Sur Le Réseau

Par réseau téléphonique, j'avais donné rendez-vous à un keum qui m'avait annoncé un âge de 25 ans. Quand je suis arrivé dans sa piaule, j'ai découvert un jeune keum de 18 ans tout au plus. Les cheveux longs, élancé, très mignon, il rougit gentiment en ouvrant la porte. Il est en short et le torse nu. Moi, la quarantaine en complet veston, je suis commercial. Il m'offre un verre et me fait asseoir dans un fauteuil.
- Pas trop déçu ? Lui demandais-je
- Pas du tout ! Me répondit-il
- On reste là, ou on va dans ta chambre ?
- Comme vous voulez ! Balbutia t-il
Je me lève, me dirige vers la porte de sa chambre entrouvert. Il me suit gentiment et timidement... Je commence à me déshabiller, lui s'étend sur son lit et me regarde...
Une fois nu, je m'approche, m'étend à côté de lui et lui roule une pelle. Il répond à mon baiser et laisse ma main aller aussitôt sur la bosse de son short... Son sexe est tendu, raide... Je tire sur l'élastique qui retient son unique vêtement, il soulève les fesses et je lui enlève complètement et le jette dans un coin de la pièce.
Je découvre un sexe fin et long, le gland pointu sous un prépuce le couvrant à moitié...
Je le lèche partout, gobant ses boules et le suce avec délice... Sa queue est fine comme je les aime, je l'engouffre dans ma bouche à fond, caressant ses petites boules à la peau fine. Mes lèvres dégustent toutes les aspérités veineuses de sa tige.
Ne quittant pas la queue de ma bouche, je me retourne et lui offre la mienne tendue à mort... Je sens sa bouche chaude avaler mon gland qu'il suçote gentiment. Nous faisons tout pour que le plaisir dure. Il a l'air d'aimer ma bite qu'il aspire... Je tire délicatement sur ses cuisses pour les faire relever et découvre son oeillet recouvert d'un fin duvet. Je quitte son membre et de la pointe de ma langue vais titiller sa rosette qui s'écarte sous la caresse buccale. Par petits cercles je taquine son petit trou et finit par y introduire ma langue en partie.

Je l'entends gémir bouche pleine, cette nouvelle caresse l'excite encore plus. Il finit par lâcher mon morceau et j'en profite pour changer de position. Je l'attire sur le bord du lit, lui soulève ses jambes et les écarte, puis je pose mon gland baveux sur son anus entrouvert. En appuyant légèrement, il s'introduit d'un coup, franchissant la bague anale. Avec un petit sursaut, il m'accepte et me laisse m'enfoncer dans son ventre. Il bande, et pendant que je le lime je peux admirer ses parties ballotantes qui s'agitent à chacun de mes coups de rein. Plus je le lime, plus il mouille, telle une femelle et il prend un orgasme qui le fait tortiller.. Je maintiens ma position en le serrant par ses cuisses relevées. Je vais jouir et l'en averti. "Non, non, mets tout dans ma bouche" s'écria t-il... Au moment où je vais éjaculer, je me retire et approche mon sexe de sa bouche, qu'il gobe comme un mort de faim et dans un gloussement de gourmandise accepte tous les jets de sperme qui arrivent. Je reste un moment, comme ça, immobile, il continue à m'aspirer, ne voulant par perdre une goutte de mon jus. Les couilles vidées, mon sexe diminuant de volume sort de sa bouche.
Je reprend position entre ses cuisses et recommence le pompage de son appendice qui avait un peu ramolli. Une fois dans ma bouche, il reprit force et dureté et en pinçant bien mes lèvres, je le pompais avec frénésie. Il déchargea son jus dans ma bouche et j'avalais tout au fur et à mesure de ses jets qu'il lâcha avec un cri de bête en furie.
Nous avons pris notre douche ensemble, et nous nous sommes sucés encore pour extirper les dernières gouttes qui nous restaient.
Nous nous somme revus deux fois et il a quitté la région pour un nouveau boulot. Depuis, je n'ai plus de nouvelles...