Initiation Bisexuelle Sous Les Tropiques
Deuxième Partie: Plus de biroutes, plus de bien-être
Banane matinale
Le lendemain matin, contents de nous, Bandaï et moi reprenons notre travail de masseurs au spa de lunique hôtel de lîle, un cinq étoiles dont les 12 pavillons luxueux sur pilotis sont disposés de part et dautre dun ponton qui savance dans la mer. A chaque suite est accolé un petit spa privé pour deux personnes pourvu dun jacuzzi et où les clients peuvent se faire masser chez eux sils le souhaitent.
Dans la cour du centre de soins entourée de bananiers, nous sommes paresseusement vautrés sur la banquette daccueil. Nos clients de ce matin ont commandé un massage en couple à leur bungalow dans une demi-heure. Nous tuons le temps en repassant le film de la nuit passée avec force commentaires, quand Bandaï me susurre: «on a raté une étape hier soir, tu es toujours vierge du cul, mon salaud, il faudrait quon corrige ça rapido». Je suis assez daccord. Cest une expérience qui manque à mon initiation. Nous décidons de squatter une des salles de massage et mon complice cueille au passage une banane quil a choisie toute noire, manifestement trop mûre, et dont je devine facilement à quel usage il la destine.
Jenvoie valser mon débardeur lâche et mon short que je porte sans slip, sous le regard intéressé du vicieux métèque qui se fout lui aussi rapidement à poil, exhibant une belle érection de bronze. Je me jette sur la table de massage, allongé sur le dos, les fesses au bord et les genoux relevés que mes deux mains tiennent écartés. Bandaï me fais face, les couilles posées sur le bord de la table, mes mollets appuyés sur ses épaules. Il se saisit de ma verge et la fais durcir en la manipulant entre ses doigts tentaculaires.
Dans son autre main, il tient la vieille banane dont il décalotte dun coup de dents lextrémité opposée à la tige, faisant apparaître un peu de chair brune et molle. Il la trempe dhuile de massage, et lenfonce avec détermination dans mon cul offert, mes fesses largement écartées.
Il retire comme un préservatif usagé la pelure vidée de son contenu, présente sa putain de biroute hypertrophiée à mon trou de balle débordant de purée de banane, et mencule avec détermination en faisant refouler la pulpe de fruit autant vers le fond quà lextérieur à chaque poussée de son énorme gland qui force son chemin. Je sens bien toutes les contractions de sa grosse bite de pédé qui a investi mon cul comme on enfile un gant de soie et le ramone sur toute sa profondeur. Dune main impatiente, il a tiré ma trique vers lui à la verticale et me branle furieusement pendant que de lautre il me lacère les couilles de ses ongles. Jai empoigné les siennes et les étire à les décrocher. Nous poussons tous les deux des beuglements saccadés jusquà ce quavec un râle inarticulé, il me tapisse la prostate de rasades de son foutre brûlant en un orgasme sauvage. Tout mon corps se raidit autour de son phallus convulsé, et je lui éjacule à mon tour une puissante giclée de semence en plein dans la gueule. Lorsque son manche est redevenu moins sensible, il le retire de mon trou et le laisse dégorger sur la table, pendant que le mien finit de suppurer sur mon ventre. Ce gros porc passe un doigt le long de ma raie pour y récolter un peu de la purée de banane mêlée de foutre qui y a coulé et dont il se pourlèche.
Nous passons à la douche en échangeant nos impressions. De mon point de vue, lessai est plus que concluant, même si je nai pas lintention de faire de mon fion une outre à foutre. Quant à lui, de me branler en même temps quil me défonçait la plus fait jouir que denculer Moana en lui caressant seulement les seins.
Massages pornos
Nous enfilons nos habits de travail, un short cargo et un T-shirt blanc moulant qui dessine bien nos pectoraux, et sur lequel est brodé notre slogan: ma mission: votre bien-être, juste au dessous du bout du sein qui affleure le tissu. Il est temps daller prodiguer nos talents et nous traînons nos pieds nus jusquau pavillon 9, presque au bout du ponton. Sven Nivquist, le client qui nous ouvre en robe de bain, est un beau grand Suédois dune cinquantaine dannée, bien baraqué, les cheveux grisonnants, le regard bleu métallique éclairant un visage buriné par le soleil. Nous apprenons que la séance de massage est un cadeau que lui et sa femme Pernilla soffrent pour leur anniversaire de mariage. Il ajoute en confidence quils attendent de nous plus quun simple massage. Elle est lassée de ne baiser quavec lui depuis quinze ans et il nous a choisis pour y mettre un peu de piment, après avoir surpris Vulgine, la femme de chambre, vanter au téléphone nos mérites lors de notre initiation de la veille. Il se montre très clair sur ce quil attend de nous et la liasse de billets quil fait apparaître nous met dautant plus daccord que nous laurions fait rien que pour le plaisir. Nous traversons la suite, et le client nous présente au passage sa femme. Elle a beau avoir dans les quarante ans, cest une blonde super bien foutue, avec un visage de cinéma, une taille mannequin et des formes que son kimono entrouvert peine à contenir. La trique que je me paye déjà prouve bien quelle aurait pu avoir mes services gratos. Le regard appuyé quelle jette à nos muscles saillants laisse penser que notre physique ne la laissent pas indifférente non plus.
Le mini-spa en plein air prolonge le bungalow, sur la même plate-forme en teck huilé, grand ouvert sur le large mais protégé des voisins par deux palissades de bambous sur les côtés.
Nous travaillons depuis le côté droit des tables. Je suis à lextérieur pour masser la femme blonde, et Bandaï me tourne le dos, debout entre les deux tables pour masser le mari. Nous les enduisons dhuile et commençons par leur masser longuement la nuque, les bras et le dos. Puis je descends aux fesses fermes et charnues de la belle suédoise ou je mattarde, avant de mattaquer aux cuisses et aux mollets bronzés.
A laveugle, Pernilla laisse un de ses bras chercher le contact avec ma cuisse, glisse une main baladeuse dans la jambe de mon short et sempare de mon paquet imberbe quelle soupèse en experte avant dagripper mon gros salami quelle tâte et dont elle approuve le diamètre et la rigidité dun grognement satisfait. Je vois que, son autre main est partie à lassaut du cargo de Bandaï, toujours à tâtons, et sy infiltre par larrière, à la recherche de sa trompe bien couillue quelle fait sortir du short par le canon retroussé et quelle met doucement en branle.
Trop excités pour nous concentrer sur notre travail, nous interrompons nos massages et Sven, flairant que quelque chose dintéressant se passe, se relève à demi et se tourne vers nous, appuyé sur un coude. Une toison de poils gris cascade de son torse et mousse autour de ses couilles et de son pénis, de belle taille pour un blanc. Un anneau en or orné dune boule incrustée dun diamant pend en piercing de son sac, et un autre est accroché à la base de son gland. Bandaï le saisit entre ses dents et se met à lui pomper le nud avec un bruit de succion mouillée, jouant avec ses couilles, un doigt passé dans lanneau qui les décorent et quil tire gentiment.
Je bande comme un bouc en rut, manipulé et branlé délicatement par la main experte de Pernilla. Ma main huileuse explore son entrejambes complètement épilé, et en réponse, elle lève la croupe et écarte largement les cuisses, dégageant à ma vue son trou du cul béant et les lèvres distendues de son vagin quelles dnt. Jinsinue mon index entre les pans de ces tentures rose foncé pour explorer la tiédeur de son con moite. Je lâche un filet de bave sur la fleur de son anus dans lequel jenfonce mon pouce, puis je resserre mes doigts en tenailles tout en la fourrageant en aller-venues humides.
Jenvoie balader mon t-shirt par-dessus ma tête, guide la main de Pernilla à mes pectoraux quelle découvre des doigts et déboutonne mon froc que jexpédie du pied vers létagère. Je contourne le haut de la table et viens appuyer mon nombril contre le bord, le bassin versé vers lavant. La blonde, le visage toujours enfoui dans lorifice de la table, a maintenant mon énorme phallus de négro dardé en gros plan sous les yeux. Elle me saisi les burnes dune main, happe le gland de mon magnum dune bouche avide, y ventouse ses lèvres et me le suce avec application. Mes doigts travaillent toujours activement son trognon et elle en frétille du cul. Elle branle toujours activement Bandaï mais le tire par la bite vers le haut de la table, à coté de moi. Elle lui lâche la queue pour le libérer de son short qui tombe sur ses chevilles, avant de la reprendre en main pour lattirer à sa portée et à sa vue. La salope se lenfourner dans le bouche pourtant déjà bien remplie par la mienne et qui doit être complètement distendue. Le contact de cette biroute chaude et vivante collée contre la mienne décuple mes sensations, dautant plus que Pernilla nous caresse les boules qui sentrechoquent et se mélangent sous ses doigts. Je ne résiste pas à palper les fesses de Bandaï, qui est penché en avant, toujours affairé à sucer Sven et lui triturer les roupettes, et mon index trouve tout naturellement le chemin de sa fente et de son trou de balle dans lequel je le visse. Nous savourons tous les quatre ce moment de volupté intense en lâchant des soupirs et des halètements daise.
Bouches-trous besogneux
Cest Pernilla qui rompt le charme en premier. Elle laisse échapper nos verges de sa bouche, non sans les lécher encore une fois sur toute la longueur, et passe sur lautre table rejoindre son mari quelle renverse sur le dos et enfourche. Elle sagenouille au dessus de lui et sempale du vagin sur son engin turgescent, bien lubrifié par la salive de Bandaï. Sven sempare de ses mamelles aux bouts dilatés et les sucent goulûment, tout en imprimant à son bassin un lent va et vient lascif.
Bandaï sait ce quon attend de lui. Il senduit le cigare dhuile de massage, monte sur la table de massage derrière Prenillla, les pieds au niveau de ses genoux et saccroupit pour enfoncer son énorme boudin brun dans son cul largement ouvert. Je ne veux pas être en reste, et voyant quil reste un peu de place, je viens aussi me joindre à la fête. Je magenouille derrière les fesses de Bandaï, à califourchon au dessus des cuisses de Sven, et conduit mon mandrin débène au con de Pernilla déjà obstrué par le long poireau blanc de son mari que je comprime pour faire ma place dans la chatte écartelée. Pernilla pousse un cri affolé. Trois queues de beau diamètre qui la besognent, coulissant en cadence dans son cul et sa chatte, cest plus quelle ne pouvait demander. Elle est en nage, et sagite en tous sens, les seins pelotés par son mari qui cherche sa bouche.
En plus de la biroute du suédois qui pulse contre la mienne, je sens celle du métis à travers la fine membrane qui sépare le vagin de lanus. Devant moi, le dos et les fesses en mouvement de Bandaï sont perlés de sueur, qui lui coule le long de la raie et gouttent de ses couilles sur mon pubis. Mon excitation est à son comble, mais sest Sven qui jouit le premier, tout son corps raidit, lâchant une rageuse décharge de purée qui lubrifie le fourreau dont nous partageons létroitesse et refoule sur nos burnes quelle englue. A son tour, Pernilla se lâche, et le flux de son jus est si intense que je crois tout dabord quelle me pisse dessus. Bandaï atteint lui aussi le point de non-retour et je sens quil envoie sa sauce jusquau fonds du cul de la femelle en secousses compulsives, et sécroule, plaqué à son dos. Je me retiens encore, au paroxysme de lexcitation. Je retire ma bite enduite de foutre et de jus visqueux, me relève un peu et force le trou de balle mouillé de sueur de Bandaï en lui écartant les fesses à deux mains. Il approuve dun oui plaintif. Jai à peine poussé trois fois mon gland jusquau fonds de son cul étroit que la sève se rue de mes glandes et que jéjacule en un festival de sperme épais.
Lorsque jai laissé ressortir ma queue de son cul inondé, Bandaï se dégage de celui de Pernilla et passe sur lautre table, un filet de semence dun blanc sale coulant encore le long de ses cuisses. Sven est toujours couché sous sa femme. Son sexe débandé à glissé hors du vagin ou il avait explosé et repose sur sa cuisse dans une mare de spermes mélangés. Jen récolte un peu sur mes doigts et les enfilent dans la fente de la suédoise à la recherche de son clito que je badigeonne de foutre et branle en un doux mouvement circulaire. Elle relève la croupe sous mes caresses, mettant son cul gorgé de foutre à portée de ma bouche et dans lequel je darde ma langue, avant de la conduire à sa touffe que je viens lui bouffer à grands coups gourmands. Tout son corps tendu comme une corde de violon, elle est complètement concentrée sur le travail de mon doigt et de ma langue, son bouton de rose mis en vibrations au rythme de mes caresses. Elle ne résiste pas longtemps à ce régime, serre les fesses et les cuisses en une crispation ultime et jouit violemment en poussant des petits cris dextase, larguant une onde de choc qui minonde la bouche et me coule le long du menton.
Bandaï est à la recherche de son polo sous les tables. Il sest essuyé le cul et les parties avec une serviette éponge et a déjà remballé son matériel dans son short. Jabandonne le couple enlacé affalé sur la table, et att à mon tour un linge, éponge mon service trois pièces maculé de nos sécrétions et le range bien sagement dans mon cargo. Nous sommes prêts à nous éclipser. Je marmonne un truc à la con: «bon, ben voilà, on va vous laisser, bonne journée», et nous nous dirigeons vers le ponton, mais Pernilla nous rappelle dune voix alanguie: «Merci les gars, assez gratiné comme anniversaire, mais il faudra que vous reveniez pour terminer le massage que vous avez bâclé. Alors ramenez vos couilles demain matin à la même heure; et soyez dattaque, il se pourrait que nous ayons encore envie de nous servir de vos belles grosses biroutes». Nous navons pas de peine à promettre dêtre au rendez-vous et en forme. Nous regagnons notre base au centre de soins. Le reste de la journée risque dêtre moins bandant: je dois masser une grosse allemande obèse puis un vieux crouton décharné, mais je me réjoui déjà de retrouver Vugine et Moana ce soir pour leur détailler notre matinée.
Voilà le récit que je voulais te faire partager. Sil ta bien fait saliver ou peut-être même souiller ton slip, tu peux men faire part sur mon e-mail, black-thebo@windowslive.com. Si tu veux, je te donnerai les coordonnées de mon île. Nous sommes toujours prêts à accueillir un bon coup, alors viens te vautrer dans le stupre avec nous, tu ne seras pas déçu, et nous, on est toujours amateurs de chair fraîche. Alors à bientôt peut-être.
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