Démarchage
Coup de téléphone
il est 13h30, je devine sans trop deffort mon futur interlocuteur
« Entreprise X, Matthias Frodet bonjour ? »
« Mr Frodet, cest corrine x à lappareil »
Bingo !
« Je vous appelle pour confirmer le rdv aujourdhui à 14h »
« Oui cest toujours bon, je mapprêtais à partir
»
Tu parles, je nétais pas emballé plus que cela par la perspective de me retrouver en tête à tête pour un rendez vous commercial
je napprécie pas outre mesure les commerciaux, leurs méthodes de vente toutes établies, leur dynamisme mépuise la plupart du temps
« Vous men voyez ravie, eh bien a tout de suite alors Mr Frodet. »
Je vous trace un objectif portrait de votre dévoué narrateur : je suis un garçon de 25 ans, type européen, brun, 1m80, 72kg, assez musclé, les yeux marrons verts. Assez séduisant pour avoir son succès auprès de jolies filles, mais pas non plus un physique devant lequel elles se pâment juste a mon passage. Bref un garçon tout à fait ordinaire
avec son lot de fantasmes
14h15
Comme par hasard je ne trouve pas les bureaux où jai rendez vous. Lentreprise pour qui elle travaille étant tout juste implantée, et ne bénéficiant donc pas pour linstant de locaux, la rencontre devait avoir lieu en terrain neutre, un groupement de bureaux en plein centre ville.
Me voilà enfin devant limmeuble avec mes 20min de retard et une légère sueur dans le dos
je déteste ne pas être ponctuel, ça a le don de me stresser pour un rien.
Je rentre dans lenceinte, monte au deuxième et me dirige vers laccueil ou deux femmes me regardent avec la dose de soupçon nécessaire pour augmenter la couleur rouge qui commence à teinter mon visage.
« Bonjour, jai rendez vous avec la société X »
« Ah oui la société X, je vous annonce veuillez patienter
»
Guère longtemps, mon hôte arrive à ma rencontre devant le bureau des deux femmes comme si elle navait rien dautre à faire que guetter ma venue
« Mr Frodet, corrine X »
Poignée de main ferme
« Bonjour, excusez moi pour le retard, limmeuble est pas vraiment facile a trouver »
Tentative de déculpabilisation
qui semble bien échouer.
Corinne, jeune femme dapproximativement 30 ans, blonde, cheveux courts, taille de guêpe, très vivace, le parfait corps dune commerciale aux dents longues. Elle était moulée dans un pantalon noir très sobre, et une petite veste noire fermée qui laissait deviner une belle poitrine ferme.
Elle me fait donc entrer dans son bureau un peu à lécart de laccueil, une petite pièce, inondée de lumière par tout un pan de fenêtre donnant sur la rue, et sinon cloisonnée, avec pour seul mobilier, une table et trois chaises.
Et cest parti, le show commence, avec ses règles immémoriales, son texte appris par cur, ses sourires pour détendre (charmer ?) le client potentiel, et enfin les questions finales
« Alors seriez vous intéressé ? Comme je vous le répète je ne suis pas la seule commerciale et notre offre est bientôt terminée (sans déconner ?)
il se peut que demain un de mes collègues ait un client et que vous ne puissiez plus profiter de cette offre (incroyable !)
jaurais donc besoin dune réponse le plus vite possible
»
Cest le moment de la pirouette« Eh bien je vais exposer votre offre à mon partenaire et je vous rappelle ensuite pour vous donner notre réponse. »
Toujours fuir, ne pas affronter un commercial de front, cest une de mes règles.
« Très bien par contre il me faudrait la réponse avant la fin de semaine (ça ne laisse plus quun jour) »
« Je fais au plus vite alors »
Poignée de main et fuite.
Petite précision, ma société est actuellement en faillite
donc les offres extraordinaires ne memballent pas plus que le reste
Le lendemain téléphone sonne
« Mr Frodet
» corrine !
«
Ah oui jallais vous appeler
»
« Vous avez pu en parler à votre partenaire alors ? »
« Oui, tout à fait
mais il ne semble pas intéressé du tout
je vas donc devoir décliner votre offre
je suis désolé »
Grosse déception à lautre bout du fil, puis un ton changeant.
« Pourrions nous malgré tout nous revoir, jaurais quelques petites questions à vous poser sur les produits que vous proposez
»
Ça alors je refuse son offre et elle me propose un partenariat ?
« Eh bien
je.. »
« Juste 10 min
cet après midi
»
« Jai un créneau, daccord.. »
14h cette fois je suis à lheure, corrine est habillée de la même façon mais me regarde avec un regard plus profond
« En fait voilà
» elle commence à se lever et passe derrière moi
«
Je vous propose un accord un peu spécial
» Jentends la porte se fermer, puis son corps se rapproche implacablement de moi
«
Vous acceptez notre offre et je vous fais passer un moment inoubliable
»
La voilà qui passe ses mains sur mon torse et pose ses lèvres sur mon cou. La chaleur qui menvahit est si soudaine que je reste pétrifié, la respiration saccadée.
Je parviens enfin à répondre :
« Je
je ne pense pas pouvoir accepter cette offre
» Lhésitation plus mon air dadolescent timide ne démontre pas vraiment ma détermination.
Malgré tout elle se retire et se rassoit en face de moi, jambes croisées, sur delle, lair malicieux
En comparaison, je suis complètement liquéfié, rouge comme une pivoine narrivant guère à soutenir son regard
« Je vois » dit elle dun ton qui nengage rien de bon pour moi :
« Alors je vais reformuler
tu vas accepter mon offre gentiment
»
À ce moment un Non ! Ferme aurait été de rigueur
moi je nosais répondre, pétrifié et excité comme un fou par le tutoiement soudain
mon absence de réaction lamusa et la conforta encore plus dans ce quelle semblait avoir deviné.
« Je répète une dernière fois
acceptes docilement ! » le ton la était indubitablement plus ferme.
« Tu commences à me faire perdre mon temps petit con, déshabilles toi ! »
Mon regard qui était scotché a la moquette se releva brusquement vers elle a lécoute de cet ordre
mais quest ce que cest que ce délire
Les yeux que je rencontrais alors me transpercèrent
ma fierté, ma volonté vacillait, je me sentais rétrécir, devenir insignifiant
alors quelle prenait une allure hautaine, la stature dune reine a qui lon doit prêter allégeance.
« Tu as 30 sec. »
Et la je mabandonnais, je me levais et sous son regard dominateur, jenlevais mon pull, mon t-shirt, les yeux cloués au sol redoutant de la voir se moquer de moi, je descendis mon pantalon
« Très bien allez enlèves moi tout ! »
Mon slip rejoignit le reste des affaires à mes pieds, jétais nu comme au premier jour
« Maintenant à quatre pattes et viens à mes pieds »
Comme hypnotisé javançais vers elle
« Regardes-moi ! »
Je relevais les yeux difficilement et là je la vis, si impressionnante, elle plantait son regard dans le mien, elle me soumettait rien que par les yeux
cétait un combat perdu davance pour moi.
« Voilà » dit elle avec un petit sourire
Et elle me colla la semelle de sa chaussure sur le visage
« Tu es mon chien compris ?! Désormais tu vas mobéir et mappeler Madame
»
La semelle frottait contre mon visage, je fermais les yeux, mes lèvres étaient entrouvertes par sa chaussure qui descendait le long de ma bouche, comme si elle voulait me faire prêter serment a ce moment la de ma soumission
«
Oui Madame »
Cétait fait, pas plus long que ça
je métais soumis à une femme en un temps record
Rien à y réfléchir ne pouvait encore me donner limpression que je possédais de la virilité ou de la fierté
un honneur ? Jen doutais, et je suppose que cest ce quelle désirait
que jassiste à leffondrement de mes valeurs masculines
que je devienne son chien, son objet
En arrêtant lessuyage de son pied elle prit un ton plus doucereux mais toujours teinté de moquerie
« Eh bien voilà cétait pas si dur
allez petit chien tu vas signer maintenant le contrat, parce que cest ce que je veux daccord
? »
Elle passa son pied entre mes jambes et commença à me caresser le sexe, qui gonfla immédiatement me révélant à quel point elle avait pris le contrôle de mon corps.
Mais là jeu un sursaut de lucidité et josais lui avouer que ma société ainsi que moi même navions pas le moindre argent
La douleur qui se fit ressentir à cet instant brouilla ma vue, je meffondrais sur la moquette, nu à ses pieds, ce même pied qui venait de me frapper les bourses sans aucune retenue.
Sa colère était réelle, elle devina quelle sétait fait avoir, quelle avait perdu son temps avec une misérable petite larve fauchée, toutes ses pensées étant dites à haute voix pendant quelle tournait dans la pièce me frappant régulièrement avec ses chaussures, moi pauvre masse roulée en boule au sol, encore sous la douleur lancinante qui partait de mes bourses et se rependait dans tout mon corps.
Enfin elle se rassit et les jambes écartées, les mains sur ses genoux et se penchait légèrement pour me parler
« Relèves toi petite salope
A quatre pattes jai dis ! »
Je tentais tant bien que mal de me mettre sur les genoux et de faire tenir mes bras au sol
« Tu vas devoir te faire pardonner pour tout ça salope
tu vas me rendre fière de toi, être une bonne petite chienne bien obéissante cest bien compris ?! »
« Oui Madame, pardonnez moi Madame »
« Jespère bien que tu vas tout faire pour ça
comme je suis trop généreuse avec toi viens te branler contre ma jambe, comme la chienne que tu es désormais »
Je la regardai hésitant, trop respectueux de sa jambe peut être
mais elle me fit signe de venir sur sa jambe moulée dans son pantalon noir. Alors je vins me placer, accroupis sur mes pieds, sa jambe entre les deux miennes et mes bras agrippés a son mollet.
Comme un chien en rut, je me frottais contre la jambe de ma Maîtresse
cétait si humiliant, si déshonorant, mais si agréable, si jouissif
pendant ce temps là elle ne faisait même plus attention à moi, jétais devenu plus insignifiant quun chien, elle notait des informations sur un cahier et moi je lui était si soumis
jaurais tout fait pour elle
Enfin je jouis
ce fut une jouissance incroyable
mon sperme se rependit sur le noir de son pantalon et je me laissa retomber a genoux, épuisé et hagard
elle baissa alors les yeux vers moi sans trop dintérêt et me dit juste :
« Lèches tout »
Puis elle retourna à ses écritures
Une fois le plaisir de la jouissance passé, lexcitation retombe assez vite
et lidée de lécher du sperme nétait pas faite pour menthousiasmer
Je restais à genoux devant sa jambe incapable de prendre une décision quand elle la prit pour moi
« Tu nes décidément pas un bon chien » elle semblait plus fatiguée quénervée en disant cela et me donna un mouchoir pour que je lessuie.
Javais honte de moi
non pas pour toutes les bassesses que je venais deffec, mais pour avoir tant déçu ma Maîtresse
cétait un sentiment si douloureux.. Sourd
« Je suis désolé Madame
jai si honte de ne pas être à la hauteur
je vous assure pourtant que je désire réellement vous servir le mieux possible
»
« Tu nes pas capable de mobéir convenablement
je vais peut être devoir songer à me séparer de toi
tu ne mapportes rien »
Ses paroles me serrèrent le cur
la simple idée de ne plus la revoir me terrorisais
« Tu peux ten aller maintenant
allez dégages petite merde »
La sentence était implacable
jétais congédié, je ne la reverrais sûrement jamais, jétais là, nu, un mouchoir plein de sperme a la main et je la regardais les yeux embués de larmes.
« Je suis désolé »
Je semblais vraiment misérable à ne pouvoir aligner que cette phrase
« Madame je vous en supplie, donnez moi une autre chance
je serais un bon chien, le meilleur chien, je vous suis entièrement soumis
je ferais tout ce que vous voulez »
À ce moment là elle sarrêta décrire et tourna la tête vers moi, elle me regarda sans dire un mot pendant un temps qui me semblais une éternité puis elle dit :
« Très bien dans ce cas je te contacterais peut être, mais noublies jamais ce que tu viens de dire
tu feras tout ce que je désire cette fois »
Jétais encore une fois tombé dans son piège vicieux
tout ce stratagème, le détachement à mon égard, la menace de ne plus la voir, tout cela mavait amené à lui jurer soumission
Lorsque je sortis du bureau, sans que ma Maîtresse ne madressa un autre mot, je rougis en disant au revoir aux femmes de laccueil qui ne semblaient pas être au courant de ce que je venais de subir à quelques mètres de la.
À suivre
Je me tiens à votre disposition pour toutes remarques voir plus de la part de femmes que mon récit pourrait émoustiller
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