D'Épouse Docile À Salope Soumise (1)

Depuis que nous sommes installés au Canada avec mon mari, je suis devenue ce que les français appellent une salope, une truie, mais pourtant cela ne semble pas suffire à mon cher mari qui prend toujours autant de plaisir à me dépraver.
Après m'avoir offerte en club, faite remplir par des hommes et des mains féminines, m'avoir faite servir d'urinoir dans les toilettes d'un restaurant, je voyais mal ce qu'il pouvait trouver de pire (ou de mieux pour moi), sans pour autant me faire tapiner.
Durant la semaine nous n'en parlons pas trop mais le vendredi soir lorsqu'il arrive du travail avec un paquet, je sais que le soir même ou le lendemain je vais franchir un nouveau cap dans mon évolution de salope.
La semaine dernière il est rentrée avec un paquet, et après l'autre soir ou j'ai servi de pissotiere je me demandais quoi de plus dégradant je pourrais vivre.
J'ouvre le paquet et en sort une ravissante robe de cocktail en soie noire, légère, fluide, que je m'empresse d'essayer bien évidemment sans dessous car le tissus est tellement fin que le moindre string se verrait, je met même un collant chair très fin simplement pour la forme, dessous ma fente lisse et mes fesses fermes, nous partons en voiture.
Dans la voiture il ne dit rien et le cuir froid sur mes fesses quasi nues me donne envie de me toucher mais ce soir il semble assez sérieux et me parle d'une soirée assez spéciale.
On est à la moitié de l’année universitaire et les fêtes d'étudiants sont assez fréquentes, je vois que nous nous arrêtons devant une énorme maison en périphérie de la ville, dehors des groupes de jeunes gens, garçons et filles, tous étudiants qui sont là pour faire la fête.
Il m'ouvre la porte très galamment.
"Voila ma chérie ce soir les plus jeunes ont moins de 18 ans et les plus âgés 25 ans, je voudrais qu'il ne reste plus un puceau demain matin et que tu fasses découvrir à toutes ces jolies petites bourgeoises en herbe ce que veux dire être une salope"
"C'est ta mission, je veux voir comment tu feras plus tard avec ma nièce et tes cousines russes.

.."
Il m'annonce cela tranquillement et m’embrasse tendrement. En regardant autour de moi je comprends la raison de ma tenue, toutes les filles ont vêtues de robes de soirée et même si je suis plus âgée je dois pouvoir passer pour une ancienne de la fac.
Je monte les marches de la maison, je ne connais personne ici, mais j'att la première coupe de champagne et me laisse guider par la musique à tue tête.
Il y a tellement de monde a l'intérieur que je ne sais pas si les mains qui me caressent les fesses sont volontaires ou non, mais l'ambiance est à la beuverie à la fête et au sexe, je vois des jeunes ensemble s'embrasser les filles rouler des pelles à différents mecs, s’embrasser entre elles en riant, sans s'offusquer lorsqu'un mec les lèche les seins à travers leurs robes.
L'ambiance me plait de plus en plus.
Ca fait à peine 5 minutes que je suis là et un type bâti comme un footballeur (américain) me prend les seins à pleines mains et se colle à moi en me roulant une pelle parfumée à la bière, lorsqu'il me libère il regarde un mec bâti comme un moineau et lui dit qu'avant un puceau comme lui puisse se faire une fille comme moi il a le temps de ramer. En même temps ce cochon me palpe les fesses et comprend vite que j’ai rien dessous car son jean gonfle très vite contre mon ventre.
Je réfléchi très vite, j'ai très envie de le sentir me remplir la chatte mais son souffre douleur me fait pitié, je prend le paquet de mon cavalier entre les doigts et le serre un peu en lui léchant le cou, "à tout à l'heure mon chéri" et me plante devant le maigrichon. Il tarde un peu à comprendre et devant ses copains un peu surpris je lui demande si il veut passer avant ou après tous les autres.
Il comprend en rougissant et je le prend par la main en passant de son pote qui me traite de salope en me disant à tout de suite.
Hum ça faisait longtemps que j'avais pas baisé avec un puceau, des filles souvent mais pas des garçons, et celui n'a rien fait de mieux mais quel pied intellectuel lorsque je l’ai poussé dans une des salles d'eau pour lui baisser son pantalon, il bandait pas mais je savais que j'allais être sa première salope, et ses yeux se sont éclairés lorsque je lui ai dit que j'allais prendre son foutre en moi.

Pour le faire bander une petite pipe mais pas trop pour qu'il parte de suite, et ensuite humm je me suis assise au bord du lavabo cuisses ouvertes et j'ai déchiré juste l'entre cuisses de mon collant devant lui. J'ai eu peur qu'il décharge en voyant ma fente lisse je l'ai guidé en moi il est rentré comme dans du beurre en me disant " je t'aime", humm mignon et con à cet age, mais quel bonheur. Il a même pas besoin de bouger je contracte mon vagin et en trois minutes je le sens me tapisser le vagin de son jus chaud et crémeux. On reste quelques secondes comme ça je veux qu'il en profite. Lorsque sa bite sort de mon con englué je me baisse pour le lécher encore tiède de ma mouille et de son jus.
Il bafouille, me dit merci et plein de conneries, je me redresse, très bourge sérieuse et avec un baiser sur la joue je lui dit que je ferais la même chose avec tous les vrais puceaux de la soirée.
Il semble pas me croire, tant pis il est 23 heures, et j'ai toute la nuit,
Lorsque j'ouvre la porte le footeux est là, il me laisse même pas sortir et me pousse sur le lavabo, la main sur sa braguette....

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!