Dévergondage De Suzanne

Ma femme, Suzanne, est une vraie beauté. D’origine lusitanienne, elle a de longs cheveux noirs et un corps sexy. Malgré sa petite taille, 1,55 mètre, son corps harmonieux est mis en valeur par ses beaux seins, sa chute de rein et ses jambes musclées. J’aime ma femme, je la respecte, mais je dois bien reconnaître que ce qui m’a attiré chez elle, c’est son cul tout rond. Nous sommes mariés depuis cinq ans, et elle avait voulu rester vierge jusqu’au mariage.

Suzanne a une sœur beaucoup plus âgée, Linda, qui est le contraire de Suzanne. Linda, c’est une grande jument, maigre, sportive, pas de gras, que du muscle, sans cul ni seins. Sans maquillage et avec ses cheveux courts, il faut bien la regarder pour savoir que c’est une femme.

Linda dirige une agence immobilière en Algarve, et nous ne l'avons pas revue depuis notre mariage. Les deux sœurs échangent des messages et des photos, elles s’appellent souvent, mais c'est tout, jusqu'au mois dernier.

Je voyage beaucoup pour des devis de chantiers maritimes, mais quand on m'a désigné pour un déplacement à Faro, j'ai tout de suite appelé Suzanne pour lui suggérer de se joindre à moi, afin qu'elle puisse rendre visite à sa sœur.

Suzanne voulait surprendre Linda, alors elle ne lui a pas annoncé notre arrivée. Nous avons seulement loué une voiture à l’aéroport pour nous rendre chez elle. Nous avons sonné à la porte d'entrée, mais nous n’avons pas obtenu de réponse. Attenante à la maison, il y avait son agence immobilière. Fermée. De l’autre côté de la maison, un jardin, clôturé par une barrière avec des lattes de bois.

Suzanne et moi avons jeté un coup d’œil entre les lattes disjointes de la clôture. Une belle pelouse, quelques arbres, des fleurs et une piscine. Au bord de la piscine, un matelas de plage. Sur le matelas, Linda, entièrement nue, face contre le matelas, le cul haut en l’air. Agenouillé derrière Linda, agrippé à ses hanches, un jeune homme bronzé, baisait la belle-sœur avec une bite incroyablement longue et épaisse.



Je n'avais jamais rien vu de tel de ma vie ! J'ai déjà vu quelques vidéos porno, avec des professionnels bien dotés, mais ce gars-là avait une bite de concours. Je n’imaginais même pas qu’un membre pareil puisse exister. Je suis resté tétanisé un moment, et je suis resté scotché un peu trop longtemps, à regarder ce membre entrer et sortir de Linda.

C’est en reprenant mes esprits que je me suis aperçu de la réaction de Suzanne. Où plutôt son absence de réaction. Les yeux écarquillés, la bouche ouverte, elle était hypnotisée par le spectacle. Et je suppose que ce n’était pas de voir sa sœur nue qui l’excitait à ce point ! Des fois, elle me demandait de faire doucement pour la pénétrer, parce que j’avais un gros sexe qui étirait sa chatte étroite ! Je suis sûr qu'elle n'avait jamais envisagé une bite de la taille de celle qui labourait sa sœur. J'ai ressenti une grande insécurité masculine à ce moment-là.

Ce n'était pas le bon moment pour déranger Linda et son chéri, et j'ai empoigné Suzanne pour l’éloigner de la clôture. Nous sommes allés nous balader pendant une petite heure. Nous sommes restés silencieux tout le temps de la balade, car Suzanne était songeuse.

Plus tard, lorsque Linda nous a ouvert sa porte, les deux sœurs sont tombées dans les bras l’une de l’autre, heureuses, riant et pleurant en même temps, et Linda nous a présenté Jason, le gars qui partage sa vie maintenant.

À 20 ans, Jason aurait pu être le fils de Linda, car elle avait le double de son âge. Il était grand, musclé, blond et bronzé sur tout le corps (on avait vu ses fesses plus tôt). Plus tard, nous avons appris que Linda l’avait embauché pour s’occuper du jardin et de la piscine. Jason s’était si bien occupé de son gazon qu’elle l’avait convaincu d’emménager avec elle.

Linda a insisté pour que nous logions chez elle et, quand le regard suppliant de Suzanne s’est tourné vers moi, j’ai accepté. Nous avons récupéré nos affaires dans le coffre de la voiture, et nous nous sommes installés.
 L’installation terminée, nous avons enfilé nos maillots de bain, pour rejoindre Linda et Jason au bord de la piscine.

C'était une soirée magnifique, et la piscine était romantiquement éclairée. Linda était allongée sur un transat, l’intimité dissimulée par un étroit triangle de tissu rouge retenu par de fines cordelettes. Ses seins minimalistes et bronzés ne nécessitaient aucune entrave.

Jason avait un maillot de bain blanc, en forme de boxer, et le long et épais contour de sa bite détendue était clairement apparent. Visiblement, cela ne manquait pas de troubler Suzanne, en attirant son regard. Nous avions déjà bien arrosé les retrouvailles des deux sœurs, avant et pendant le repas, et nous sirotions un excellent alcool local, assez sucré, donc les inhibitions de Suzanne avaient fondues comme neige au soleil.

Suzanne ne ressentait plus aucune pudeur, et c’est en riant tout le temps, qu’elle a raconté à Linda ce que nous avions vu à travers la clôture, en arrivant cet après-midi. Linda a répondu en racontant à Suzanne, que la première fois, avec Jason, l’accouplement avait été déchaîné et passionné, et qu’elle n'avait vu la taille de sa bite que lorsque tout était terminé. 

Elles riaient bruyamment toutes les deux, lorsque Linda a ajouté :

«J’étais incrédule en le voyant ressortir sa grosse saucisse de ma petite chatte ! Si je l’avais vue avant, j’aurais probablement refusé, en pensant que ce n’était pas possible, et que ça n’entrerait jamais ! Mais, c’était tellement bon, que j’en voulais encore ! Les hommes prétendent que ce n'est pas la taille qui compte, mais la façon de s’en servir, je peux bien te le dire, ma petite Suzanne, il ne faut pas les croire !»

Puis elle s'est levée en disant que nous étions tous de la famille, et que nous n'avions pas besoin de nous embêter avec la pudeur dans la piscine. Elle a ôter le fragile morceau de tissu et elle a sauté dans la piscine.

Jason s'est levé, et il a lentement baissé son short.
 Suzanne avait les yeux qui lui sortaient de la tête. Jason a hésité, il a jeté un coup d'œil à la poitrine rebondie de Suzanne, puis il a sauté dans la piscine. Je pouvais entendre la respiration sifflante de Suzanne, lorsqu'elle se retourna vers moi en demandant : «Michel …?»

Je ne savais pas quoi répondre. C’était quelque chose de sexy que nous n'avions jamais essayé, mais je me sentais mal à l'aise avec la tension sexuelle qui grandissait manifestement entre Jason et ma femme.

Sans attendre mon avis, Suzanne s’est levée, a ôté son sage maillot de bain une pièce, et elle a sauté dans l'eau. Elle a nagé sous l’eau jusqu'à Jason et elle a émergé juste à côté de lui. Jason l’a prise dans ses bras, par-derrière, et il a saisi les seins de ma femme à pleine main !

Sous l’eau, j’ai vu les mains de Suzanne disparaître derrière elle. J’ai compris où elle avait mis ses mains quand j'ai vu le sourire de Jason s'agrandir.

«Il s’est entiché des gros lolos de ma petite sœur» a rigolé Linda en s'asseyant sur la chaise longue tout contre moi. «Il ne m’a parlé que des nichons de ma frangine depuis que vous êtes arrivés ici. Et si tu te poses la question, elle est hallucinée par sa grosse bite.»

J'ai regardé avec incrédulité Suzanne se retourner face à Jason et l'embrasser passionnément : «C’est impossible ! Ma femme a toujours été réservée, à la limite de la pudibonderie !»

«Détends-toi, Michel, ne lui gâche pas ses vacances ! Pour une fois que vous venez au Portugal ! L’atmosphère est à l’amour, ici ! C’est une petite escapade inoffensive, profite du spectacle !»

Linda me baratinais avec sa main sur ma bite. J’ai été surpris de me trouver en pleine érection. Je prenais comme excuse que c’était l’action de la main de Linda qui provoquait mon état, mais je regardais Suzanne et Jason sortir de l’eau et s’allonger tête-bêche sur un matelas de plage.

Je me suis soulevé pour aider Linda à faire glisser mon maillot, et elle s’est penchée pour me prendre en bouche.
Une lumière, placée derrière le couple formé par Suzanne et Jason me permettait de distinguer tous les détails. Jason, allongé sur le dos, suçait bruyamment la chatte de Suzanne accroupie au-dessus de lui.

Suzanne, penchée sur Jason, léchait délicatement sa bite. Elle s’est tournée vers moi, a sourit en voyant sa sœur m’administrer une fellation, et elle a plongé, bouche grande ouverte, sur la bite dressée de Jason, pour le sucer énergiquement.

Cela n'aidait pas vraiment les choses de voir ma petite Suzanne se comporter comme une libertine perverse. Elle n’avait jamais mis autant d’enthousiasme pour me sucer. Et sa grande sœur, Linda, avait un don. Elle me gobait entièrement, puis tirait la langue pour me lécher les couilles. L’envie d’éjaculer commençait à me monter au nez. Je voulais résister, tenir le plus longtemps possible, mais comment faire pour penser à autre chose ?

Après quelques minutes de soixante-neuf, Jason a bousculé Suzanne sur le côté avant de la faire rouler sur le dos. S’agenouillant entre les jambes ouvertes de Suzanne, il lui a fait soulever son bassin pour lui installer un gros coussin sous les reins. En lui tenant les jambes écartées en l’air, il s’est installé contre le cul de ma femme, sa bite reposant sur son ventre. Elle atteignait presque son nombril !

À présent, les jambes de Suzanne étaient repliées, largement écartées, et Jason était en position, avec sa queue de monstre posée sur l'entrée de la chatte manifestement humide de ma femme. Je savais ce qui allait suivre, je voulais l'arrêter, mais je ne pouvais pas. La pression était trop forte et je n’ai pas pu me retenir. En grinçant des dents, je me suis répandu dans la bouche de Linda. Linda leva les yeux, suivit mon regard, et m’a dit :

«Sa bite mesure un peu plus de trente centimètres de long et un peu plus de dix centimètres de circonférence. C’est magnifique, n'est-ce pas ? Ne t’inquiètes pas pour ma petite sœur, il est très doux, il ne va pas la déchirer, et elle saura gérer ça ! Je te parie qu’il va réussir à tout rentrer, jusqu’aux couilles, dans sa petite chatte !»

J'ai haleté en regardant ma femme grogner et gémir sous la lente poussée de Jason, qui insérait lentement sa verge géante dans sa chatte étroite. Suzanne se cramponnait à son bourreau, mais ses petites mains ne le repoussaient pas, bien au contraire.

Immuable, inflexible, depuis que le monde existe, le mâle soumet la femelle à son désir. J'attendais que Suzanne se rebelle, qu’elle repousse l’envahisseur, mais elle ne l’a pas fait. Les yeux fermés, un curieux rictus sur ses lèvres, elle a supporté patiemment la lente intrusion. Plus rapidement que je le croyais possible, le grand garçon a enfoui toute sa longueur dans la chatte de ma femme.

Ils sont restés ensemble, sans bouger, pendant quelques instant, puis Jason a commencé à aller et venir, lentement, précautionneusement, faisant gémir encore plus ma petite femme. Progressivement, presque insensiblement, Jason a augmenté son rythme, jusqu’à se retirer presque complètement avant de replonger avec toute son énergie.

Malgré les cris de Suzanne, je pouvais entendre sa chatte mouillée gicler bruyamment, alors qu'elle succombait sous les assauts de Jason. Le tempo et la puissance augmentaient crescendo, faisant délirer Suzanne de désir et de passion. Elle s’accrochait à lui, griffant son dos et ses épaules avec ses ongles, frappant ses reins avec ses talons, baisant comme une furie luttant dans un combat mortel.

Ensuite, ils ont commencé à jouir. Ce n'était ni gracieux, ni doux. C'était une explosion ! Suzanne criait des horreurs, ses gémissements et ses halètements étaient presque douloureux. Encore et encore, avec des grognements profonds, Jason répandait son sperme en elle.

Ils sont restés blottis l’un contre l’autre quelques instants, hors d’haleine, puis Jason a commencé à se retirer lentement hors de la chatte de Suzanne.

«Non, reste !» implora-t-elle.

Il retira sa bite entièrement, et les lèvres tuméfiées de la chatte de Suzanne se refermèrent lentement. J'ai regardé une énorme quantité de sperme visqueux s'écouler de sa chatte, entre ses fesses, et disparaître entre les coussins. Linda s'est penchée au-dessus de ma femme en riant : «C’est quelque chose, hein, gamine ?»

«Je ... n'ai jamais ... waouh ...» Suzanne pantelait d'une voix mourante.

«Eh bien, laisse-lui cinq minutes pour récupérer, emmène-le dans un grand lit moelleux, et il te fera grimper au septième ciel. Veux-tu changer de partenaire pour la nuit ? Je m’occuperai de Michel pendant que tu baiseras avec Jason ! Est-ce que ça te vas ? Ouais, d’accord !»

J'avais envie de hurler : «Non! Bien sûr que non ! Ça ne va pas, et ça n’ira jamais !» 

Mais je ne l'ai pas fait. Quelque chose d’indéfinissable dans le regard de Suzanne, un mélange de supplique et de détermination, presque un défi, j’ai eu peur pour mon couple, peur de détruire quelque chose, j’ai haussé les épaules.

«C'est gentil, Michel» dit Linda. «Je vais bien m’occuper de toi, tu ne le regretteras pas. Pas la peine de demander à Jason, il est fou de tes gros nichons. Tu vas passer une bonne nuit !»

Linda a tenu parole. Elle s’est bien occupée de moi. Elle ne s'est endormie que lorsque j’ai été hors service. Mais je suis resté éveillé en écoutant les bruits de la chambre voisine, de l’autre côté de la cloison. Les gémissements, les grognements, les soupirs, quelques cris, le sommier qui grince et la tête de lit qui tape contre le mur

Peu de paroles réellement audibles, c’était surtout des exclamations. La seule fois ou j'ai réellement compris, c’était Suzanne qui suppliait Jason : «Non, oh, non, pas dans mon cul ! S'il te plaît, tu es trop gros ! Aïe ! Aïe ! Oh ! Oh, oui ! Oh, putain, oui ! Vas-y, putain, baise-moi le cul !»

C'était atroce, mais ce n'était que le début. Dès le lendemain, j'ai dû commencer mes expertises, qui se sont prolongées toute la semaine. Linda devait aller bosser, ce qui a laissé Jason et Suzanne seuls à la maison. Désœuvrés.
S'ébattre au bord de la piscine, toute la journée, tous les jours. Ils ont trouvé de quoi s’occuper ...

En rentrant, je les trouvais en train de baiser, n’importe où, dedans, sur un lit, un canapé … Dehors, à côté de la piscine, ou dans l’eau. Il était infatigable, elle était insatiable ...

Le corps de Suzanne était couvert de marques d'amour et elle était bronzée de partout. Je me demandais sérieusement si Jason pouvait étirer les orifices de Suzanne au-delà de la guérison, et si les dommages pouvaient rester permanents.

La fin de semaine est enfin arrivée, et Suzanne s'est habillée convenablement pour la première fois de la semaine. Tandis que je rangeais nos bagages dans le coffre, en remerciant Linda pour sa gentillesse, Suzanne était dans le hall, la jupe troussée jusqu’à la taille, appuyée contre la rampe des escaliers, prenant la bite de Jason dans sa chatte une dernière fois, pour lui dire adieu gentiment.

Suzanne a dormi pendant tout le voyage en avion. Elle s’est rendormie dans la voiture en rentrant à la maison. Enfin chez nous, elle est allée se coucher direct. Le lendemain matin, au réveil, Suzanne m'a embrassé tendrement.

«Merci pour cette semaine de vacances, Michel, tu as été très chic !»

«Tu avais l'air si heureuse. Que pouvais-je dire ?»

«Tu aurais pu dire non »

«Ça t'aurait arrêtée ?»

«Je ne sais pas. Je te suis reconnaissante de la manière dont tu t’es comporté, je t’aime, mon chéri !»

Elle s’était blottie tout contre moi, et me caressait doucement la bite. J’aurais dû me méfier. Tout en me bécotant tendrement le visage et les lèvres, elle m’a déclaré, d’une voix hésitante :

«Michel, je ne sais pas comment te dire ça sans te faire de mal, mais la semaine dernière a été extraordinaire. Le meilleur sexe de toute ma vie. Je n’avais jamais imaginé connaître cela. Je ne savais pas que c’était possible, être baisée comme ça, et maintenant, j’ai peur de ne plus jamais connaître cette sensation si merveilleuse.»

«On pourrait essayer ?»

Une demie-heure de baise acharnée. J’ai mis tout ce que j’avais, ma rancœur, ma frustration, ma colère. Suzanne a eut plusieurs orgasmes, mais je savais que ce n’était pas pareil. Pas aussi intense.

«Alors … !?»

«Non, c’était bien … Peut-être encore un peu trop tôt. Tu ne crois pas ?»

«Ce ne sera plus jamais pareil, avec moi, Suzanne. Tu le sais bien. Tu as besoin d’une grosse bite !»

Un gémissement lui échappa et elle se blottit contre moi : «Mais, je t'aime, Michel ! L’autre, je ne l’aime pas ! Ce n’était que sexuel ! C’est toi que j’aime, et toi seul !»

«Je sais, Suzanne, je sais...»

Donc, je lui ai dit mon idée :

«Peut-être qu'il y aurait un homme, dans ce pays, qui aimerait s'amuser, et qui pourrait te contenter ?»

J’ai aidé Suzanne à rédiger sa petite annonce. Elle a beaucoup de succès et cela lui fourni un flot constant d'hommes bien dotés qui souhaitent rencontrer ma femme pour la baiser. Un premier rendez-vous dans un lieu anonyme, pour voir si le monsieur lui convient. Une deuxième rencontre à l’hôtel, et j’assiste aux ébats, par sécurité. Rarement une troisième fois, sauf cas exceptionnel.

Suzanne tient un registre très détaillé et complet. Elle n'a pas encore trouvé d'étalon comparable à Jason, et elle continue de chercher. Je n'arrête pas de me dire que ce n'est qu'un moment, juste une étape, un caprice ...

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