Nu, Je Me Livre Pour La Première Fois À Des Routiers Sur Un Parking...
Je rentrais dun dîner chez des amis lorsque je suis tombé en panne d'essence. Heureusement, jai eu la chance de rapidement me faire prendre en stop par un routier qui venait de quitter le parking de cette route nationale de la Sarthe. Devant mon désarroi, il ma gentiment proposé de faire un aller-retour à la station de lautoroute proche de quelques kilomètres. Bien quil mait semblé avoir une bonne cinquantaine dannées et un air de bon père de famille, je me suis senti relativement mal à laise devant quelques uns des regards appuyés quil posait sur moi.
Ce nest quaprès avoir rempli un bidon dessence prêté par ses soins et de retour dans la cabine quil commença à entamer la conversation. Plutôt sympa, il me parlait de tout et de rien : situation professionnelle, famille, passion
Une fois arrivés à la voiture, il a eu la gentillesse de vider l'essence dans le réservoir avec le bidon qu'il m'avait prêté. Malgré son physique peu attrayant, un bide proéminent et surtout mon attirance non avouée pour les hommes, jai eu envie de lui. La situation était excitante sans que je sache dire pourquoi. En quelques secondes, je me sentais un autre...
Ne sachant comment le remercier, jai profité de ce quil finissait de vider l'essence dans le réservoir, j'ai ouvert ma chemise et commençais à me caresser à travers la poche de mon jean. Je mourrais denvie de le toucher, de passer ma main sous son large short dans lequel jimaginais un gros sexe que je rêvais de prendre dans ma bouche. Mais je nai pas osé. Toutefois, lorsqu'il s'est retourné, j'étais entrain de défaire la ceinture de mon jean.
Finalement peu surpris, il a posé sa grosse main sur mon ventre, puis pincé un de mes tétons en attrapant larrière de ma tête. Il ma rapproché de lui et m'a « obligé » à poser ma bouche sur la sienne. Sa mauvaise haleine ne ma pas effrayé lorsquil a enfoncé sa langue dans ma bouche, serrant de plus en plus fort mon visage sur le sien.
Lorsque je suis arrivé sur près du camion, après avoir titubé quelques mètres car mon jean était pratiquement baissé, il ma fait poser les mains posées sur le marchepied. Il a complètement baissé mon pantalon, puis baissé mon caleçon en soie qui a semblé lexciter beaucoup. Penché en avant, il ma très fugacement léché le cul. Je me suis cambré de moi même car j'étais fou d'excitation. Toutes mes barrières étaient brisées et je voulais être la femelle de ce gros porc que jespérais le plus vicieux possible. Enhardi, j'ai passé ma main sur sa bite en soupirant de bonheur. Il fallait que je le touche, que je le prenne et que je le suce. J'ai baissé son short horrible au moment précis où il finissait d'enlever mon pantalon, mobligeant à me contorsionner car javais gardé mes tennis.
Enfin, comme jen rêvais, il m'a fait monter dans la cabine. Je me suis retrouvé assis, les fesses à l'air, le sexe bandé et la chemise ouverte lorsqu'il est monté à son tour. Il m'a dit qu'on allait bien s'amuser, que je serai sa petite salope et quil allait men donner pour mon pognon. Ces mots mexcitaient terriblement et je navais plus envie que dêtre totalement soumis au moindre de ses désirs. Quelque chose avait changé en moi et je me sentais prêt à accepter tous les outrages.
Plus épais que le mien, plus large, jai refermé ma bouche sur son gros gland rose prêt à éclater tout en lui malaxant les couilles de mes deux mains. Dans un état dexcitation jusqualors méconnu, jai pour la première fois ressentie ce besoin irrépressible, ce désir absolu et ultime de me faire prendre le cul. De plus, ma position permettait aux rares voitures et camions qui passaient dêtre exhibé à la vue de tous. Quelques camions ont klaxonné, rajoutant à mon excitation, mincitant aussi à écarter les cuisses et remonter mes fesses. Je me sentais tellement ouvert et femelle que jaurais pu accepter un sexe énorme dans mon cul.
Je le suçais de plus en plus vite, de plus en plus fort, lorsquil a violemment claqué ma fesse gauche quil a gardée dans sa main, me griffant violemment. Jétais à deux doigts de lui faire cracher son jus lorsquil ma obligé à me redresser, ramenant pour la deuxième fois ma bouche sur la sienne pour un baiser profond. En lui léchant le visage, je lentendais répéter sans discontinuer : « petite pute, petite pute, salope, je vais te mettre, tu vas ten prendre plein le cul et la bouche... ». à me relever, il ma fait retourner car il voulait mater mon petit cul, mon corps imberbe. Une deuxième claque sur la fesse droite a suffi à me soumettre totalement. Une main griffée accrochée à lautre de mes fesses, un sein pincé sévèrement pour mon plus grand plaisir, jai de moi-même écarté mes jambes en les pliant pour lui donner laccès à ce petit trou qui avait tant envie de se faire remplir.
Je navais plus peur. Pas même que du regard de cet homme allant aux toilettes qui restait tétanisé par le spectacle que je lui offrais depuis quelques minutes.
Le sucer maurait comblé
Je nétais plus quun jouet. Une marionnette quon baise en la retournant dans tous les sens. Jattendais en râlant quil me prenne, quil senfonce totalement au fond de mon cul, quil me remplisse, me bourre puis quil se vide en moi. Il écartait mes fesses de ses grosses mains calleuses puis a commencé à doigter mon petit cul. Il m'a dit que j'étais sa petite pute, une belle petite gonzesse et qu'il allait me fourrer jusquà plus soif. « Tu vas ten prendre plein le cul petite salope, tu es mon jouet. Je vais te défoncer le trou et te faire hurler. Je te laisserais partir quand je taurais fini, plein de foutre dans ton cul et sur la gueule. » Et il rajoutait : « Tu aimes ça petite salope, hein ? Dis-moi que tu aimes ça. » « Réponds petite pute, ». « Bourre moi, je suis ta salope, enfonce la moi, déchire moi le cul, baise moi, pisse moi dans le cul.. » Je nen revenais pas de ce que jétais capable de lui dire.
Malgré cela, sentant que cétait ma première expérience, Il a très délicatement l'entrée de mon cul en soulevant mes fesses.
J'aurais aimé que d'autres routiers me regardent à ce moment là, et se branlent devant moi avant de me mettre à leur tour. Toutes mes défenses venaient de tomber et je me suis balancé sur lui comme en pleine crise de démence jusqu'à ce qu'il jouisse dans mon cul. Quelle déception de ne pas sentir son foutre gicler à lintérieur de moi
car Il s'enleva de moi d'un coup sec et me força à me retourner pour m'embrasser sur la bouche. Sa langue cherchait la mienne. Encore très excité, je lui léchais le visage.
Puis je me suis allongé sur le dos, inconfortablement mais avec une telle envie de jouir... Alors qu'il m'enfonçait un doigt dans le cul en me caressant les couilles, il m'a demandé de me branler et de lui gicler dessus. Mon dieu, jamais je navais eu envie de jouir à ce point là. Je me tortillais sur son doigt qui me pénétrait profondément et lui demandai den enfiler un autre, sentant monter en moi un orgasme hallucinant. Très conscient de leffet que je faisais sur lui, je lui demandais de me prendre dans sa bouche, lui disant dune voix rauque :
- « Alors mon gros salaud, tu nas pas envie de te lenfiler dans la bouche ? Regarde comme elle belle ! Tu es déjà fatigué ? Fais un effort, jai encore envie de ton pieux dans ma petite chatte de salope ! Suces moi et baises moi. Embrasses moi, je suis ta petite pute. »
Jai passé mes mains derrière son visage et lai tiré vers moi pour agacer ses lèvres de ma langue. Excité par labsence de beauté de son visage et de son corps, totalement soumis, je titillais de plus en plus du cul avec une folle envie de jouir mais désirais plus que tout gicler dans sa bouche.
- « Viens me baiser encore, dépucèle moi une fois de plus, décalque moi le cul ou je vais me faire finir ailleurs. »
Quelques secondes plus tard, avec laide de ma main, je partais dans sa bouche dans un hurlement qui aurait pu réveiller lensemble des occupants du parking
Totalement vautré, le cul planté dans ses doigts, à peine remis de lintensité de cet orgasme, il recracha sur mon visage ce doucereux liquide que je lui avais offert. Enfin, après un temps qui me sembla infini, il recommença à me doigter le cul, excité je crois de mon regard de salope soumise et langoureuse.
Je voulais quil me désire encore, quil profite de moi au point de me regretter. Alors, je me lovais contre lui, relevais puis écartais mes jambes en sollicitant une caresse plus profonde.
Lorsquil meut mis trois doigts, il me força à le sucer à nouveau. Quelques secondes suffirent à le rendre gros et près à me défoncer une fois de plus.
- « Tu veux ma queue petite salope ? Et bien, pour la gagner, il va te falloir accepter quelques gages, quelques jeux
»
Inutile de vous dire que jétais prêt à tout pour me faire enfiler par lui une fois encore. Son odeur mexcitait tellement
Il me demanda malheureusement plus quil ne mordonna- d'aller totalement nu jusqu'aux toilettes en traversant ce parking ou passaient de nombreuses voitures et camions. Alors, peut être consentirait-il à me défoncer à nouveau. Mon émotion fut intense, parfaitement conscient qu'il pouvait partir avec mes vêtements qu'il avait confisqués, de même que les clés de ma voiture, mes papiers, ma carte bleue qui gisait sur le sol de la cabine dans un désordre total. Javais peur mais souhaitais être vu. Jaurais fait nimporte quoi pour quil soit fou de moi
Jimaginais avoir peur mais il n'en fut rien. Il m'obligea à rester une longue minute nu sur le marchepied et je dus le sucer à nouveau, les jambes écartées et le cul relevé. J'avais envie quun autre homme baise mon cul à ce moment là. Dommage, le parking était désert
Enfin, cest ce que je croyais
Après m'avoir embrassé tendrement, comme si j'étais son amoureuse, il me dit :
- « Tu vas jusquau toilettes des hommes, tu te colles près des pissotières, le cul appuyé contre le lavabo et tu répètes cent fois « je suis une petite salope ». Tu restes immobile et je tinterdis de te caresser. Lorsque tu as fini, tu reviens en marchant très lentement, les mains sur tes fesses afin de bien les écarter, avec une démarche de pute aguichante puis tu frappes à la porte de ma cabine. Si tu te comportes docilement, comme je viens de te le dire, je te baiserais à nouveau. Si tu marches trop vite, que tu reviens trop tôt ou que tu ne réponds pas à mes attentes, je jette tes affaires dehors et tu nauras plus rien. Tu as bien compris petite salope ? Je compte jusquà dix ! »
A cinq, javais ouvert la porte de la cabine et je me préparais à traverser le parking de cet autoroute, qui, malgré lheure tardive de la nuit, me semblait encore très éclairé et trop peut-être plein de vie. Cest le cul légèrement douloureux et le visage dégoulinant de foutre que je me dirigeai très lentement vers les toilettes publiques, quelques trente mètres plus loin.
Javoue que malgré mon excitation, je me sentis plus tranquille lorsque je pénétrai dans ce sordide petit bâtiment en béton. Lorsque je mapprochai de lévier pour prendre la position promise, jentendis le bruit dune chasse deau.
Le cur battant à tout rompre, je me retrouvai devant le routier que javais allumé quelques minutes auparavant. Sans un mot, il sapprocha de moi, qui, bien que quasiment terrorisé, bandais à en hurler de douleur.
Il mattrapa les cheveux, mobligea à faire demi-tour puis à marrêter devant la porte dentrée, parfaitement visible depuis la cabine du routier qui venait de me transpercer. Il me fit retourner à nouveau en tirant mes cheveux vers le haut ce qui mobligea à me mettre sur la pointe des pieds dans une position de totale soumission. Je compris alors quil mexhibait comme un trophée à mon amant précédent, quil avait décidé dr de moi devant lui.
Je nétais plus quune petite salope, mais la sienne désormais. Mobligeant à regarder dans la direction de la cabine éclairée doù je voyais mon ex, il me fit sans douceur mettre à quatre pattes sur une table de pique nique. De moi-même, je posai ma tête sur la table, légèrement de côté, libérant ainsi mes deux mains avec lesquelles jécartais mes fesses. Cinq secondes plus tard, jétais emmanché jusquà la garde par une bite énorme qui me transperçait. Je me fis prendre avec toute la violence du monde, regardant mon routier qui ne perdait pas une miette de cette violente sodomie.
Une minute plus tard, alors que je hurlais de plaisir et de douleur, je sentis ce sexe grandir en moi, se contracter puis sortir dun coup. Le préservatif vola à quelques mètres, juste le temps quil fallut à mon violeur pour attirer mon visage près de son sexe et se vider de son foutre sur moi.
Javalais tout ce que je pouvais et récupérais sur mes joues, le restant ce sa semence au parfum ambré.
- « Je suis ta salope à toi aussi et je te remercie davoir daigné me baiser aussi bien ».
A peine eut-il remonté son jean quil me tira par les cheveux pour me ramener à mon point de départ. Antoine attendait debout devant le marchepied, lair ravi.
- « Je te ramène ta petite pute, elle était vraiment bonne, merci. Nhésite pas à men faire profiter à nouveau une prochaine fois. Bye Antoine et à plus ».
Je venais de comprendre que je navais été que leur jouet. Jallais me venger. Restant seul devant Antoine, nu, je lui dis :
- « Je suis ta salope dévouée, ta petite suceuse, ta pute. Jamais tu ne trouveras de trou plus accueillant que le mien. Laisses moi passer la nuit avec toi et tu ne seras pas déçu. Baises moi encore une fois, enfiles mon cul ou je vais me faire défoncer par un autre
- « Tu es une vraie petite chienne en chaleur, monte, je taccorde quinze minutes. Moi, je travaille, je nai pas que cela à foutre »
Une fois dans le camion, je me comportai comme jamais je naurais pu limaginer. Les quinze minutes se transformèrent en cinq heures torrides et cest au petit matin, épuisé, les traits tirés, sentant le foutre à dix mètres, que je repris ma voiture pour rentrer chez moi.
Javais réussi ce que je souhaitais : Antoine mavais supplié de lui donné mon numéro de portable ou mon adresse mail. Il était à croc. Désormais, il allait connaître ce sentiment de manque identique à celui que jai vécu pendant de longues années avec une épouse qui me fuyait et refusait de vivre ses fantasmes. Pour la première fois, je me sentais « plein », vivant, heureux, comblé, assouvi. Désormais, je ne pense plus quà revivre une aventure similaire.
Si vous vous reconnaissez en Antoine, que vous passez en Sarthe ou en Mayenne, ou tout simplement que vous souhaitez parler avec moi de cette aventure, nhésitez pas à me contacter.
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