Le Fantasme De Fleur De Délice
Québec, Canada,
Voici le fantasme de fleur de délice, une fidèle lectrice. Si vous avez aussi des commentaires ou des demandes spéciales ne vous gênez pas. Jadore vous répondre.
Pour votre plus grand plaisir à tous, mais surtout pour toi fleur de délice, voici ton histoire:
Après une longue et dure journée de labeur je marche dans la ville. Je nai dautre but que de me changer les idées. Oublier, le temps dun moment, les tracas du bureau, un client insatisfait a fait une crise, jai dû renvoyer un employé qui volait lentreprise (et comme cest moi le patron, il me volait personnellement), un fournisseur important à fait faillite me laissant sans autre alternative. Vraiment cétait une mauvaise journée.
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Depuis prêt dune heure, elle court. Jamais, elle ne manque un entraînement. Le plaisir de sentir le sol sous ses pieds est indescriptible. Survolant lespace à grandes foulées, elle se sent libre. Des années de jogging lui ont sculpté un corps superbe. Elle traverse le parc et accélère encore le rythme. De lourde goûtes coulent sur son front et de son visage, ses vêtements sont détrempés par la sueur. Son cur pompe le sang à grande vitesse, elle savoure livresse de leffort qui lenvahie.
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Je marche pour oublier, enfin je ne pense à rien. Tranquillement, le hasard de mes pas méloigne du centre ville. Il y a de moins de passants dans les rues. Seul avec moi-même je profite du silence environnant. Le temps est à lorage. Je sens le vent souffler. Sa force me surprend, des débris de papier et autres saletés volent avec vitesse dans tous les sens. Jentends le tonnerre gronder au loin, le ciel sobscurcie. Poussés par le vent de lourds nuages chargés de pluie avance vers moi.
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Une première goutte vient toucher son visage, surprise elle lève les yeux au ciel. Prise dans sa course, elle navait pas remarqué que le ciel sétait couvert.
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La pluie sintensifie, il est temps que je me mette à labri. Des éclairs zèbrent le ciel à répétions. Le ciel est menaçant comme chargée de colère, il fonce vers moi, je sens la rafale de vent monter du sol et pousser les goûtes contre mon visage. Je suis au milieu dun parc, si ça tombe, je nai pas dendroit ou me cacher, je commence à chercher du regard un endroit au cas où le ciel me tomberait sur la tête.
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Lorsque le déluge a commencé, elle a entamé un sprint pour se réfugier sous un abribus. In extremis, elle a atteint la cachette. Au moment où elle sy cachait le ciel cest déchaîné. Patiente elle attend que les flots se calment. Le déluge est loin de sarrêter, si cest possible, la pluie tombe encore plus fort. La vision est réduite à quelques mètres, elle ne distingue plus les immeubles ni les arbres dans le parc. Trempée de tête aux pieds, elle retire son chandail et entreprend de le torde.
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Au centre de la tempête, japerçois un refuge un abribus en bordure du parc. Rien ne sert de courir je suis déjà trempé comme un canard. On pourrait croire que je viens de traverser la mer à la nage et tout habillé. Je ne suis pas seul à me mettre à couvert dans labribus, une jeune femme sy trouve déjà.
Visiblement elle sest fait surprendre elle aussi par lorage. Ses cheveux sont collés à sa tête, leau ruisselle sur son visage. Cest alors que je remarque quelle ne porte pas de chandail. Trempé, son soutien-gorge ne cache rien de la beauté de sa poitrine. Lauréole est belle et bien proportionnée légèrement plus foncé sur une peau bronzé. La forme et la grosseur de ses seins me font rêver. Linstant dune seconde jimagine prendre ce doux mamelon au creux de ma bouche. Avec effort, je chasse ce fantasme de mon esprit et je réussi à décrocher mon regard de la perfection de ses seins.
Elle sest sûrement aperçut que je portais une attention toute particulière aux courbes de son corps. Sans gêne elle me sourit, pour me saluer. Cette jeune femme doit être ma cadette de quelques années seulement, mi vingtaine maximum. Nous néchangeons aucune parole.
Dehors, lorage gronde, latmosphère est lourde et pesant. Seuls les éclaires nous illuminent de manière sporadique. Sous leurs lumières éphémères je découvre son corps ravissant. Ses courbes très féminines dégagent une sensualité forte. Ses cheveux sont noués en queue de cheval quelle porte haut sur la nuque.
Je prends place à ses côtés sur lunique banc de labribus. Un étrange sentiment mhabite, la proximité avec cette jeune beauté me trouble. Est-ce à cause de lorage, est-ce le fait que personne ne peut nous voir, est-ce parce que mes yeux se régalent de son corps dégoulinant de pluie ; je lignore. Ma seule certitude je veux la posséder, ici, là, maintenant.
Je sens quelle vie elle aussi cette tension invisible qui nous unis. En silence, sous le bruit de la pluie qui sabat sur le mince toit de métal, nous fleuretons du regard. Prisonniers de la tempête, nous sommes coupés du reste du monde. Et si nous nous abandonnons lun à lautre, qui le sera, qui nous jugera ? Personne bien évidement.
Je crois que cest de cette sensation danonymat et de secret qui rend notre situation si unique, si intense, si érotique. Elle shabitue à ma présence je maccoutume à la sienne. Cest par un mélange subtil de non dit, de gestes et de regards que nous nous apprivoisons en silence. La tension entre nous monte dun cran, elle devient chargée de sensualité et dérotisme.
Le hasard nous a réunis dans situation unique, il faut en profiter.
Je me tourne vers elle et pose mes lèvres sur les siennes. Surprise elle se raidie. Je passe ma main derrière sa nuque, retire lélastique qui retient ses cheveux. Une fois libérée, sa chevelure mouillée tombe au milieu de son dos.
Sa langue glisse sur la mienne. Debout au centre de labribus, nous échangeons un baiser tendre et fougueux en même temps. Nos corps mouillés par lorage sont collés comme en fusion. Mes mains caressent tendrement son dos. Elles passent sous létoffe du soutien-gorge en défont lagrafe et le retire. Ses seins chauds sappuient sur mon torse. Je sens les mamelons sériger. Dune main, je caresse cette poitrine qui soffre librement à moi.
Jai embrassée tout le haut de son corps, ses seins, son ventre, ses bras. Elle se tordait dans tous les sens tellement mes lèvres étaient douces et expertes. Elle aurait voulu me caresser aussi, mais je lui interdisais laccès à mon corps. Elle ne pouvait que subir... Tout son corps vibrait sous mes caresses, à nouveau, son cur saccélère et sa peau se couvre de sueur. Sa peau était en feux sous mes caresses. Lalternance de mes baisers, de mes mains qui effleurent à peine son épiderme, de quand jenserre fermement sa poitrine entre mes doigts, un mélange fermeté de sensualité au quel aucune femme ne résiste. Elle laisse le plaisir la dominer et la contrôler.
Le temps dun instant, je mécarte de son corps en fusion, et me rassis sur le banc. Elle se surprend à attendre le retour de mes caresses sur son corps merveilleux. Mes mains sur ses épaules, je la tire à moi et lembrasse de nouveau.
Dune pression ferme je la fais agenouiller devant moi. Sans hésitation, elle exécute ravie de cette demande silencieuse.
Ses mains parcours mon torse en éveille. Elle défait un à un les boutons de chemise. Ses doits passe sur ma peau, cest la première fois que je lui accorde de me toucher. Un courant électrique nous traverse simultanément lorsquelle passe sa langue sur mon ventre.
Dune manière experte, elle entreprend de défaire la boucle de ma ceinture. Elle ouvre ma braguette et me caresse au travers de mon boxer. Mon membre dur est prêt à ses hommages. Elle libère enfin ma queue de son étreinte.
Pour commencer, elle glisse doucement le bout de la langue sur mon gland. À ce premier contact charnel, je laisse échapper un soupir de plaisir. Ce souffle de désir lexiste et lencourage à poursuivre son uvre. Délicatement, elle prend mon pieu et en tète le gland le quelques instants. Je sors de sa bouche bienveillante, et lui offre mon sexe en entier à lécher. Sa langue parcourt mon hampe de bas en haut sur sa pleine longueur. Et à chaque fois quelle atteint le sommet, de nouveau elle me reprend en bouche pour quelques secondes magiques. Par la douceur de ses caresses et la dextérité de sa bouche, je devine quelle adore sucer.
Une fois de plus, ses lèvres souvrent sur mon gland. Cette fois elle descend jusquà la base de mon sexe, avalant ma queue au complet. Avec mon pieu planter dans la gorge, elle entreprend un lent et puissant va et vient. Mon sexe est captif de sa bouche. Elle rassemble toutes ses connaissances du plaisir masculin sapplique à me faire la plus formidable des fellations de toute sa vie. Elle prend plaisir à sentir mon membre palpiter sous sa langue experte. Une fois de plus mes mains trouvent sa nuque. Glissant mes doigts dans ses cheveux, je les agrippe fortement, bien que ma poigne soit solide, je ne lui aucun mal. La tirant par la crinière, je guide et contrôle le rythme avec le quel elle me suce. Ni trop vite ni trop lent. La perfection faite femme. Ses mains sont aussi complices de mon plaisir. Elle alterne entre ses mains et sa bouche, parfois elle avale mon pieu jusquà la garde remontant doucement pour enfin le libérer. Puis elle lui donne quelques coups rapides de poignet. Retour de sa bouche, ses lèvres descendent le long de mon hampe en tournoyant. Londulation divine vient de tout son corps. Je vous jure cest lextase !
En même temps que ma queue senfonce à répétition dans sa bouche onctueuse, elle me caresses lintérieur des cuisses, les couilles et me branle vigoureusement. Jen vibre de plaisir, de fines gouttelettes commencent à perler au centre de mon gland. Ses yeux son brillant dexcitation alors que je ressens des spasmes me parcourir le bas du dos, Elle reconnaît elle aussi les signes annonçant mon orgasme, et elle augmente la cadence. Mon sexe entre et sort rapidement de sa bouche. Elle me fait coulisser entre lanneau ses lèvres, je résiste à la jouissance profitant au maximum de sa bouche. Ses yeux semblent implorés mon plaisir.
Je devine quelle aime par-dessus tout ressentir le plaisir dun homme. Je ferme les yeux et la laisse satisfaire sa gourmandise. Comme une offrande à sa sensualité, à sa douceur, à sa beauté mais surtout à ses caresses divines. Je jouies. Pris de violents spasmes, je pousse mon bassin en avant et je déverse de longues coulées de sève au fond de sa gorge. Heureuse de mavoir fait atteindre lorgasme elle continue à sucer, avec plus dardeur. Dieu que cest Bon ! Elle avale tout jusquà la dernière goûte de ma semence.
Je me relève, elle toujours, sur les genoux, occupée à astiquer mon sexe de sa langue. Je laide à se mettre debout. Mes mains reprennent lexploitation de son corps. Envahi par une fièvre érotique, je glisse sous son vêtement de sport et sa culotte du même coup. Comme un étau, ma main sest refermée sur son sexe trempé.
Mes doigts entrent rapidement en elle et la caresse à toute vitesse. Elle saccroche à mes épaules et écarte largement les cuisses pour me laisser le champ libre. Ses yeux se ferme, elle soupire de plaisir alors que mon pouce chatouille son clito. Elle moffrait son entrejambe, complètement abandonnée au plaisir.
De lautre main, je descends son pantalon. Elle nue devant moi. À mon tout je magenouille à ses pieds. Le dos contre le mur de labribus, elle pousse son bassin avant moffrant son sexe. Lorsque ma bouche sest posée sur sa chatte, jai bien crue quelle allait mourir tant ses gémissements de plaisir était fort.
Jentre ma langue dans sa chatte tel un petit sexe, puis, mattarde sur son clito lentement, terriblement lentement et légèrement. Je passe ma langue de haut en bas sur toute la longueur de sa chatte. Son sexe est si trempé, cest délicieux. Le goût de sa chatte est légèrement salé par la suer de sa course. Je bois à la fontaine entre ses cuisses. Un torrent de cyprine emplie ma bouche. Je me saoul de sa liqueur intime. Ma langue ravage son sexe. La pointe de ma langue sengouffre profondément entre ses lèvres. Puis jintroduis un doigt dans sa grotte de plaisir. Mon majeur sapproprie les parois de ses entrailles.
Un deuxième doigt en elle augmente encore son extase. Je continue de la manger autant quil métait possible. Deux doigts senfonçant en elle a la font vibrer. Elle bouge légèrement écartant encore plus les jambes. Je glisse une main sur son cul. Et reviens tendrement par sa raie, au passage jefflore à peine son anus avant de replonger dans la moiteur de sa fente. Cette subtile caresse tire un gémissement à ma victime.
Elle ne peut plus résister à tant de plaisir, son corps réclamait plus maintenant. Dun mouvement lent et sensuel, elle décolle son sexe de mon visage. Elle appuie les mains sur le petit banc, arque le dos et moffre sa croupe. Elle magnifique. Je me positionne dernière elle. Avant de la prendre, je prends un moment pour apprécier les courbes superbes de son corps de femme. Dans cette position, je me régale de la chute de ses reins, juste avant les fesses. Son cul est tout aussi beau, rond ferme et rebondi.
Je pousse mon sexe dans le sien, mais sans aller au fond. Seul le gland est en elle. Je lui accorde le temps daccueillir mon membre. Mes mains sont par tout sur sa peau. Je caresse ses seins, son ventre son dos, ses bras et ses jambes. Puis je donne un coup de rein si fort que ses bras plient sous limpact. Me saisissant de sa croupe à deux mains, je la burine avec rage.
Mon sexe entre en elle comme une colonne de chaire. Ravageant ses entrailles, de mes coups de butoir, je la porte à jouissance. Alors quelle laisse échapper un long et puissant cri de plaisir. Comme un écho céleste à nos ébats, le ciel séclaire de milles feux. Les éclaires illuminent son corps en extase.
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