Laure Reçoit Des Amis (Suite D'Un Précédent Récit)

A peine Sophie et Laurent sortis que Laure retourne dans sa chambre. Face au miroir de la garde-robe, elle se déshabille en s’admirant. Elle aime son corps. Elle fait glisser sa courte jupe qui dévoile un slip noir bordés de dentelle. Elle ne porte pas de bas. Elle enlève son dessus, ses aisselles sont bien lisses. Elle passe ses mains derrière la tête, gonflant sa poitrine qui déborde quelque peu d’un léger soutien-gorge sous lequel les mamelons pointent doucement. Elle le dégrafe, les seins libérés reprennent leur forme normale. Elle pense aux petits seins de Sophie tout en soupesant les siens. Elle se tourne pour en apprécier le galbe, légèrement en poire.
- « Je suis encore belle »
Laure baisse lentement sa culotte. Elle aime sa toison douce et brune. Nue devant le miroir, elle passe sa main dans les poils soyeux. Elle hume le sous-vêtement. Son odeur lui prouve son excitation. La main glisse sur la fente humide. Ses sensations lui reviennent, intenses. Elle s’assied sur le lit, jambes ouvertes. Sa vulve s’épanouit, les lèvres gonflées sous le fin duvet. Elle en détaille les formes. Elle se sent belle, ainsi offerte à son propre regard. Elle dégage son clitoris. Elle prend un peu de sa liqueur intime puis tourne autour du bouton gonflé de désir. De longs frémissements la parcourent. De son autre main, elle caresse ses seins puis descend vers son ventre. Elle introduit un doigt dans son vagin trempé de cyprine. De lents et longs va-et-vient intensifient ses sensations. Elle sent monter le plaisir du plus profond d’elle-même. Elle s’étend sur le lit, jambes ouvertes. Elle accélère ses mouvements jusqu’au moment où l’orgasme la cloue, bouche ouverte, yeux clos, en en râle de jouissance qui la porte au bord de l’évanouissement. Elle savoure ce moment avec délectation. Reposée, elle s’assoupit.
Quelques temps plus tard, la sonnerie de la porte d’entrée retentit. Elle n’attend personne. Elle enfile en vitesse en peignoir et descend les escaliers jusqu’au vestibule d’entrée.

Elle entrouvre la porte. C’est un couple d’amis, Antoine et Julie.
- On passait dans le coin, on en profite pour te rendre une petite visite.
- Entrez, c’est sympa.
Ils s’embrassent amicalement.
- Tu sens l’amour (fait remarquer Julie à voix basse)
Ils entrent au salon.
- Excusez ma tenue mais je m’étais un peu endormie.
- Tu es très jolie comme ça.
Laure sert des boissons à ses amis. Se penchant au-dessus de la table du salon, son peignoir baille et découvre un peu sa poitrine.
- Mais … tu es nue là-dessous.
Julie se lève et sous les yeux de son compagnon, dénoue et ouvre le peignoir.
- Je te savais belle mais à ce point …
Elle passe derrière Laure et lui caresse doucement les seins. Antoine ne peut détacher son regard de cette poitrine opulente et de cette toison qui orne le ventre de leur amie. Il sent sa verge se gonfler progressivement. Laure a fermé les yeux et apprécie pleinement les caresses. Son sexe s’humidifie à nouveau d’autant plus que Julie s’en approche, le frôle et passe un doigt sur la fente qui s’ouvre légèrement. Julie respire l’odeur prenante de la cyprine puis la fait sentir à son compagnon ;
- Vois comme elle est excitée. Ce serait dommage de ne pas en profiter… Qu’en penses-tu ma chérie ?
Comme réponse, Laure fait glisser totalement son peignoir. Sa nudité rayonne. Sans un mot elle prend la main de son amie et la conduit jusqu’à la chambre. Antoine les suit, les yeux rivés aux fesses qui se balancent au rythme des escaliers.
Dans la chambre, Laure entreprend de dévêtir Julie. Sous le chemisier, un soutien-gorge noir met en valeur une poitrine généreuse. Elle le dégrafe. Les seins sont assez lourds, légèrement tombant. Les tétons sont dressés au centre d’une aréole sombre. Laure les soupèse. Puis elles s’enlacent et leurs bouches se rejoignent. Leurs langues s’affolent. Leurs poitrines se touchent. Antoine s’est assis sur une chaise et les regarde.
L’envie de se toucher devient de plus en plus forte.
Julie fait glisser sa jupe à ses pieds. Sa petite culotte noire, ornée de dentelle est assortie au soutien-gorge.
- Caresse-toi Antoine, tu en meurs d’envie !
Antoine se lève et ôte son pantalon. La verge dressée tend le tissu du boxer. Lorsqu’il le baisse, elle surgit comme un diable d’une boîte, ferme et dure. Laure l’aperçoit et se dit qu’elle en profiterait bien. Elle couche son amie sur le lit et descend le slip. Une belle toison noire, entretenue juste ce qu’il faut, cache la fente. Elle lui écarte les jambes et découvre une vulve gonflée et humide. Elle s’en approche, à genoux au bord du lit.
Antoine a fini de se déshabiller et se masturbe lentement en regardant le spectacle des fesses un peu écartées de Laure. Des poils s’en échappent, courant dans la raie au-delà de l’anus.
Laure s’est mise à lécher le sexe de Julie. Sa langue suit la fente jusqu’au petit bouton qui n’attend que ça. Antoine s’est approché du couple de femmes. Il place son gland a l’entrée du vagin de Laure et y entre doucement. Surprise mais ravie, elle pousse un soupir en se sentant pénétrée de la sorte. Elle continue à titiller le clitoris de son amie dont le plaisir monte inexorablement. Antoine sait qu’il ne tiendra plus longtemps.
- Je vais jouir !
- Ensemble !
Antoine éclate en un cri à peine retenu. Ses spasmes et les giclées de sperme déclenchent chez Laure un orgasme d’une intensité rare et Julie est secouée par de tremblements.
Nus et ravis, ils se couchent tous trois sur le lit et se blottissent tendrement l’un contre l’autre pour se délecter du moment unique qu’ils viennent de vivre

A suivre ...

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