La Boulangère (Suite1)
Je vous comte, comme promis, la suite de mes aventures avec ma boulangère Céline. Elle prends goût, on dirait, à venir les lundis jours de fermeture et pour moi jour de repos. Le plus difficile a été le premier je pense. Ce jour là est présent en moi comme à jamais. Il faut dire que je la draguais ouvertement à sa boulangerie avec pleins de sous entendus. Quand la sonnette a retenti mon coeur battait fort. Nous nous embrassâmes goulûment. Nos langues s'emmêlèrent. Elle est venue vêtue une jupe mi cuisse rouge, un chemisier blanc avec string et dim up rouge et le haut avec un soutien gorge à balconnet blanc. Une merveille. Et moi j'étais juste en peignoir et boxer. J'en profitais pour lui retirer son manteau et déboutonner son chemisier. Tu ne perds pas de temps me dit elle en rigolant. Je lui offris un café. Quand la sonnette a retenti mon coeur battait fort. Pendant que je le préparais, elle se plaçait derrière moi et en profitait pour ouvrir mon peignoir et me pelotait les couilles de manière bien agréable. Tes mains sont prises mon chéri, tu ne peux rien faire d'autres que de subir mes caresses me lança t'elle en rigolant. Je vois que je te fais de l'effet. C'est vrai que ma bite ne tarda pas à gonfler. Je servis le café et en profitais pour libérer cette belle poitrine 95c. Je jouais avec ses tétons. En deux tours de mains, nous nous retrouvions à poil dans le canapé. Céline se mit à genoux et entrepris une belle fellation dont elle a le secret. Elle jouait avec sa langue sur ma bite tout en malaxant mes couilles.... un vrai bonheur. Pendant ce temps je jouais avec ses seins. La fièvre montait. Je la pris et la fis asseoir sur la table basse. Elle avait les pieds à terre et par conséquent Céline m'offrait sa belle chatte. Je lui léchais tout en jouant avec son clito. Elle commence à crier de jouissance. Elle lance de longs soupirs. Oui mon chéri baise moi je n'en peux plus. Je la fis mettre à quatre pattes sur la table basse et la pénétrait en levrette.
Tu sais chérie j'ai envie de t'enculer et va m'offrir ton cul.
Oui chéri je ne peux rien de refuser.
Elle se mettait en position comme une petite chienne et moi je n'avais plus qu'à lui préparer son anus. Je lui léchais et lui insérait un puis deux doigt afin de bien le dilater. Céline ondulait du cul. Je vois que tu aimes cela coquine.... Cela te manque hein ma salope... Oui chéri prends moi je n'en peux plus... Vas y
Je m'assieds sur le canapé et la mit de dos pour qu'elle vienne son anus au contact de ma bite. Cette dernière la transperça. Elle se mit à crier de douleur et de plaisir. Céline prit la cadence et moi je lui appuyait sur les épaules pour qu'elle la sente bien profonds... ses vas et vient me faisaient un bien fou et à elle aussi... Et d'un coup je me mettais à décharger dans son cul. Elle haletait hummm oui continue hummm c'est bon c'est chaud ....
Nous étions crevé mais cela était une bonne fatigue. Nous prenons notre douche en nous enlaçant mutuellement.... Elle me fit une confidence à l'oreille "Thierry on ne m'a jamais baisé de cette manière je prends un pied d'enfer avec toi."
Je lui répondis que " j'étais très flatté".
En se rhabillant, elle me dit que son mari devait effec un stage deux jours et qu'elle serait toute à moi si j'étais d'accord.
Demain en venant chercher mon pain je te donnerai une enveloppe avec des instructions. Tu veux ma chérie bien sur me répondit elle en partant...........
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