Une Bourgeoise Qui Se Decouvre Salope 2

Cette idée de me sentir dominé de la sorte n'a cessé de m'encombrer l'esprit ! Chaque soir en l'absence de mon époux, je m'abandonnais à de multiples caresses me remémorant chaque instant passé dans le chalet complètement à la merci de se vieux cochon. Comment en étais je arrivé là ? Moi la femme fidèle ... Je me caressais, l'envie me rongeait ! Ses mots, sa queue, sa façon de faire de moi sa chose. Je me suis levé un matin, tout en pensant fortement à cela. Comme souvent du reste mais avec l'envie de plaisir débordante ! Il pleuvait, un temps maussade, Je me suis douché, des images plein la tête sans contenir mon envie de me caresser. Les mains couvertes de gel douche je les glissais volontairement entre les cuisses me tordant de plaisir, haletante. Je me pinçais le clito, je grognais seule dans la douche imaginant cet homme repasser chez moi me dépanner moi ...et non le tracteur ! L'envie était trop forte ... Sortie de la douche, j'ai enfilée une petite nuisette très dénudé. J'avais en tête de téléphoner à se dépanneur sans toute fois oser ! La gêne, la honte ...que sais-je encore ! J'ai tournée dans la maison ne sachant que faire avant de prendre le téléphone et mettre à exécution mon plan ! Je m’entends encore demander au type au bout du fil si c'était bien lui qui était intervenu chez moi! Sa réponse fut sans équivoque : " ha encore un problème de carburation ma belle dame ! " Il c'est passé une heure entre mon coup de téléphone et son arrivé. J'étais dans un état !!! J'avais changé trois fois de tenues ne trouvant pas la tenue idéale, J'avais finalement opté pour une petite jupe très prêt du corps, courte noire et un chemisier blanc. Volontairement j'avais oublié le soutien mais un petit string de dentelle noir très froufrou me couvrait les fesses. J'étais complètement paniqué, je ne croyais pas à mon propre comportement ! Lorsque nos regards se sont croisés une fièvre m'a envahit. Son regard provocateur, sa barbe de trois jours .

...Mon estomac c'est retourné ! Sachant éperdument que le tracteur n'était pas plus en panne que cela, j'ai proposé un café. L’homme c'est assis à la table dans la cuisine m'a regardé évoluer autour de la cafetière. Je ne savais comment lui faire comprendre que mon appel ne concernait en rien le tracteur .....Oups, se ne fut pas la peine. Alors que je versais le café dans les tasses, me tenant à sa droite, le type m'a collé une main aux fesses en me demandant si ce n'était pas moi qui avait besoin d'une petite révision. Je souriais sans répondre tandis que ses gros doigts rugueux se frayaient un chemin entre mes cuisses écartant le petit bout de tissus ! Sans même me rendre compte, j'étais aux anges, je restais là, en position, creusant les reins, offrant ma croupe avec plaisir ! Il a vite compris qu'une fois de plus j'étais à sa merci ! Poussant des pieds, il a reculé sa chaise tout en se déboutonnant le bleu de travail. Un gros doigt m'emplissait déjà la chatte et je ronronnais. Il c'est levé, il est passé derrière moi me retroussant la jupe sur les hanches puis il s'est agenouillé. J’entends encore le long gémissement que j'ai lâché lorsque j'ai sentie sa langue chaude me fouiller la raie ! Sa barbe me râpait la peau. Je me suis retrouvé les coudes sur la table, les jambes écartées tendant les cuisses pour mieux m'offrir ! Il grognait tout en me parcourant de la chatte à l’anus, m'enfonçant parfois sèchement un doigt au plus profond de moi ! Je gémissais de plus belle me délectant des attouchements de se vieux vicieux .... " HA ma salope, quel cul de pute tu as !" Ses mots ne firent qu'amplifier le plaisir, je me déhanchais tout en me léchant les lèvres. Là il s'est relevé et a repris place sur la chaise en ayant baissé son pantalon. J'étais toujours en position, le front sur la table, les yeux clos encore emprise de plaisir. Il m'a saisie par le bras en me disant : " allé ma poule, à toi de me montrer tes talents !"
Je me suis retrouvé alors à genoux entre ses jambes et me suis mise à lécher cette queue violacée dégoulinante de mouille avec un peu d'écœurement je l’avoue. Il a pourtant vite fait de me faire oublier ! Il me tenait par les cheveux imprimant un mouvement de va et vient lent mais très profond. " Suce moi bien salope, montre moi que tu es une bonne suceuse !" A ces mots je me suis mise à pomper le dard telle une vrai pro ! Excité sans doute, je n'avais plus besoin de ses mains, c'est bientôt l'inverse qui se produisit, il me freinait dans mes élans, je grognais et pompais au plus profond de ma bouche tout en me tortillant de plaisir. A cet instant j'ai bien crue qu'il allait me jouir au visage mais il s'est encore retiré me redressant. Ses grosses paluches m'ont alors levé les fesses et m'ont posés sur la table. D'une main ferme il m'a couché me saisissant par les chevilles. Il a joué un instant de sa queue tendue entre mes cuisses la faisant glisser le long de ma raie avant de me pénétrer d'un coup sec ! holala ses va et viens en moi m'ont rendu folle, je me cambrais sur la table, je criais, je répondais à ses insultes en lui confirmant ; " oui baise la ta salope !" je grognais m'abandonnant à lui. Il me pétrissait les seins, son ventre claquait sur mes fesses, j'ai sentie la jouissance monter, dans un long spasme rarement atteint j'ai serré les dents laissant échapper de longs soupirs aigus. Lui aussi c'est laissé aller, il a dégorgé sur mon string écarté dans un long râle de plaisir. Je suis resté quelques minutes amorphes, allongée sur la table pendant qu'il s'essuyait la verge avec du papier éponge. Les yeux clos, je glissais mes doigts sur mon ventre sentant le gel chaud qu'il avait laissé sur moi. Il m'a tapoté les fesses en me disant que j'étais une sacré salope et qu'il adorait me baiser. Il m'a dit de l'appeler sans soucis si j'en avais envie. Je suis resté sans réponse tout en me redressant. Je me suis essuyé, je l'ai accompagné à la porte. Il m'a pincé les fesses avant de s’enfuir. Je venais de connaître là, la plus grosse jouissance de ma vie ! A trente huit ans il était temps non ?
lol , bise à tous et à bientôt .