Un Choix Cornélien Pour Jules : « Tamara Se Défilera-T-Elle Une Nouvelle Fois ? » Épisode 3/18
Comme à la brasserie de la place, dès leur arrivée au « New-Club », Jules semblait connaitre tout le monde ici, beaucoup de ses amis venaient le saluer et de nombreuses filles lui faisaient la bise dont lune dentre elle, sans soccuper de Tamara qui lui tenait la main, sétait pendu à son cou et le prenant par surprise, lui fit un bisou sur la bouche. Cela avait passablement énervé la jeune martiniquaise qui une fois quils furent installés lui demanda qui était cette fille qui nhésitait pas de le bécoter, de montrer ses fesses dans sa mini-jupe et se frotter contre quelques-uns des danseurs :
Cest Sandy une ex copine, mais ne tinquiète pas, il ny avait rien de sérieux entre nous.
Tamara était jalouse et le questionnait sur les filles quil avait déjà connu, ne désirant pas dévoiler sa vie sentimentale, il profita de loccasion pour aller discuter avec un pote. Se retrouvant seule, elle déposa ses affaires sur le fauteuil et se précipita vers la piste de danse, elle avait le rythme dans la peau, elle dansait comme une déesse. Jules tout en parlant à son copain, la regardait se déhancher sur la piste. Voyant de nombreux prétendants sagglutiner déjà autour delle, même sil ne semblait pas jaloux, il était allé la rejoindre pour danser avec elle.
Quelques instants plus tard, il fut une nouvelle fois invité à boire un verre au bar avec des amis qui lattendaient. Tamara avait un il sur lui, elle ne séloignait pas et était très attentive à ce quil faisait et à toutes les filles qui lapprochaient. Jules était assis perché sur un tabouret, lorsque Sandy la caissière du supermarché saccrocha à son dos, lui demandant sil était possible quil la raccompagne chez elle en fin de soirée :
Non Sandy ! Je te lai dit hier soir que javais un rencart.
Tu sais que tu peux passer quand tu veux, me faire grimper aux rideaux, daccord ?
Tamara trouvait la discussion entre Jules et Sandy interminable, ayant soif mais surtout voulant interrompre leur conversation, alla chercher son portefeuille et vint directement au bar commander un coca.
Jules étant allé aux toilettes, était revenu au bar et finit son scotch avant daller rejoindre Tamara. Arrivé sur place, ne la trouvant plus, il fit le tour de la piste de danse, retourna au bar, puis alla à lentrée et demanda au videur sil avait remarqué une jeune black sortir :
Il y a à peine cinq minutes, elle est montée dans en taxi.
Merde ! Elle aurait pu mattendre. Merci Johnny. Lui dit-il dépité.
À cet instant Jules sut quil navait plus aucune chance avec Tamara, elle avait certainement vu Sandy ne voulant pas le lâcher au bar malgré ses recommandations. Il en était désolé mais la soirée nétait pas terminée pour autant et il avait une envie pressante de faire lamour et ne désirant pas se masturber en rentrant, sachant que Karine était de sortie, cétait loccasion daller retrouver Sandy. Il fit le tour de la discothèque et la trouva dans un coin sombre et reculé de la grande salle, affalée dans les bras dun type de vingt ans à peine, sembrassant à pleine bouche :
Bon Sandy ! Si tu veux que je te ramène, cest le moment, je rentre à la maison.
La réponse fut immédiate et silencieuse, sans attendre, la jeune caissière se leva, prit ses affaires et dit simplement à son copain : désolée ». Elle sauta au cou de Jules toute heureuse quil la raccompagne. Elle sortit du « New-Club » à son bras, fière de se montrer devant ses copines avec lui. Si Tamara avait mis le feu dans les entrailles de Jules, le jeune avait lui aussi chauffé à blanc Sandy qui navait pas attendu dêtre chez elle pour commencer les préliminaires. Très vite, elle prit la main du conducteur, dès quil le pouvait, afin que ses doigts viennent au contact de son intimité chaud et humide à souhait.
Le lendemain matin, Jules nétait pas bien, Tamara le troublait, il ne parvenait pas à oublier cette fille. Ne travaillant pas le samedi, il descendit chez Karine avec laquelle il pouvait se confier. Lorsquil lui avait tout expliqué en détail, elle lui dit dun ton sévère :
Je tavais prévenu, ce nest pas une fille pour toi. En plus lorsque je lai vue à la brasserie, quelle surprise ! Une café au lait, il ne manquait plus que ça.
Ne sois pas raciste Karine ! Tu ne la trouve pas jolie ?
Oh que si ! Elle est bien trop mignonne mon chéri. Je pense que tu te trompes, cest une lesbienne, jen mettrais ma main au feu.
Que vas-tu chercher-là. Pourquoi ma-t-elle masturbé alors ?
Parce que cela lui évite de baiser avec toi, cest tout.
Karine navait plus le temps de discuter, elle mit Jules pratiquement à la porte avant de partir travailler. Il remonta chez lui et ne put sempêcher denvoyer un texto à Tamara :
« Que sest-il passé hier soir ? Pourquoi mas-tu laissé tomber comme une vielle chaussette ? » La réponse fut immédiate, elle devait conserver son portable à porter de la main :
« Tamara : Je pense que je ne suis pas faite pour toi, toutes les femmes te courent après et jai des difficultés de laccepter. »
« Jules : Non Tamara, cest toi que je veux. Tu me plais beaucoup, je pense à toi tout le temps. On peut se voir ce soir ? »
« Tamara : Crois-tu que notre histoire puisse durer ?»
« Jules : Si nous nessayons pas, nous ne le saurons jamais. Ce serait tout de même dommage Non ? »
« Tamara : Je ne peux pas te recevoir chez moi à cause de ta famille. Puis-je venir chez toi ? Nous avons à parler.
« Jules : Ok disons 20 heures, tu as mon adresse. »
Bien entendu, la première personne à qui Jules se confia, ce fut Karine car il voulait quelle passe chez lui faire un peu de rangement, changer les draps, avant que Tamara narrive. Travaillant jusquà 20 heures, elle ne pouvait pas venir, cependant ce fut un peu à contre cur que sa voisine quelque peu jalouse accepta denvoyer Manon le faire à sa place, sans manquer de lui redire quil faisait là, une grosse erreur. Lorsque Jules arriva chez lui le samedi soir vers dix-sept trente après sa séance de musculation et son footing, il saperçut que son amie navait pas manqué à ses devoirs, il était heureux et ne manquerait pas de remercier sa fille dès quil la verrait.
A Vingt heures, Tamara ne connaissant pas le quartier, il lattendait au pied de limmeuble. Dès quelle descendit de sa voiture, il la trouva une nouvelle fois splendide dans sa jupe fleurie, son haut moulant et ses talons hauts. Ils sembrassèrent sur le trottoir et avant de prendre lascenseur, elle voulait mettre les choses au point. Les propos de la jeune martiniquaise étaient des plus en plus précis, elle ne sétait pas gênée pour lui demander une soirée pleine de tendresse et de sensualité. Elle désirait que Jules prenne le soin de la masturber longuement afin quelle connaisse réellement ce quétait un véritable orgasme :
Je veux sentir et vivre cela avec toi qui saura à travers tes mots, tes gestes, tes caresses, tes baisers, menvoyer au septième ciel.
Ils sembrassèrent de nouveau, ses mains baladeuses et ses propos érotiques, lui avaient mis le feu au ventre, elle voulait poursuivre, Jules devinait son impatience. Dans lascenseur, Tamara lui sauta au coup et pendant toute la montée jusquau dixième étage, leurs bouches restèrent soudées et leurs mains, bien plus que baladeuses. Ils restèrent ainsi collés en marchant jusquà son appartement. À peine la porte ouverte, Tamara était pressée den découdre, lorsque Jules lui demanda ce quelle voulait boire, elle lui répondit simplement et directement :
Où est la chambre Jules ? Nous boirons plus tard viens !
Ils navaient pas tardé, elle se jeta sur le lit et lui tendit les bras en linvitant à la rejoindre.
Il lui déposa une bise sur la joue, tout en passant son doigt sur ses lèvres humides en insistant quelques instants. Puis il prit son oreille dans sa bouche pour la lécher et laspirer délicatement tout en lui caressant les épaules, elle fermait toujours les yeux, il ne savait pas à quoi elle pensait à cet instant mais sa respiration lui faisait dire quelle appréciait beaucoup ce quil était en train de lui faire vivre.
Jules la releva et se plaça à genoux sur le lit derrière elle. Il attira Tamara à lui, sa tête reposait désormais contre son torse puissant, ses deux mains malaxaient doucement ses deux seins au-dessus de son débardeur, lentement ses doigts se promenaient sur ses mamelons durcis. Il renouvela ce massage, il saisit ses deux tétons entre ses index et ses pouces et les pinça à la limite du supportable. Tamara tendait en avant sa poitrine, tout en se mordillant légèrement les lèvres, elle aimait être caressée ainsi, elle gémissait doucement sans rien dire. Dune main délicate, Jules tourna le visage de Tamara vers lui, leurs bouches nétaient quà quelques centimètres lune de lautre, elle nouvrait toujours pas les yeux mais leurs lèvres se frôlaient puis se touchèrent enfin dans un petit baiser sensuel. Leurs langues tournèrent et retournèrent dans leur bouche pendant un long moment. Il interrompit ce baiser, se pencha à son oreille pour lui dire tendrement :
Que tu es belle ma princesse des îles !
Tamara ne répondit pas, elle tendit une nouvelle fois ses lèvres, elle avait envie que leur baiser se prolonge, sa langue força le passage, elle laspira dans un baiser beaucoup plus torride, pendant que la main droite de Jules navait pas quitté le ventre plat de la jeune femme. Il vit quelle ne savait pas quoi faire de ses mains, elle était totalement et complètement désemparée mais il ne désirait que son plaisir à elle. Il descendait sa main au fur et à mesure, elle se trouvait désormais sur son intimité. Il caressa lintérieur de ses cuisses sous sa jupe remontée, il frôlait volontairement son pubis, à chaque caresse de son entre jambe, Tamara se trouvait comme dans un rêve, Elle chavirait, sa main se posa sur la sienne, écartant un peu plus les jambes, il sentit quelle désirait à présent quil aille bien plus loin.
Il décida alors denlever son string, elle sappuya sur ses pieds et leva le bassin afin quil parvienne facilement à le faire glisser jusquà ses chevilles. Jules lui arracha des pieds, le prit dans la main, le fond était déjà si humide, que machinalement, il porta ce minuscule sous-vêtement à son nez et le sentit. Tamara ouvrit enfin les yeux et attendait sa réaction. Elle savait quelle sentait fort et cela la gênait un peu car les quelques hommes qui avaient pu aller jusque-là, navaient pas tous apprécié :
Jaime ton odeur forte et puissante. Lui dit-il pour la rassurer.
Tamara lui sourit enfin et ils reprenaient leur baiser, tendre mais plein de fougue à la fois. Il continua le malaxage de sa poitrine plus fermement, après avoir ouvert et écarté le décolleté de son petit haut, libérant ainsi deux belles pommes bien fermes. Il malaxa et malaxa encore ces beaux fruits, tout en pinçant ses mamelons au passage de son pouce et de son index. De ses doigts, il enserra les tétons pour les tirer vers lavant. Tout le corps de la jeune martiniquaise se crispa, elle ressentait que du bonheur, elle mouillait de plus belle, sa jupe remontée jusquà son pubis, il vit suinter la cyprine et disparaitre dans la raie de ses fesses.
Jules lui demanda alors de se mettre debout, il lui retira son petit débardeur en prenant soin de le faire très sensuellement. Tamara se laissa aller au plaisir en levant les bras, cela lui faisait du bien, il baissa la fermeture de sa jupe et descendit celle-ci lentement le long de ses longues jambes fines puis jeta lensemble à lautre bout de la chambre. Sur les conseils de Jules, Tamara sallongea sur le lit, il se pencha sur elle et reprit ses caresses de sa langue et de ses mains si délicates, les secondes passaient, les minutes sallongeaient, elle ne ressentait que du plaisir sous ses attouchements sensuels.
Nue devant lui, il la sentait légèrement gênée surtout que lui était encore tout habillé. Pour la rassurer, il lembrassa tendrement dans le cou puis aspira un à un ses tétons érigés par lexcitation. Sa bouche descendit sur son ventre et sattarda sur son nombril, pendant que sa main caressait lintérieur de ses cuisses du bout des doigts, Tamara se mordillait les lèvres en gémissant de plus en plus fort, elle se tendait, sarc-boutait et écartait un peu plus les jambes, elle avait hâte quil lui caresse son sexe humide mais cela ne venait pas encore.
Tamara simpatientait réellement, elle frissonnait, Jules prit un malin plaisir de la faire languir, il restait calme et continuait sa descente vers les poils pubiens, tout en caressant toute sa jambe, jusquà son genou. Sa langue nétait quà quelques centimètres de sa vulve, elle commençait à perdre patience, sa respiration saccélérait, elle posa sa main sur sa tête :
Oui ! Maintenant, cest trop bon !
Enfin, lattente fut assez longue, il décida alors de poser ses lèvres au contact avec son petit bouton rose qui nattendait quà être pris en bouche. Doucement, très lentement, Jules aspira, lécha entre les grandes lèvres et recommençait indéfiniment, les minutes ségrenaient, Tamara sarc-bouta de nouveau, tendant sa chatte à sa merci, sa tête partit en arrière, elle la remuait de droite à gauche, elle serrait très fort le drap, elle gémissait, elle râlait de plaisir et haletait sous les aspirations et léchages répétés. Jules continuait pourtant, il avait très envie de faire durer son plaisir.
Il se releva enfin et vint se placer face à elle, il tira Tamara doucement par les deux chevilles afin que ses fesses se retrouvent au bord du lit. Il sagenouilla entre ses jambes et recommença ses caresses buccales. Simplement, en plus de sa langue, il utilisait également ses doigts pour son plus grand bonheur. Pendant quil jouait avec son clitoris gonflé à bloc par lexcitation et laccumulation de sang, ses doigts frôlaient les deux intérieurs de ses cuisses, Tamara mouillait beaucoup et Jules lapait dun coup de langue ce qui sortait de son vagin.
Il reposa les deux jambes de Tamara au-dessus de ses épaules afin quil puisse accéder plus facilement à toute son intimité, il passait sa langue désormais sur son petit trou étoilé, elle était très soignée, aucun poil nétait présent sur sa petite chatte, ni même dans la raie des fesses. Il lécha de bon cur puis essaya de forcer le passage avec sa langue mais celle-ci ne pénétra pas lintérieur. Il mouilla son anus avec le mélange de salive et de cyprine et massa la peau très tendre sur le pourtour de son petit trou en appuyant un peu et en faisant des ronds avec le bout de son doigt.
Il appuya un peu plus afin de forcer le passage et son doigt mouillé et juteux sinsinua petit à petit à lintérieur, jusquà la première phalange. Là, Tamara se crispa, elle serrait les fesses, elle ne le dit pas, mais il comprit quelle ne désirait pas quil aille plus loin. Il se dit alors quelle navait jamais connu la sodomie mais vu létroitesse du passage, il sen était bien douté. « En aurais-je le privilège un jour ? » Pensa-t-il à ce moment précis :
Sil te plait mon chéri, pas maintenant. Je préfère que tu continues. Fais-moi jouir !
Jules reprit ses caresses, il aspira ses deux grandes lèvres brunâtres, puis inséra sa langue dans sa fente très mouillée. Tamara était prête désormais, il se coucha à plat ventre ses jambes à côté des siennes, il lembrassa puis sa bouche prit possession dun de ses tétons, comme un bébé tète sa mère. Son majeur de la main droite se présenta devant sa fente et sous une légère pression, il disparut dun seul coup. La paume de sa main était posée sur son pubis pendant que son doigt recourbé cherchait son point de jouissance en remuant à lintérieur de son vagin.
Jules la sentait frémir de plaisir, elle se remuait dans tous les sens, sa main reposait sur la tête de son amant, elle lui tirait les cheveux, son bassin se tendit, faisant des mouvements davant en arrière, sous son doigté. Il savait par expérience quelle nétait quà quelques secondes datteindre son orgasme. Son majeur ressortait et senfonçait en faisant des va et viens, Tamara se crispait de plus en plus, limplorant daccélérer le mouvement :
Vas-y, je viens ! Plus vite
Oui comme ça.
Je vais te faire jouir comme une folle ma princesse.
Jules avait vu juste, ses mots lui donnaient une excitation supplémentaire, son doigt allait et venait de plus en plus rapidement mais il essayait de retarder au maximum ce moment dextase, il ralentissait puis repartait de plus belle. Ses seins gonflèrent et durcirent, ses tétons s'érigeaient de plus en plus, son clito subit les mêmes effets sous la pression de la paume de sa main et son vagin se remplissait de mouille. Jules le ressentit sur son majeur, elle avait la chair de poule et sarc-bouta une dernière fois avant de se lâcher complètement.
Tamara inonda toute la main de Jules, par sa jouissance en criant de bonheur, elle prenait son véritable premier orgasme. Sa tête se secouait dans tous les sens, elle était pratiquement essoufflée et ses jambes se mirent à trembler, elle ne pouvait plus parler, elle perdait pied. Son orgasme fulgurent était aussi bien physique que cérébral. Elle se relâcha enfin et tomba à plat dos sur le lit les bras en croix. Jules avait lavant-bras qui le faisait légèrement souffrir, Tamara lavait griffé à sang en prenant son plaisir mais il était tellement heureux pour elle que sa petite douleur disparut aussitôt. Il fut assez fier de lui en parvenant, là où personne ny était arrivé. Il lui avait donné enfin le plaisir quelle recherchait depuis longtemps :
Cest tout simplement magique mon chéri. Tu as été fabuleux. Nous pouvons maintenant aller boire quelque chose, jai une de ces soifs que je boirais la mer et ses poissons.
Tu es si belle et encore plus quand tu jouis. Tu as raison, allons boire ce verre. Moi aussi jai la gorge sèche.
Je te promets quaprès, je moccupe de toi. La nuit nest pas terminée.
Nous verrons la suite dans un prochain récit. (Samedi)
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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