Enculée À La Laverie

Tout est arrivé il y a quelques semaines, durant les vacances. Je séjournais dans un camping près de Carcassonne et après avoir passé la soirée avec la dizaine de garçons du camping, je demandais à Nico de me raccompagner à mon mobil-home. Il a accepté avec plaisir et m'a suivit jusqu'à chez moi. Arrivés devant la porte je lui dis :
-Tu veux que je reste un peu ?
-Ba ouai, si tu veux.
Je savais que les autres garçons ne tarderaient pas à nous suivre pour nous espionner. Je l'ai donc emmené aux sanitaires.Tout était fermé par des grilles, excepté la laverie, noire et déserte, nous y sommes entrés.
Je me suis mise contre une des machines, face à lui et j'allume une clope.
La flamme illumine quelques instants son visage d'ange et ses yeux verts qui me fixent.
Il se rapproche de moi et m'embrasse, tout timide. Je le prends par la hanche et l'attire vers moi, ses baisers furent tout de suite plus fougueux. Il pose ses mains sur mes hanches un instant, puis l'une glisse sur mes fesses, tandis que l'autre remonte vers la fermeture éclair de ma veste. Doucement, il la fait descendre, tout en m'embrassant. Ses lèvres sont douces et chaudes et son parfum m'envoûte peu à peu.
Sa main effleure mes seins, il se met à me les caresser, mes tétons se durcissent de plaisir... Puis il descend vers mon pubis. A travers mon jean je sens ses doigts exciter mon clito. Il détache mon bouton et passe sa main son mon string, ma chatte est déjà toute humide. Délicatement, il passe son doigt dans ma fente et me titille le clito ; je me sens vibrer de plaisir sous ses caresses. Je le stoppe avec regret.
-Je suis désolée, j’ai...mes règles.
Il m'embrasse encore une fois.
-C'est pas grave, t’inquiète pas, me répond-il.
Il remet sa main dans mon string et continu à me caresser le clito. Je ne soupire plus, je gémis de plaisir.
Je tire une dernière taffe sur ma clope et je l'éteins sur le sol. Je déboutonne son pantalon et caressais sa bite bien dure à travers son caleçon.

Je me met à genoux devant lui et sors sa queue. Il passe sa main dans mes cheveux et appuie légèrement, je donne quelques coups de langue sur son gland et je l'enfourne dans ma bouche. Je commence à le sucer, en prenant sa bite bien profond dans ma bouche, avec un mouvement assez rythmé.
Sa main caresse mes cheveux, me poussant parfois pour que je prenne sa pine encore plus profonde dans ma gorge. Je l’entends respirer plus fort, commencer à gémir, mais il me relève subitement.

-T'as une capote ? Me demande-t-il tout en mordillant mes tétons.
Je souris et lui tend celle que j'avais prise par précaution. Je lui chuchote à l'oreille:
-J'aime pas le faire quand j'ai mes règles...
Il relève la tête et me regarde, dépité.
-...mais on peut essayer autre chose, enfin, si tu veux. Je lui fait un petit sourire, lui il s'illumine et m'embrasse. Je me dirige vers une table, au fond, retire entièrement mon pantalon, et le regarde. Il s'approche de moi, je le suce un peu, pour qu'il soit bien dur et lui met la capote. J'humidifie mes doigts avec ma salive et je me caresse l'anus pour le détendre. Puis je me retourne, me penche en avant et écarte mes fesses. Il pointe sa queue à l'entrée de mon trou et pousse légèrement. Je sens sa pine m'écarter le cul, pénétrer doucement en moi.
Il commence à bouger doucement en moi, de peur de me faire mal, il n'ose pas aller trop vite. Mais je recule d'un coup, pour m'empaler sur sa bite. Je lâche un soupir de plaisir.
Il me prend alors par les hanches et recommence à me bourrer, mais plus fort et plus vite cette fois-ci. Je pousse des gémissements à chaque fois que sa bite cogne au fond de mon cul, il me prend encore plus fort, il me défonce littéralement le fion!
Il me donne un dernier coup et jouit en même temps que moi.
Il se retire, enlève le capote et m'embrasse.
-T'es une petite salope toi ! Me dit-il à l'oreille, t'aime qu'on te défonce le cul !
Je souris
-Oui, j’adore ça et je suis une vraie salope...
Il m'embrasse.
-Demain soir on se rejoint là ?
-Ok, je l'embrasse une dernière fois et reboutonne mon pantalon. A demain alors. C'était génial.

Il me sourit, je quitte la laverie et rallume une clope.Vivement demain...