Les Fantasmes D Isabelle N° 11
SEJOUR DANS LE CHATEAU DE LORD SIMPSON N° 11 (suite se reporter au N° 10)
Lorsque je finis le tour du parc avec Allen, je décidais de passer par l escalier latéral donnant sur la verrière. Je pouvais ainsi échapper aux regards de Jessey et de Richard. Allen mavait indiqué le chemin jusquà lentrée de ma chambre.
-Tu peux me laisser, lui dis je en ouvrant ma porte.
Allen semblait intimidé. A son regard je compris quil attendait autre chose de moi. Mais javais surtout lenvie de prendre une douche, lodeur de plus en plus forte de sperme venant de mon entrejambe me gênait. Quiconque se serait approché de moi aurait deviné que javais eu un rapport.
-A plus tard Madame, répondit Allen en faisant demi-tour.
-A plus tard Allen on se reverra.
-Jespère bien Madame !
Je refermais la porte derrière moi et me déshabillais séance tenante, jetant mes affaires sur le lit. En retirant ma petite culotte en coton, je pus constater lampleur du sperme quasi séché qui en recouvrait le fond. Je passais ma main sur mon sexe pour constater son état puis la portais à mon nez reniflant lodeur forte qui sen dégageait.
-Diable ! Il na pas lésiné sur la quantité pensais je en ouvrant le robinet de la douche..
Je restais longtemps sous la douche, appréciant la douceur de leau sur ma peau. Je métais savonné chaque recoin de mon sexe veillant à ne laisser aucune trace de la jouissance du palefrenier au fond de mon intimité. Jen profitais pour passer un coup de rasoir sur mon pubis et bien aligner le petit ticket de métro que je gardais.
En sortant de la douche nue, je décidais de choisir une robe légère et ample noire, celle que Jessey aimait particulièrement. Je létendis sur le lit choisissant dans ma valise un string également noire à dentelle. En me retournant je maperçus que le double rideau de la chambre semblait avoir bougé. Mon cur se mit à battre démotion.
-Il y a quelquun ? Demandais dune voix troublée.
Personne ne répondit. Jétais sûr que quelquun se cachait derrière lépais double rideau. Peut être avais je rêvé ! Le cur battant je mapprochais de la fenêtre
pourtant celle-ci était bien fermée. Approchant la main des plis je lécartais doucement. A cet instant je poussais un cri de surprise découvrant Allen.
-Que fais tu ici garnement tu me mâtes ? Sors dici sil te plait !
Allen semblait cramoisi me voyant toute nue exposée à ses yeux. Ceux-ci allaient de mes seins à mon pubis, de mon pubis à mes seins. Je sentis une forme dexcitation de me voir ainsi regardée. Allen semblait à la forme de son short avoir une érection quil avait du mal à cacher.
-Cest du joli ! Comment as-tu fait pour entrer, je ne tai pas entendu ?
-Par la porte Madame ! Pardon javais envie de vous regarder.
-Cest la première fois que tu vois une femme nue devant toi ?
-Oui
sinon dans les revues. Vous êtes très jolie. Vous mavait excité dans lécurie
jai du mal à me calmer.
-Je vois cela.
-Pouvez vous mapprendre
mapprendre à faire lamour ?
Je regardais Allen, il navait rien dun Don Juan, la nature ne lavait pas particulièrement gâté. Mon regard inconsciemment fixait la bosse de son short quil essayait de cacher avec ses deux mains jointes devant.
-Mon pauvre Allen que veux tu que je tapprennes ? Tu me vois nue devant toi, que puis-je de plus ? Tu mas vu me faire prendre par ton copain dans létable
tu as joui devant moi
-Jen ai envie
jen ai envie...mon ventre me fait mal tellement jai envie.
-Allen ce nest pas raisonnable, tu ferais mieux de sortir de ma chambre et si tu veux te soulager tu vas dans la tienne et tu penses à moi
Daccord ?
-Je voudrais connaître le plaisir
rien quune fois !
-Non Allen, tu vas me laisser mhabiller lui dis je en enfilant mon string. Je te promets que je ne ten veux pas
Je poussais gentiment Allen par lépaule vers la porte ; Il sescamota et revint vers le fauteuil du salon.
-Sil vous plait ! Implora til en sortant son sexe presque filiforme de son short
sil vous plait jen ai envie. Je regardais Allen, le sexe rose en tordu dressé à mes yeux. Je sentis une nouvelle excitation envahir mon ventre. Non je ne pouvais pas accéder à sa demande
sa laideur me freinait.
-Caressez moi
comme dans les films sil vous plait.. Rien quune fois
-Tu regardes les films pornos ?
-Oui le palefrenier men passe parfois !
A présent le short dAllen était tombé sur ses chevilles. Il avait lair pathétique avec ses jambes maigres et son sexe dun rose candide. Même son gland semblait minuscule malgré la tension qui lanimait. Cest alors quexcité à lextrême il commença à se branler devant moi, Je revis cette image dAllen dans le boxe.
-Sil vous plait ! Implora til en approchant de moi empêtré dans son short. Je regardais ce sexe presque recourbé qui jaillissait de sa main.
Le sang me monta au visage
cette situation extravagante commençait à mexciter. Je tendis la main vers Allen.
-Viens allonges toi sur le lit.
Allen se débarrassant de son short sallongea en travers du lit, écartant ses maigres cuisses dévoilant ses bourses qui nétaient pas en proportion avec son sexe quil tenait érigé. Quelques poils poussaient sur son pubis. Javais été surprise tout à lheure par limportance de sa jouissance.
Je magenouillais au pied du lit entre les jambes ouvertes dAllen, mapprochant de son sexe quil tenait toujours enserré dans sa main, écrasant celui-ci et faisant gonfler son gland qui était presque violacé. Je pris sa main, la retirant de son sexe, puis délicatement entre deux doigts, je pris la tige dégageant le prépuce au maximum.
Allen à ce contact poussa un léger cri suivi dun long soupire. Cétait la première fois quune femme lui tenait son sexe
Je le pris en pleine main le massant avec délicatesse. Le plaisir semblait envahir Allen qui tremblant de tout son corps, replia ses jambes tout en les écartant au maximum.
Je laissais mon instinct de femelle faire son office et le suçant, laspirant, lengloutissant au fond de ma gorge, je sentais contre mes seins ses maigres jambes trembler de plaisir et démotion.
-Encore encore sil vous plait
encore
Tout en massant ses bourses, je lui donnais sa première leçon de fellation. Jaimais cest vrai sucer les sexes des hommes qui mexcitaient
mais cette situation méchappait totalement,
Allen poussait son bassin vers ma bouche, mue par une volonté de pénétrer ma bouche au plus profond. Je savais à la contraction de son ventre quil allait bientôt jouir. Devais je le faire jouir entre mes doigts ou dans ma bouche ? Je neus pas le temps de réfléchir que je le sentis se crisper totalement, haleter, pousser plus rapidement son bassin, alors que mes lèvres entouraient son gland, jaspirais fortement celui-ci déclenchant sa jouissance. Allen explosa littéralement dans ma bouche, linondant dun flux important de sperme. Je me décidais à lavaler, il était particulièrement aigre, chaud, presque gluant. Sous moi Allen était haletant, secouant sa tête de droite à gauche, complètement prisonnier dune jouissance quil avait tant espéré. Je lui avais donné ainsi sa première expérience dune fellation.
-Voila jeune homme
tu as eu ce que tu voulais, maintenant rhabilles toi et files dici. Alors quAllen se rhabillait avec quelques difficultés encore sous le choc, jallais dans la salle de bains me rincer la bouche et me laver les dents. Le dentifrice escamotant le goût âpre su sperme dAllen. Je me regardais presque honteuse dans la glace, métonnant de ce que javais été capable de faire. Puis je me dis que javais fait une B.A. et quAllen allait sen souvenir toute sa vie
au moins il pourrait meubler ses fantasmes de cette aventure. A lavenir jéviterai de le croiser supposant quAllen fort de cette partie de plaisir voudrait en connaître plus et je nen avais pas envie.
Il était temps que je dépêche Jessey et Richard mattendaient pour lapéritif. Ils devaient se demander ce que je devais faire. Jessey savait que je prenais tout mon temps pour me préparer. Je terminais mon maquillage, passait ma robe noire sans mettre de soutien gorge. Mes seins petits et fermes pouvaient supporter labsence de soutien gorge. Je mamusais à regarder pointer mes deux tétons sous le léger tissu de ma robe trahissant ainsi mon excitation. Je brossais consciencieusement mes longs cheveux blonds. Un dernier regard dans le miroir du placard et jéteignis la lumière refermant ma chambre derrière moi.
En descendant les marches qui menaient au salon, je reconnus les voix de Jessey et de Richard entre le crépitement de la cheminée.
-Ah ben dis donc ! Qui va là ? Nous tattendions ma chérie, sexclama Jessey venant à ma rencontre, un verre de whisky à la main
.Viens mon cur nous avons commencé notre collation sans toi
tu nous excuseras.
Jessey maccompagna jusquaux canapés situés en face de la cheminée.
-Tu es magnifique Isa
souligna Richard en levant son verre après avoir reposé son éternel cigare. Viens à côté de nous. Cette robe te va à ravir ! Fais attention Jessey
une aussi belle femme peut créer des envieux !
-Je sais, jen ai conscience mais Isa et moi
nous savons à quoi nous en tenir !
-Merci vous êtes adorables messieurs ! Puis je avoir un Martini ?
-Fabien ! Ordonna Richard au Majordome, pouvez vous servir un Martini à notre belle invitée !
-Je men occupe Sir !
-Nous parlions Jessey et moi des travaux que jai du faire dans ce château. Je vous montrerai les photos du château lorsque je lai acheté, dans quel état il était et ce quil est advenu aujourdhui !
-Cest magnifique ce que tu en as fait Richard ! Remarquais je en parcourant des yeux lensemble de limmense salon.
-Cest ma fierté les amis !
-Où as-tu trouvé tous ces meubles, armures, tableaux, tapis ?
-Jai passé de longs mois à chiner dans toute la région. Jai même fait venir quelques pièces dAngleterre, comme ce buffet que vous avez derrière vous.
-Magnifique ! Observais-je consciente de la valeur de chaque meuble qui décorait cette pièce au sol de pierres patinées par le temps.
-Alors chère Isa, demanda Richard, quas-tu fait depuis que tu nous as quitté ?
Je me demandais si mes joues étaient en train de rosir trahissant mon émoi.
-Rien de particulier, jai été aux écuries avec Allen, jai fait la connaissance du palefrenier, puis nous avons fait le tour du parc
je suis rentrée me rafraîchir
et voila !
-Tu sais nous allons avoir un week end très chargé ma chérie et plein dimprévues !
-je te fais confiance Richard
tu es un expert en la matière.
-Jespère que tu seras honorée à ta juste valeur.
-Jen suis certaine cher Richard !
-Nous allons passer à table, Fabien nous attend !
Durant le repas, nous avons eu droit à un cours dhistoire de Richard, retraçant avec précision, les étapes du château depuis sa construction par un Duc, jusquà ce jour.
-Au fait vous savez que cette région est connue pour son passé préhistorique
lhomme de Neandertal a défrayé la chronique tout au long de ces montagnes qui nous entourent.
-On dit quils avaient une sexualité très active ? demanda Jessey
-Que voulez vous quils fassent dautre
la chasse la pêche
lamour !
-certes !
-On dit que dans ce village il y a un homme qui a un sexe monstrueux et quil la hérité cela de ses ancêtres ! Ironisa Richard
-Quentends tu par monstrueux ? Demandais je
-Hors norme
Cet homme est un géant, il travaille comme bûcheron, son père tient une scierie à 3 kms dici. En été il est souvent employé pour jouer des scènes de vie préhistorique.
-Il est marié ?
-Non il vie seul, dans une maison près de la rivière.
-Il vaut mieux ne pas le rencontrer au coin dun bois
brouuuu !
-On dit que des femmes viennent de très loin pour découvrir des plaisirs exceptionnels avec lui !
-Ahh ? Cest vrai ?
-Oui il a un succès particulier ! Jai vu souvent des voitures immatriculées en Allemagne, en Belgique, du sud de la France
devant chez lui. Certains disent quils entendent souvent des cris de femme venant de sa grange !
-Barbe bleue ?
-Non il est dune gentillesse extrême. Cest lui qui a refait tous les plafonds, ces poutres ont été remplacées par lui.
-Peux tu nous éclairer sur ton programme Richard ce week end minquiétais-je
-Vous avez chacun votre chambre
-Je men suis aperçue !
-Demain nous avons une vingtaine dinvités qui arriveront dans laprès midi
-Des hommes des femmes ?
-Que des hommes et une femme plus toi Isa
-Doù viennent ils ?
-Ils font partie dune confrérie de Londres
les Baltimore.
-Tu en fais partie Richard ?
-Oui et nous nous réunissons ici deux fois par an
-Et cette femme ?
-Cest mon amie Tatiana qui revient aussi demain de Moscou.
-Nous aurons enfin l honneur de connaître lélue de ton cur !
-Cest un cas très spécial !
Durant le repas, le vin aidant, lambiance de cette salle à manger un peu hors du temps, je repensais à ces premières heures passées au château, la saillie imprévisible et inimaginable de rapidité avec le palefrenier, cette excitation particulière dêtre un moment comme une femelle, cette intermède tout aussi particulier avec Allen. je me dis que ce château inspirait la luxure. Mon regard se posa sur Richard, essayant de deviner ce quil pouvait bien tramer pour ce week-end. Je me faisais peut être des illusions, en fait Richard était peut être un homme sage et nous nous étions peut être trompés sur son compte. Pourquoi nous inviter lors dune réunion de la Confrèrie des Baltimore ? Quavions nous à faire dans cette réunion ? Je navais pas posé la question à Jessey, mais dès que nous aurions un peu de temps, jessaierai davoir son point de vue.
Arrivés à la fin du repas, Richard nous proposa daller nous détendre au coin du feu dans la grande bibliothèque.
Je fus impressionné par toutes ces étagères remplies de beaux livres avec des reliures et des enluminures à lancienne. Lodeur du vieux papier se mélangeait avec celle du cuir et du feu de bois.
-Nous allons déguster un élixir réalisé par un maître de notre confrérie, Sir James Ansower. En fait il est surtout à consommer par nos femmes car il a des vertus particulières..
-Quelles sont ses vertus ? Minquiétais-je
-Cet élixir a la particularité de donner aux femmes de nouvelles sensations !
-Et pour les hommes ? Demandais-je curieuse
-La plénitude ! répondit Richard en riant. Tenez Fabien vient de nous en apporter un verre
cela se boit glacé.
Fabien sans que Richard leût commandé apporta une carafe en cristal remplie dune liqueur dun vert menthe. Il remplit chaque verre de glaçons et versa lélixir sur ceux ci.
-Attendez quelques instants que les glaçons fassent leffet, conseilla Richard. Fabien se retira de la bibliothèque après avoir allumé un immense bougeoir à quatre branches.
-A ta santé belle Isa, lança Richard en levant son verre.
-A la votre répondis-je. Jétais très étonné du peu de contacts que nous avions depuis notre arrivée Jessey et moi, je le sentais très absorbé par les différentes discussions politiques ou économiques quil avait avec Richard. Je me sentais quelque peu à lécart. Je sentis que Richard posait plus souvent son regard sur moi depuis le milieu du repas. Cet homme était séduisant. Que voulait il de moi ?
-Tu as vraiment une très belle femme mon cher Jessey !
- Isa en effet est une femme exceptionnelle, répondit Jessey
-Exceptionnelle sur tous les plans ?
-Sur tous les plans !
-Nous verrons cela ! Comment trouvez vous cet élixir ?
- Cest indéfinissable comme goût mais cest très bon ! Précisais-je
-Cest à base de plantes cueillies en Ecosse sur les lands
Au bout de quelques minutes je me sentis comme portée sur un nuage, mon corps se détendait, je sentis une chaleur envahir mon ventre, comme si elle menveloppait. Limage de Richard et de Jessey devint floue. Je voyais comme dans un brouillard leurs sourires. Les mots de Richards résonnaient par moment dans ma tête. Je sentis comme un souffle dans mon sexe, étrange sensation qui me donna une envie particulière et excitante de pénétration. Je revoyais le palefrenier me labourer les fesses, cette sensation que nous avons nous autres les femmes lorsque lhomme éjacule dans le fond de notre vagin et nous remplit de son sperme tiède. Ces images hantaient mon esprit. Je sentis mon sexe fondre littéralement. Cet élixir était démoniaque.
Je sentis que deux mains me soulevaient de mon fauteuil par les aisselles sans savoir qui cétait. Je titubais en montant les marches vers ma chambre supportée par² des bras puissants. Je chancelais presque en arrivant devant la porte de ma chambre je nétais pas saoule mais dans un état entre la conscience et lextase. Je fus quasiment portée sur mon lit où je mécroulais avec une envie terrible de faire lamour. Linconnu quitta la pièce en éteignant la lumière. La porte se referma délicatement. Jessayais de retrouver mes esprits, impossible de savoir où jen étais. Mon sexe à présent était en feu et je sentais quil shumidifiait je me sentais merveilleusement bien, prête à faire lamour pour léternité. Je revoyais Allen se caresser, je revoyais le sexe du cheval que jenserrai de ma main, je devinais le palefrenier labourer mes fesses, javais envie de jouir, de sexe, de plaisirs !
Cest à peine si jentendis la porte de ma chambre souvrir, impossible dans le noir de deviner qui entrait. A plat ventre sur le lit ma robe remontée sur mes cuisses, javais du mal à me mettre sur mes coudes lorsque je sentis que lon me retirait mes chaussures.
-Jess
Jess cest toi ?
Personne ne répondit. Non ce nétait pas Jessey jaurais reconnu son odeur.
-Qui êtes vous ? Réussis-je à articuler
Aucune réponse narriva. Je sentis linconnu prendre mes deux pieds dans ses mains et les caresser puis déposer un baiser dans le creux de ceux-ci. Mon envie de faire lamour se décupla. Puis je sentis ses mains descendre sur mes mollets, les caresser tout en écartant mes jambes. Les mains de linconnu remontèrent derrière mes cuisses jusquà mes fesses. Un instant il les malaxa, puis passa une main entre mes cuisses sur mon string. Jétais folle de désir, au point que je délirais des mots grossiers que je ne disais jamais.
Les mains habiles re caressaient mes cuisses les écartant au maximum. Un doigt glissa entre lélastique de ma culotte et ma peau.. Je nen pouvais plus jallais avoir un orgasme, je le sentais venir il éclata lorsque linconnu glissa son index dans ma vulve en feu et détrempée. Il laissa son doigt un instant enfoncé dans mon sexe humide puis il lui fit faire des va et vient déclenchant un nouvel orgasme terrible qui me secoua des pieds à la tête. Dieu que cétait bon. Jen voulais encore et encore. Cest alors que linconnu resserra mes cuisses afin de descendre mon string. Il le fit passer par mes pieds, jétais à présent les fesses à lair, offerte. Il dégrafa ma robe et maida à la retirer.
Qui était cet homme ? Richard ? Le Palefrenier ?
impossible de le savoir, mais cétait un homme qui connaissait les femmes et qui les respectait au vu de la délicatesse avec laquelle il me déshabillait. La robe passa par-dessus mes épaules. Jétais à présent nue et offerte au milieu du lit, je tendis la main vers linconnu pour mapercevoir quil était nu
il était entré dans ma chambre nu. Ma main heurta son sexe tendu dans le noir. Je le saisis à pleine main sentant sa dureté. Il était bien monté. Linconnu me prit les deux seins dans ses mains et les caressa doucement sattardant sur mes tétons tendus à lextrême. Cette caresse déclancha une vague de plaisir dans mon ventre jétais sensible des seins.
Linconnu me retourna vers lui, me prit la tête entre ses mains relevant ainsi mes longs cheveux et me força à approcher ma tête de son ventre. Jappréhendais toujours la propreté dun homme dans ces moments là. Jétais difficile et exigeante sur la notion dhygiène. Lhomme sentait bon un doux parfum de bois de santal se dégageait de lui. Je sentis son sexe contre ma joue droite. Je ne pus résister à ouvrir la bouche et à mordre la tige étrangement dure comme du bois. Javais rarement connu un sexe aussi dur que celui que je mordillais à présent. Lhomme présenta son gland à lentrée de ma bouche mincitant ainsi à le prendre au fond de ma gorge, ce que je fis. Il appuya fortement ma tête enfonçant presque toute la longueur de son membre dans ma gorge déclenchant un haut le cur et une remontée de bile dans ma bouche. Il imprima un mouvement régulier de ma tête prisonnière de ses mains sur son sexe déclenchant un râle de sa part de plaisir. Afin de ne pas perdre léquilibre toujours dans ma semi inconscience jappuyais mes deux mains sur chacune de ses cuisses que je sentais musclées. Mais qui était cet homme ? Je ne le connaissais pas. Ma bouche enserrait son gland tout en laspirant. Cétait étrange, ma deuxième fellation depuis ce soir. Allait il chercher à jouir comme cela ? Javais envie de ce sexe dans ma chatte, il était dur, musclé, le gland large et doux roulait sous ma langue. Pas un mot ne sortait de la bouche de linconnu que des sons de plaisir et des râles. Il se retira de ma bouche, me prit par les épaules et me repoussa en arrière sur le lit. Il prit mes deux chevilles et souleva mon bassin à la verticale. Jaimais cette position lorsquun homme me lèche. Il posa mes deux jambes sur ses épaules de chaque côté de sa tête et je sentis son souffle sur mon sexe baigné denvie.
Linconnu frotta son nez sur mon clito le faisant redresser puis écarta mes petites lèvres détrempées. De sa langue il remonta de mon petit trou jusquau clito provoquant un spasme dans mon ventre. De sa position il pouvait plonger sa langue dans mon sexe. Il savait merveilleusement bien sen servir, plongeant dans les limbes secrètes de mon corps, remontant en se tortillant autour de mon clito que je sentais dressé comme rarement il la été puis replongeant en moi au plus profond aspirant toute la cyprine que jémettais. Jéclatais dans un orgasme violent qui me fit redresser mon corps dans des spasmes successifs. Je le sentis quil continuait à maspirer tout en glissant mon clito entre ses lèvres. Cétait merveilleux.
Je me laissais griser par ce contexte général où mon subconscient lui-même se laissait porter par ces fantaisies. Linconnu se redressa tout en maintenant mes jambes posées sur ses épaules, il ne pouvait voir mon sexe tant la chambre était baignée dans le noir le plus profond, il laurait découvert lèvres ouvertes suintant de jouissance prêt à être pénétré. Javais en cet instant lenvie plus que raisonné dune pénétration forte. Je sentais même le sphincter de mon anus se contracter par spasmes successifs. Telle que jétais la pénétration que jattendais ne pouvais quêtre profonde et prenante. Linconnu présenta son gland à lentrée de ma petite chatte. Javais un sexe dadolescente. Cest ce qui excitait souvent les hommes. Jaimais mon sexe que je trouvais beau et bien proportionné surtout au niveau des grandes lèvres. Je le regardais souvent dans une glace surtout lors de mes épilations. Je me disais que si jétais un homme je ne ferais que le manger et le sucer.
Linconnu me pénétra pratiquement à la verticale me tirant un cri de plaisir. Cétait un moment que jappréciais tout particulièrement lorsque après un orgasme important je sentais un sexe dhomme coulisser jusquau fond de mon ventre. Cétait délicieux et souvent cela me déclenchait un nouvel orgasme. Linconnu était attentif à dégager de mon ventre un maximum de plaisir. Il pénétra en douceur, tout en pilonnant fortement enfonçant son sexe durcit et noueux le plus profondément. Chaque fois que le gland touchait le fond de mon vagin, jéclatais de plaisir et mes cris résonnaient dans la chambre. Jétais une femelle qui saccouplait sauvagement. Nos bassins ondulèrent lun contre lautre, je frottais mon sexe contre ses bourses, puis tel un marteau piqueur il se mit à me besogner avec force et sans ménagement. Je sentis venir du fond de mon corps un orgasme puissant une nouvelle fois qui me fit hurler dans un râle indescriptible. Je secouais mon bassin, cherchant le moment où il se devait de minonder de son sperme. Je le sentis se crisper puis il éjacula par saccades le plus profondément en moi. Jétais heureuse de plaisirs et de jouissance. Nos corps restèrent collés un instant dans cette position immobiles. Moi grande ouverte et lui en érection laissant séchapper les derniers spasmes de son sexe. Rien ne vaut une telle jouissance, instant de bonheur que le corps na pas le droit de se refuser. Jaime le sexe, cela fait partie de ma vie, de mon quotidien, mon corps en a besoin, mon moral aussi. Quiconque se refuse ce plaisir de luxure perd une partie de sa vie et de léquilibre de celle-ci.
Linconnu se retira de moi doucement, jentendis très nettement un bruit de succion lorsquil se retira de moi. Il reposa mes deux jambes sur le bord du lit, caressa de sa main mon pubis puis alla constater que mon sexe se vidait de son sperme qui sécoulait sur le couvre lit que nous navions pas eu le temps de retirer. Il se pencha vers mon ventre encore animé de spasmes et déposa un baiser sur celui-ci. Je lentendis alors se diriger vers la porte de ma chambre, jétais comme dans un brouillard, je vis un peu de lumière apparaître, puis la porte se referma. Je passais ma main sur mon front, essayant de retrouver mes esprits. Jétais bien, trop bien peut être et prête encore à faire lamour tout mon corps en réclamait. Je passais également celle-ci entre mes jambes, constatant que mon sexe était inondé de sperme gluant et déjà collant. Sans que je puisse my attendre je sombrais ainsi dans un sommeil profond en travers du lit. Je navais pas eu le temps de dire « merci » à cet inconnu qui mavait ainsi comblée.
FIN DE LA PARTIE
Suite dans « Les Fantasmes disabelle N°12 »
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À bientôt
Isabelle et Jessey
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