L'Amie De Ma Femme (Suite)
Comme vous vous en doutez, mon histoire avec Elodie avait une suite et je ne peux résister au plaisir de vous la raconter.
Quelques temps après quElodie mait fait ses petites confidences, elle me rappela sur mon portable pour me faire savoir que Bernard venait de lui présenter une liste dhommes avec qui il aimerait la voir faire lamour. Comme elle le pensait, jétais sur cette liste et cest moi quelle avait choisi pour réaliser le fantasme de son mari.
Il avait daprès elle, été très emballé par son choix et était impatient de mettre ses projets à exécution. Je devais mattendre à recevoir un appel de sa part très rapidement. Il était à peine 08 heures du matin et Elodie avait le nez fin car un quart à peine après avoir reçu son coup de fil, cétait son mari Bernard que javais en ligne. Il était visiblement pressé de me voir et me proposa de nous retrouver pour un café à lendroit habituel.
Jétais moi aussi impatient et je me demandais comment il allait me présenter son projet car avec moi, il avait toujours été un peu macho considérant sa femme comme sa propriété.
Une demie heure après, nous étions attablés en train de déguster un bon café / croissant, matant les petites nanas qui déambulaient devant nous.
Alors que je faisais quelques commentaires grivois sur une petite blonde attablée un peu plus loin, Bernard acquiesça et surenchérit en disant quil devait être bien agréable de se loger dans un aussi adorable petit cul. Puis, après une petite hésitation, il rajouta, que ce petit cul lui faisait penser à celui dElodie. La perche était lancée mais je décidais de le forcer à être plus explicite aussi je ne relevais pas, lui affirmant par contre quavec un joli petit lot comme çà, on se laisserait vite embarquer à nos âges dans des problèmes pas possibles.
Bernard embraya en me disant :
- Ouais, tas raison. Il faut mieux sen tenir à des escapades plus raisonnables et sans risque pour nos couples.
La conversation commençait à sembourber aussi je lui lançais sans en avoir lair, une perche lui permettant de glisser habilement sa proposition :
- Quest-ce que tu veux par sans risque pour nos couples. Je vois mal ma femme accepter la moindre escapade. Non vraiment, rien à espérer pour moi. Elodie est peut-être plus tolérante mais pas la mienne.
Comme je lavais espéré. Bernard ne laissa pas passer loccasion et me dit :
- Cest vrai quavec Elodie jai de la chance. Elle est cool en effet. Dailleurs, en parlant descapade discrète et sans risque, que dirais-tu si je tannonçais quElodie mavait avoué te trouver plutôt bandant comme mec ?
Je fis mine de métonner de ses propos mais toujours pour lui laisser la main, je répondis être plutôt flatté quElodie me trouve pas mal mais ce qui mintéressait cétait sa réaction face aux confidences dElodie.
Bernard fit mine déluder, me demandant comment je trouvais sa femme physiquement, en clair, si elle me plaisait.
Sans hésitation, je lui répondis quil faudrait être dingue pour ne pas trouver sa femme ravissante, sexy et surtout avec une tête bien remplie.
- En somme, tu te ferais des petits 5 à 7 avec Elodie.
Pour donner le change, je lui rappelais que cétait lui qui mavait branché sur son épouse. Cela dit, étant sa femme, il navait rien à craindre de moi, sinon quelques regards volés de ci et de là en précisant quil devait faire de même avec Allison lorsquelle était en topless ou avec ses petits jupes ras la touffe.
Bernard reconnut de bonne grâce quil avait bien sûr laissé son regard plonger vers lintimité de ma femme mais juste pour le plaisir des yeux. Il me précisa dailleurs avoir remarqué quAllison omettait souvent de porter des sous-vêtements ce qui nétait pas pour lui déplaire.
Mais Bernard nétait pas là pour me demander lautorisation de baiser ma femme aussi il enchaîna rapidement sur son projet.
- Pour répondre à ta question, au risque de tétonner, non seulement çà ne me dérange pas que ma femme te trouve à son goût mais en plus çà mexcite.
- Expliques-moi çà, parce que là, je crains dêtre un peu largué.
- En fait cest très simple. Jai un fantasme un peu particulier car jaimerais la voir faire lamour et jouir avec un autre homme. On pourrait peut-être profiter du fait quelle te trouve à son goût pour réaliser nos envies respectives.
Je posais mon café devant moi et avec mon air le plus étonné, je lâchai tout de go :
- Bernard, arrêtes de déconner. Elodie est déjà assez tentante comme çà. Ne me fourres pas des idées comme çà dans la tête car on pourrait tous les deux le regretter. Et puis, je suis sûr quElodie ne mas jamais regardé comme un amant potentiel mais plutôt comme un copain, qui plus est le copain de son mari, alors !!!
- Bon je sais quElodie te plaît et que tu aimerais te la faire, cest déjà le 1er point. Moi, jaimerais la voir se faire prendre par un autre homme, cest le 2ème point. Le 3ème, cest que contrairement à ce que tu penses, non seulement Elodie ne te vois pas seulement comme un copain, mais surtout, elle a déjà fait lamour avec toi en pensées des dizaines de fois.
Il enchaîna avant que jaie pu émettre le moindre son :
- En fait, ça fait plusieurs mois que jai avoué mon fantasme à Elodie. Au début il ma envoyé sur les roses mais devant mon insistance elle a fini par accepter dintroduire dans nos ébats une troisième personne, imaginant lorsque je la prenais en levrette, que cétait le sexe dun autre homme qui la perforait. Au début cétait pas terrible pour elle mais elle sest vite prise au jeu, acceptant même un gode pour faire plus vrai et ne pas reconnaître le sexe qui la besognait.
- Daccord cest un jeu assez courant. Çà nous arrive aussi avec Allison, mais quai-je donc à voir là dedans ?
- Je mexplique.
Cest ainsi dans notre jeu, en utilisant ton prénom, je lai fait jouir une première fois, elle te suppliant de ne pas profiter de la situation et moi (enfin toi) trop heureux de pouvoir lui écarter la chatte à deux mains, lui fouiller le ventre de tes doigts pour finalement avec le gros gode, sengouffrer entre les lèvres de son sexe jusquà la faire jouir, malgré ses protestations.
Jusquà ce jour, Elodie sen est accommodée mais cest moi qui voulait voir un vrai sexe senfoncer dans sa chatte, ouvrir ses chairs et si possible, lamener à la jouissance.
Je faisais mine de rester abasourdi par ces confidences, dailleurs je létais quand même un peu car Elodie ne mavait jamais avoué quelle et son mari, pimentaient leurs ébats sexuels à mes dépens. Cest aussi sans doute pour cela quelle ma permis de lui faire lamour ce fameux soir pendant nos vacances communes.
- Voilà tu sais tout. Elodie ma finalement annoncé hier quelle était prête à satisfaire pour de vrai mon fantasme et, comme elle sest habituée dans nos jeux à ce que tu sois son amant, cest toi quelle veut pour jouer ce rôle dans la réalité.
Devant ces arguments et tous ces détails, je décidais daccepter sa proposition et, cest ravi et super-excité que mon copain ma immédiatement proposé de réaliser ses projets, dès ce soir.
Pour la forme, je réservais ma réponse, le temps darranger le coup avec Allison qui napprécie pas trop les sorties de dernière minute entre copains.
Je le rappelais en fin de matinée pour lui faire savoir que javais pu me libérer mais que je nétais pas trop à laise car je ne savais pas ce qui plaisait à Elodie sexuellement et je ne voudrais pas la décevoir.
Bernard me donna moult détails sur les petites préférences de sa femme afin dêtre sûr que je pourrais la faire jouir devant lui, me précisant toutefois quelle était réticente à la sodomie.
La journée fut interminable. Javais hâte darriver à 19H00, heure à laquelle nous avions convenu que je me présenterais chez eux pour un apéritif et plus si Elodie se sentait prête au grand saut.
A chaque fois que je pensais à mon rendez-vous, je sentais ma queue se raidir entre mes jambes. Jen avais le slip tâché de ma propre mouille.
Enfin lheure de me préparer arriva. Je prenais un bain relaxant et enfilais à la hâte mes vêtements pour sauter dans ma voiture et aller à la rencontre du destin.
Excité comme un gosse à son premier rendez-vous, je frappais à leur porte mais cest Elodie qui apparut dans lencadrement, un grand sourire aux lèvres, visiblement contente de me voir.
Elle mexpliqua que Bernard préférait nous laisser seuls du moins au début afin de ne pas me gêner.
Bernard étant un as de linformatique, il avait rajouté au circuit vidéo existant, plusieurs caméras de grande qualité aux endroits stratégiques, pour ne rien manquer du spectacle.
Elodie me servit un gin tonique ainsi quà elle-même, en me disant à haute voix, que cétait pour lui donner le courage nécessaire à la suite des événements.
On commença à parler de tout et de rien sachant que Bernard suivait notre conversation et nos moindres mouvements grâce à son travail de pro de linformatique.
Rapidement, je lui pris la main pour la caresser tendrement et lui dire, que son époux devait simpatienter sil avait envie de la voir dans les bras dun autre homme. Sans autre forme de procès, je mapprochais delle pour lui caresser le visage et, lui dire combien je la trouvais belle et attirante.
Ce faisant, jen profitais pour déposer des petits baisers légers sur ses joues me rapprochant inexorablement de sa bouche quelle gardait entre-ouverte, le souffle court. Une de mes mains glissait doucement sur sa cuisse, pour remonter vers son entrejambe.
Elodie me dit le plus doucement possible à loreille afin que les micros ne puissent capter ses paroles :
- Jai mouillé toute la journée et je dois être trempée. Tu peux vérifier si tu veux.
Je fis mine de la forcer un peu en déclarant à lintention de mon ami :
- Ne tinquiète pas. Je ne fais que te caresser. Je ne vais te forcer. Si tu veux quon sarrête, tu as juste à le dire et jarrêterais.
- Daccord, fais comme tu le sens mais je ne suis pas à laise. Cest pour faire plaisir à mon mari tu sais que jaccepte que tu glisses ta main sous ma jupe et que je te laisse me toucher le sexe.
Sans lever sa jupe, je glissais mes doigts jusquà sa chatte pour mapercevoir quelle était nue. Je passais un de mes doigts entre ses lèvres pour constater queffectivement, la grande crue annoncée était bien là.
Elodie étouffa un petit cri en sentant mon doigt parcourir son sillon. Elle regarda lune des caméras avec un regard affolé, comme pour demander à Bernard darrêter pendant quil était encore temps.
Toujours à lintention de mon ami, je dis à Elodie combien sa peau était douce au toucher et que javais hâte dy poser mes lèvres.
Elodie parfaite dans le rôle de la femme obéissante aux désirs de son mari, me demanda ce que jattendais delle et si je voulais la prendre immédiatement ou plutôt la caresser car elle adore que Bernard soccupe de sa chatte avant de la posséder.
Je lui fis savoir que Bernard mavait déjà tout dit de ses préférences. Pour linstant je voulais juste quelle sinstalle sur le fauteuil, en posant ses cuisses sur le bord des accoudoirs pour me permettre dadmirer son minou que javais senti totalement glabre. Je rajoutais que son mari allait avoir la surprise de constater quelle avait omis de mettre une culotte dès notre premier rendez-vous ce qui en disait long sur ses intentions.
Elodie tiqua après mes remarques mais sexécuta néanmoins rapidement. Après sêtre positionnée comme je lavais demandé, elle en rajouta, posant ses deux mains de chaque côté de sa chatte pour louvrir et exposer lentrée de sa grotte à ma vue mais aussi à la caméra qui zooma immédiatement.
Elle me dit :
- Je vois que tu as vite compris que cette situation mexcitait autant que Bernard. Cest vrai je suis excité comme tu peux le constater de visu et je dois reconnaître que çà métonne un peu de lêtre autant. Pour être franche çà me fait un peu peur.
En effet, je pouvais voir distinctement ses lèvres luisantes de mouille et, un léger filet de liquide qui commençait à sécouler de lorifice quelle maintenait ouvert.
Je lui dis, quelle était belle comme çà et quelle mexcitait. Pour le lui prouver, jouvrais rapidement ma braguette et extirpait ma verge pour la pointer dans sa direction en effectuant quelques va-et-vient sur ma hampe. Moi aussi, je coulais déjà comme elle pouvait le constater.
Je lui dis alors que si elle avait envie de continuer, il fallait quelle me le dise et surtout quelle le dise à son mari qui nous observait derrière ses écrans de contrôle.
Elodie se tourna vers une des caméras et dit :
- Cest la première fois depuis notre mariage quun autre que toi glisse un de ses doigts entre les lèvres de mon sexe pire, cest la première fois que je me laisse guider ainsi et exposer ma chatte comme je le fais. En quelques minutes à peine, ton copain a compris ce quil pouvait attendre de moi et je sens quil me sera difficile de lui refuser quoi que ce soit car je me sens déjà sous son emprise. Je te préviens maintenant que je suis excitée grave et que si tu narrêtes pas tout maintenant, je vais moffrir à lui sans retenue. Jespère que tu ne regretteras pas de mavoir entraîné dans ton phantasme. Je taime.
Je me penchais vers elle en magenouillant puis, posait mon nez directement sur sa chatte. En me tournant vers une caméra, jaffirmais quelle sentait déjà bon la femme en chaleur. Je laissais pointe ma langue pour la faire pénétrer doucement dans lorifice et y effec quelques allers-et-retours tandis quElodie maintenait son con bien accessible en poussant des huuuummmmm et des ouuuuiiiiii de satisfaction.
Je mécartais pour laisser le champ libre à la caméra et, après avoir humecté deux de mes doigts dans ma bouche, je les plongeais dans lantre en progressant toujours aussi lentement dans le conduit pour bien sentir ses chairs souvrir. Elodie sétait penchée en avant pour regarder mes doigts senfoncer en elle, levant les yeux de temps en temps vers la caméra pour capter le regard de son mari à travers lobjectif.
Elle exprimait tour à tour inquiétude de céder à son caprice, plaisir de se faire fouiller le ventre de cette manière, détresse pour quil se rende compte peut-être que tout ceci allait lui échapper.
Fière des vagues de plaisir que je sentais déferler dans le vagin qui me serrait régulièrement les doigts, dans le ventre de celle qui était en train de mappartenir, je commentais à lintention de mon ami :
- Regarde le plaisir dans ses yeux. Tu devrais descendre pour voir de plus près mes doigts senfoncer dans ses chairs et sentir lémoi quelle narrive plus à refreiner. Ses muscles menserrent les doigts tellement fort quils mempêchent de bouger pendant les contractions. Je suis sûr quelle a une folle envie de ma queue maintenant. Dis-le Elodie. Dis à ton mari combien tu as envie dune bonne queue dans ton ventre.
-
Elodie ferma les yeux savourant mes paroles et murmura :
- Je tavais prévenu quil avait vite pris la mesure de mon envie de lui obéir. Cest vrai jai une folle envie de me sentir perforée par la bite quil ma montré tout à lheure.
Je lui rappelai quelle avait un spectateur et quil ne devait oublier de regarder la caméra afin quil voit dans ses yeux le plaisir quil lobligeait à prendre avec un autre homme.
Elle réagit aussitôt pour se tourner vers la caméra en la fixant. Je commençais des longs allers-et-retours dans son ventre, lui arrachant des petits cris de plaisir à chaque passage appuyé de mon majeur sur son point G.
Je lobservais, luttant pour garder les yeux ouverts alors que le plaisir grandissant la faisait souffler de plus en plus bruyamment. Elle murmura mon prénom, affirmant que je lui faisais trop de bien.
Bernard devait se branler devant ses écrans de contrôle pendant quElodie se rapprochait rapidement du grand frisson.
Je sentais à laccélération de ses coups de reins pour sempaler plus profondément sur mes doigts quelle allait bientôt jouir. Je me penchais alors vers sa chatte pour la lécher et la boire, en insistant sur son bouton damour jusquà ce quil se mette à grossir pour devenir aussi raide que ma queue.
Jentendis Elodie sadresser à son mari pour le prévenir quelle allait jouir, que jallais la faire jouir puis dans un ultime souffle avec un son rauque que je connaissais déjà :
- kevin. Je viens. Tu me fais jouiiiiirrrr.
Je laissais Elodie reprendre pied après cette première jouissance puis je lui affirmais que ce nétait que le début dune longue série de jouissances pour elle car Bernard mavait déjà dit quelle était capable de jouir plusieurs fois daffilée sans faiblir.
Elle plongea ses yeux vers la caméra, comme pour lui faire comprendre que cette débauche de plaisir qui sannonçait, était sa volonté.
Elle môta mes vêtements les uns après les autres puis enveloppa ma verge de ses doigts, prenant soin de ne pas sortir du champ. A genoux devant moi, elle ouvrit la bouche pour mengloutir, ne me faisant ressortir que pour lécher ma hampe ou faire glisser sa langue jusquen dessous de mes bourses et remonter jusquà mon gland, en salivant abondamment.
- Tu es bon à sucer. Ça faisait longtemps que je navais pas sucé une autre bite que celle de mon homme. Jaime ton goût sucré et fort. Jai envie que tu jouisses dans ma bouche pour te boire et goûter à ton sperme.
Je commençais à faiblir devant lhabilité dont elle faisait preuve avec sa langue et ses lèvres. Elle sen rendit compte et me souffla, jai besoin dune queue bien dure pour me perforer le ventre, viens pendant que tu es bien raide comme jaime.
Elle sarrangea pour que mon sexe passe très près de la caméra qui devait tout enregistrer puis se laissa tomber sur le dos en attrapant ses jambes au niveau des genoux pour les maintenir plier sur sa poitrine, dans une position doffrande des plus excitantes.
Je me demandais dans quel état se trouvait mon copain, alors que jétais sur le point dembrocher sa tendre épouse.
Je la sentais lubrique, prête à tout pour profiter pleinement de cette débauche semi-imposée. Les yeux plongés dans les miens, sans plus soccuper des caméras, elle me souffla :
- Regardes ta proie Kevin. Jai la chatte ouverte pour toi. Je suis à toi. Profites de mon corps, jouis et fais moi jouir. Je suis sûr que mon homme va jouir en se branlant quand ta queue va senfoncer en moi.
Je mapprochais encore une fois, pour cette fois poser mon gland à lentrée de sa vulve. Je passais mon gland une ou deux fois entre ses lèvres rouges de désir pour bien le lubrifier et, commençais à menfoncer entre ses chairs.
Elodie commentait ma progression à haute voix :
- Cest bon Kevin. Je sens ta queue qui pousse mes chairs pour avancer. Tu es moins gros que Bernard mais cest délicieux. Pousses jusquau fonds. Possèdes moi à fonds. Cest trop bon de sentir une bonne queue dans son ventre.
Elle poussa un nouveau ouiiiiiii dapprobation en sentant mes couilles butées sur ses fesses.
- Tes dans ma chatte jusquaux couilles, salaud. Regardes mon amour, jai une queue enfilée jusquaux couilles dans mon ventre et ce nest pas la tienne. Jespère que çà te plaît de voir ta petite femme chérie se faire mettre par ton copain.
- Baises-moi Kevin. Bouges dans ma chatte je veux te sentir glisser dans mon ventre.
Je mallongeais sur elle, et plongeait ma langue entre ses lèvres ouvertes pour sucer sa langue, avide de caresses. Un baiser interminable nous unit alors que nos deux sexes, avec la régularité dun métronome, semboîtaient de plus en plus intimement.
Tout à coup, je vis dans ses yeux que la jouissance était proche. Elodie se raidit en bloquant mon corps dans létau de ses cuisses, ses talons plantés dans mon dos pour mieux de plaquer en elle. Elle me souffla :
- çà mexcite de me faire baiser en sachant que mon homme me regarde prendre mon pied.
Jeus juste le temps de voir ses yeux basculer avant quelle ne se tourne vers son mari. Ma maîtresse se laissa retomber lourdement dans le fauteuil, presque inerte. Seule sa respiration saccagée laissait voir lintensité de son plaisir.
Elodie avait joui si soudainement que moi-même, je navais pas eu le temps darriver au point de non-retour. Je restais soudé à son ventre, raide comme du bois, attendant quelle reprenne vie, en la couvrant de caresses et de baisers, fou de bonheur de lavoir encore prise aussi intensément.
Bernard navait toujours pas fait irruption dans la pièce. Je commençais à me demander sil allait enfin venir prendre sa part de plaisir ou sil désirait me laisser profiter de son adorable femme seul, jusquau bout.
Elodie refit surface petit à petit. Elle me souriait tendrement tandis que mes doigts couraient sur son corps flattant son fin visage, son adorable petite bouche, ses petits seins en poire. Elle me dit :
- Bernard ne men voudra pas si je me laisse aller à quelques mots damour et de tendresse. Tu es tellement adorable et doux pendant lamour. Jaime trop. Je taime.
Je me remis à bouger doucement dans son ventre. Elle réalisa que je navais pas encore joui et me proposa de monter vers la chambre damis où nous serons mieux pour finir en beauté cette folle chevauchée.
Je la suivis, la queue au garde-à-vous. Mes yeux rivés sur sa croupe se balançant au gré des marches.
Je lui dis :
- tu as un cul magnifique Elodie. Me permettras tu de
..
Et je laissais mes paroles en suspens.
Immédiatement elle me répondit doucement :
- Mon petit cul nattends que çà. Il est tout à toi.
Vite arrivée dans la chambre. Elodie se laissa choir sur le lit quelle découvrit dun seul geste. Elle me demanda comment je voulais la prendre.
Sans un mot je lui fis signe de se mettre à genoux et de bien relever son fessier, ce quelle fit en me traitant de sale cochon.
Je répliquais en lui affirmant que les femmes aimaient les cochons et que çà risquait de se vérifier encore une fois.
Sans lui laisser le temps de me répondre, je lagrippais solidement aux hanches et dun trait menfonçait jusquà la garde dans son nid damour. Elle accusa le coup en me traitant de violeur lubrique. Je la perforais ainsi tirant sur ses hanches pour lamener à ma rencontre, lui arrachant des râles de plaisir à chacun de mes coups de reins.
Je sentis une présence dans mon dos. Bernard était là, debout derrière moi, subjugué par lassaut que je faisais subir à son épouse. Il ne disait rien. Toute son attention semblait captée par les râles qui séchappaient de la bouche dElodie.
Il sapprocha de son visage pour sagenouiller à hauteur de ses yeux. Elodie ne lavait pas encore vu. Elle laissa échapper :
- Kevin, tu vas me . Arrêtes je ten supplie, arrêtes. Laisses-moi récupérer un peu.
Madressant à Bernard par lintermédiaire dElodie, je lui répondais :
- Ma chérie, tu mexcites de trop. Cest trop bon de sentir ta chatte autour de ma queue. Ton mari taime encore plus fort lorsque tu jouis dans les bras dun autre homme, fais-lui plaisir, laisses-toi aller, laisses-moi te prendre et te faire jouir encore, encore et encore.
Cest à ce moment quelle se tourna et vit son mari en train de la regarder. Ses yeux étaient perdus dans le plaisir, elle secouait la tête de droite et de gauche en râlant sans discontinuer.
Bernard semblait ravi, il souriait et caressait les cheveux de sa moitié pour lencourager.
- Mon amour, Kevin est insatiable. Il veut mon cul maintenant. Cest trop bon ce quil me fait. Je nai pas la force de lui résister.
Javais effectivement glissé mon pouce dans son cul, dilatant lanneau de chair pour lassaut final. Je ralentissais ma cadence infernale avant de jouir prématurément et me retirais doucement du con dégoulinant de mouille. Elodie se laissa tomber en avant, la face enfouie dans loreiller en signe de soumission, les fesses bien relevées.
Je lui demandais décarter ses fesses à deux mains pour me permettre dadmirer sa rosette, doù je retirais mon pouce. Elle sexécuta sans protester, feignant ainsi la résignation, glissant à Bernard :
- Il va menculer mon cur. Jai peur mais sa longue queue fine me fait envie.
Bernard inquiet ne disait mot. Ses yeux maintenant fixés sur la rosette brune dElodie qui commençait à souvrir sous la nouvelle poussée dun de mes doigts.
- Mon cur, çà y est. Il me prépare avec son doigt. Regarde je sens quil bouge dans mon cul. Cest çà que tu veux ? Quil mencule ?
Je glissais un deuxième doigt dans son fondement après lavoir fait coulisser dans louverture béante de sa chatte. Bernard ne bougeait toujours pas.
- Il mouvre les fesses mon cur. Si tu ne fais rien, il va menculer. Mais çà texcite on dirait. Çà texcites de voir une grosse queue mouvrir les fesses.
Avant que Bernard ne réagisse, je plongeais une dernière fois ma queue tout entière entre ses lèvres puis posait mon gland sur la rosette maintenant bien dilatée.
Sans attendre je poussais fermement en regardant mon gland sengouffrer dans les chairs comme aspirer de lintérieur.
Elodie poussa un petit cri en sentant le gland passer ses sphincters. Elle souffla :
- Il est en moi. Kevin salaud, tes en train de me sodomiser.
Je lui répondis :
- cest vraie petite salope adorée. Ma petite enculée. Jai ma queue qui progresse dans ton cul et tu vas bientôt sentir mes couilles buter sur ta chatte. Je te promets que tu vas adorer çà.
Bernard sétait carrément penché devant moi pour voir ma queue disparaître dans lanneau dElodie. Il posa ses mains sur ses fesses et les écarta un peu plus pour admirer la pénétration.
- Kevin, cest gros entre mes fesses mais cest bon. Ne bouge pas, cest moi qui vais le faire. Regarde mon amour, ta petite femme est en train de se faire sodomiser devant toi. Tu aimes espèce de vicieux, tu aimes voir ta femme se faire mettre comme çà ?
- Oui, cest super. Tu as lanneau qui a doublé de volume. Çà mexcite un max. Jai déjà joui 2 fois mais je crois quune troisième se prépare.
- Régale-toi alors parce que moi je commence à adorer la bite de ton copain dans mon fondement. Branles-toi !!!
Jai laissé Elodie accélérer delle-même la pénétration jusquà ce quelle mordonne de lui fendre le cul sans ménagement. Elle me dit quelle était une petite salope daccepter de se faire baiser par un copain de son mari mais que Dieu cétait bon et quelle était prête à recommencer dès que son mari le lui demanderait.
Cest ainsi que je me suis agrippé à ses hanches pour la pénétrer tantôt en profondeur, tantôt seulement de mon gland, lamenant progressivement mais sûrement à une jouissance aussi puissante que la première fois.
Bernard, ahuri a pu admirer son chère épouse, se ramasser sur elle-même en criant sa jouissance pour se laisser tomber sur le flanc en tremblant de tous ses membres, terrassée par le plaisir tandis que je restais solidement agrippé à ses hanches, unis par mon sexe encastré entre ses fesses.
Elodie encore dans les vaps, je la faisais pivoter pour la placer sur mon ventre, la chatte offerte à son mari qui ne se fit pas prier pour linvestir sans coup férir.
Cest comme çà que nous avons joui pratiquement en même temps, lui dans la chatte de son épouse et moi au plus profond de ses fesses tandis quElodie complètement HS, nous traitaient gentiment de violeurs sadiques et profiteurs.
Nous nous sommes rapidement endormis Elodie et moi dans la chambre damis, tandis que Bernard séclipsait pour passer le reste de la nuit dans la chambre conjugale.
Au petit matin, Elodie ma offert mon réveil préféré, la queue entre ses lèvres jusquà une copieuse jouissance quelle sest empressée davaler pour soi-disant ne pas tacher les draps.
Depuis ce jour, je suis régulièrement invité chez Elodie et Bernard, sans quaucun de nos amis communs ne se doutent un seul instant des relations particulières qui nous unissent.
Allison nest pas au courant de cette relation à trois et je ne sais pas encore quelle sera sa réaction lorsquelle sera mise au courant, mais na-t-elle pas elle-même vécu au cur dune relation à trois des plus torrides ? (Mais c'est une autre histoire).
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