, il jouit !
-Han han han, tel un bûcheron, il se lâche.
-Oh tante, il est en train de se vider. Je sens ses jets de sperme au fond de ma chatte, le salaud, il n'en fini pas, il me rempli, oh putain, moi aussi je viens, çà fait deux fois, vas-y tant pis si tu me déchires ouui oui ouiiiiiiiii bourre moi oui oui.
-Et moi, je peux participer, demande Monique.
-Bien sur, répond Marcel, déshabille toi viens t'asseoir sur la table, devant Lucie.
Monique enlève tous ses vêtements et se retrouve entièrement nue. Elle vient s'asseoir sur la table en face Lucie et écarte ses jambes.
-Oh la salope, lance Monique, si tu savais ce qu'elle me fait Marcel. Oh ma chérie suce moi, branle moi, s'il te plait, je joui çà y est, je crache, que c'est bon.
-Je t'ai faite jouir, hein ma tante, tu as vu ta nièce comme elle t'a sucée et branlée.
Oh tonton, encore, tu te vides, dit donc, tu avais des réserves et sans jamais sortir de ma chatte. Gros salaud.
Monique gémit encore, hurle de plaisir, pleure de douleur. En effet, Lucie a carrément rentré sa main dans sa chatte.
-Je comprends que tu aies un gros trou, depuis le temps que tu prends le calibre de ton mari, dit Lucie.
-Tu me fais encore jouir, salope, branle, branle ouiiiiiiii.
Lucie sort sa main et se lève doucement. Elle se dit que sa chatte ne va plus se refermer.
Elle pousse un ha de plaisir quand le gland sort complètement de sa chatte. Elle se retourne, embrasse son oncle longuement en lui caressant les couilles. Elle voit enfin le sexe de son oncle. Pas très long, environ dix sept centimètres qu'en même, mais gros, très gros.
-Tu as vu ton oncle comme il est bien monté, dit Monique. Et ton Gil, il est bien monté lui aussi ?
-Pas comme çà, répond Lucie. Je peux m'en servir encore ?
-Si tu veux ma chéri, hein Marcel. Tu veux le sucer ?
-Pas de problème, répond Marcel, si elle veut me tailler une pipe.
-Oh oui, je veux, dit Lucie. Tu pourras me caresser en même temps, tante, s'il te plait.
Voilà Lucie allongée sur la table, les jambes écartées, pendant dans le vide, la queue de
Marcel à l'entrée de sa bouche. Monique elle, a enfouie sa tête entre les cuisses de sa nièce.
-Tonton, je vais pouvoir te prendre, tu crois, demande Lucie.
Le gland pousse les lèvres et s'enfonce délicatement dans la bouche, jusqu'à disparaître au trois quart.
-Tu vois bien, dit Marcel, j'espère que tu vas tout avaler, hein? Tu vas te régaler. Et après un bon nettoyage du gland avec la langue, et ce sera parfait.
-Regarde comme je suis en train de la chatter, Marcel, dit Monique. Tu vois comme elle bouge son cul la vicieuse.
Marcel continu a se branler dans la bouche de Lucie tout en lui caressant le bout des seins qui ont doublés de volume. D'un coup des cris simultanés traversent la pièce.
-Hahahaaa, qu'elle salope dit Marcel, qu'est ce qu'elle me fait jouir, la pute. Je me vide encore.
Lucie hurle, un orgasme terrible, des larmes de plaisir perlent sur ses joues.
Marcel s'est retiré lentement. Elle lui a nettoyé le gland, comme prévu.
-Oui, oh oui, tuez moi, je veux mourir de plaisir, t'arrête pas tante.
-Tu as vu comme je t'ai doigté ma nièce, ta chatte est pleine de mouille et de sperme. Qu'est-ce-que tu dois être bonne dans un lit.
-On pourra essayer un jour, dit Marcel, qu'est-ce-que vous en pensez ?
-Le premier week-end où Gil est en déplacement, je peux le passer chez vous, répond
Lucie.
-Pas de problème, dit Monique.
Avant de se quitter, le couple s'amuse une dernière fois avec Lucie, qui jouit encore, et se séparent après de longs baisers langoureux.
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