Souvenirs D'Afrique
Je me souviens encore de cette époque avec nostalgie. J'avais
disons dix-huit ans, pour ne choquer personne, et, de fait, je ne sais plus. J'étais seule dans notre maison aux bords du lac Tanganyika, l'un des plus grands lacs dAfrique. Une vraie mer avec des vagues, dans cette partie de lAfrique de lEst qu'on nomme la grande faille africaine. Mon père y avait une plantation de tabac, de café et de thé. De la canne à sucre aussi. Ce qui nous valait régulièrement des invasions déléphants qui adorent les cannes à sucre. Mes parents étaient montés passer le week-end à Bukavu ma mère ne pouvant pas supporter longtemps la solitude de la brousse africaine. Moi, par contre, je m'y sentais à l'aise. Il faut dire que j'y étais née. J'ai su parler swahili avant de savoir parler français.
Mes parents étaient partis très tôt : la route était longue quatre cents kilomètres - malgré l'autoroute. Je venais de me réveiller et je j'étais allée à la cuisine pour y prendre mon petit déjeuner. Le boy me donna l'assiette de porridge qu'il m'avait déjà préparée et il faisait passer le café qui allait suivre. Il ne disait rien mais ce n'était pas la première fois que je constatais qu'il détaillait mon jeune corps à travers ma chemise de nuit. Cela ne me déplaisait pas. J'en éprouvais même une chaleur dans le bas ventre en pensant à ce que je lui avais entendu dire alors que j'étais près d'une fenêtre. Il parlait avec d'autres africains, en précisant en termes crus tout ce qu'il allait me faire s'il avait l'occasion d'entrer dans mon lit. Et tous de rire en lui demandant de les appeler si ce jour-là arrivait. Ce qu'il leur avait promis très sérieusement. Je me fis même la réflexion amusée qu'il allait, sans doute, profiter de ce que j'étais seule à la maison pour s'essayer une approche. Et je me demandais si j'allais le laisser faire ... En fait, cela m'amusait. L'envie de connaître quelque chose dencore inconnue, sans doute ?
Quand j'ai eu fini de déjeuner, je me levais et jallais dans la salle de bain.
Presque immédiatement, je fus submergée par une vague qui se répandait dans tout mon corps, me faisant hurler, au bord de l', bien loin de mes expériences solitaires.. Il continuait à se frotter entre les petites lèvres de plus en plus vite jusqu'à ce qu'il arrive, avec un grondement de satisfaction, à son plaisir qui jaillit contre mon ventre en longs jets chauds. Il me garda un moment contre lui puis il me souleva encore jusquà sa bouche qui s'empara de la mienne. Sa langue pénétra de force entre mes lèvres et se mêla à la mienne, explorant ma bouche jusqu'à ma gorge. Puis elle descendit le long de mon cou jusqu'à mes petits seins qu'il mordillait, qu'il suçait savamment, me replongeant à nouveau dans le plaisir. Enfin, il ouvrit la porte et me porta, comme un paquet, jusque dans ma chambre où il me déposa sur le lit.
Je le voyais nu pour la première fois et je me fis la réflexion angoissée, à la vue de son sexe turgescent qui battait plus haut que le nombril, qu'il ne pourrait jamais faire pénétrer tout cela dans mon corps. Et, en même temps, je l'espérais. Et je devinais que, de gré ou de force, il y parviendrait.
Il me regarda un moment, nue, offerte ainsi à son désir. Il en sourit de bonheur, savourant davance le plaisir que jallais lui donner. Puis, il sallongea sur moi, ses genoux écartant mes jambes. Son bras, passé sous mes fesses, mobligea à soulever mes reins, lui offrant mon sexe. Il reprit sa caresse savante, allant et venant le long des petites lèvres, sachant tout le plaisir que jy prenais. Mais, quand il commença à appuyer fermement son sexe contre le mien, y faisant pénétrer le gland presque entièrement, je le suppliais darrêter : javais limpression dêtre pénétrée par un fer rouge. Gentiment, il sortit de moi et reprit ses caresses. Quand je fus calmée, défaillante de plaisir, il poussa à nouveau son gland en moi. A nouveau, je le suppliais darrêter mais, cette fois, il mimmobilisa contre lui mobligeant à accepter le contact brûlant quil mimposait. Et sa bouche me disait des mots tendres mexhortant à me laisser faire, à mouvrir même pour le recevoir en moi. Et je sentis cette masse de chair brûlante qui pénétrait encore plus en moi en distendant durement mon vagin.
Jétais tellement livrée à lui que, quand il me commanda de lever mes jambes, je lui obéis sans réfléchir. Et, linstant daprès, je hurlais de surprise et de souffrance : il sétait laissé aller de tout son poids sur moi et ses deux bras, passant sous mes cuisses, avaient placé mes jambes sur ses épaules. Puis, il se mit à genoux, ses mains, sous mes fesses, me soulevèrent et son sexe senfonça en moi et me pénétra, dun seul mouvement et sans aucune douceur, de toute sa longueur.
Peu à peu, il accentua ses mouvements. Mon vagin, distendu, le recevait de plus en plus facilement. Enfin, il simmobilisa, fiché en moi jusquaux couilles et je sentis, à la chaleur qui remplissait mon ventre, quil répandait son plaisir au plus profond de moi. Il resta un long moment ainsi. A nouveau, sa langue prit possession de ma bouche, sy enfonçant jusque dans ma gorge, me suçant la langue jusquà men faire perdre le souffle. Puis il me libéra enfin et il se leva, me laissant pantelante et épuisée sur le lit trempé de notre sueur.
Il me dit simplement : « ne bouge pas. Je reviens. » Et il sortit. Il revint, un moment après. Je commençais à mendormir et je sentis à peine quil semparait de chacun de mes bras et je me rendis compte quil les attachait aux montants du lit avec des sandows. Inquiète, je lui demandais ce quil faisait. Il ne me répondit que je le voyais : il mattachait sur mon lit. Il sempara de mes jambes quil attacha de même. Mon oreiller fut placé sous mes fesses. Puis, à nouveau, il sortit.
Au bout dun moment, il revint, accompagné du jardinier. Cétait un vieux mutawa, un métis de pygmée, qui était vieux, sale, édenté et laid à faire peur. Il lui fit constater avec fierté, quil y avait une tache de sang sur les draps, prouvant quil avait eu ma virginité. Puis il lui rappela quil leur avait promis de me prêter à tous et quil tenait sa parole. Et il sortit après mavoir ordonné dobéir à tout ce que me demanderaient tous ceux qui viendraient..
Le vieux mutawa me dit que, quand il était jeune, il y avait de cela longtemps, il avait connu une femme blanche qui lavait sucé. Et il me demanda de lui faire la même chose. Évidemment, je lui dis que je nen ferais rien. Il regarda les attaches de mes bras et de mes jambes, il regarda mon corps nu ainsi offert, et il me dit en riant que je nétais pas en situation de lui refuser quoi que ce soit. Tranquillement, il retira son short et vint sasseoir sur ma poitrine quil écrasait, ses deux jambes pendant de chaque cotés du lit. Il souleva ma tête et plaça son sexe contre mes lèvres contre lesquelles il se poussait. Mais je serrais les dents. Alors il me dit : « suce ». Et, devant mon refus : « je vais tapprendre à obéir, petite fille.. » Il mit ses pouces sur chacune de mes joues et il appuya de toutes ses forces. Mes joues rentrèrent entre mes dents qui ne pouvaient les mordre sans me faire mal. Je dus ouvrir la bouche et son sexe sale y entra jusquau fond de ma gorge. Ses pouces me maintenant toujours la bouche ouverte, son pieu occupait toute ma bouche quoi que je puisse faire. Il força ma tête à aller davant en arrière, lui permettant ainsi de se servir de ma bouche comme dun sexe. Il y prenait tout son temps, faisant aller et venir son sexe dans ma bouche. Enfin, il se plaça au dessus de moi, obligea ma tête à aller totalement en arrière, lui permettant ainsi de senfoncer complètement dans ma gorge. Rapidement, il arriva au bout et je sentis son gland répandre son sperme. Dégoûtée, je cherchais à le recracher. Mais il me serra la gorge en me disant : « non. Tu avales tout, petite fille. » Sous ses mains calleuses, jétouffais et je dus tout avaler, gorgée après gorgée, comme il me lavait ordonné.
Il se leva enfin et il sortit.
Il fut remplacé par lun de ses aides qui, de temps à autre, travaillaient au jardin Il était très inquiet car il craignait que je raconte tout à mes parents. Et il ne voulait pas se faire chasser. Je le rassurais de mon mieux lui disant que je navais pas intérêt à dire ça car je me retrouverais en France. Et dans un pensionnat qui plus est. Et je savais que, pour eux, ce nétait quun jeu. Jouer et faire lamour est le même mot dans toutes les langues africaines. Rassuré, il sétendit sur moi et sescrima à faire pénétrer son sexe en moi. Il y réussi enfin et il aboutit très vite. Après ce que javais enduré, cela me parut très doux. Il me remercia gentiment davoir fait de lui un homme et il sortit.
Trois autres que je connaissais bien car ils servaient aussi souvent à la maison, vinrent ensemble. Ils riaient en me disant quils avaient tellement envie de moi quils ne savaient plus quoi me faire pour commencer. Je leur dis, en riant aussi, quils pouvaient commencer par me caresser. Ce quils firent très volontiers. Des lèvres chaudes semparèrent de ma bouche, deux autres semparèrent de mes seins et deux autres encore soccupèrent de mon sexe pendant que des mains expertes caressaient tout mon corps et pénétrèrent dans toutes mes ouvertures.. Et moi, je partis à nouveau dans le plaisir, incapable de me rassasier sous les caresses de ces trois hommes. Quand ils me demandèrent de les sucer, jacceptais avec plaisir et pour me faire oublier le mauvais goût que mavait laissé dans la bouche le sexe du jardinier. Je me laissais guider par eux pour apprendre. Jai ainsi appris à sucer, à entourer le gland de ma langue, à laspirer jusquà faire jaillir le sperme
Mais ils préférèrent finir dans mon ventre. Le plus vieux (il me connaissait depuis ma naissance et je le considérais avec respect !), quand vint son tour, sagenouilla entre mes jambes et, me soulevant les fesses, il amena mon sexe contre le sien. Il me pénétra dun seul coup de rein et il pesta disant quà force de passer de mains en mains, je nétais plus assez resserrée à son goût. Il se retira et, me soulevant encore plus, il plaça son sexe contre mon anus. Je lui dis que je ne voulais pas quil me pénètre par là. Il me répondit : « donc tu es encore vierge dans ton petit cul ? Cest tout ce que je voulais savoir. Depuis que je te connais, je rêvais de te pénétrer par là. » Mimmobilisant les reins, il se poussa en moi, me forçant à mouvrir, de force, sous la dureté de son sexe. Enfin, il me pénétra complètement, lui aussi parfaitement indifférent à mes cris. Je le sentais comme un pieu dur et brûlant au fond de mon ventre. Les deux autres, inquiets, lui dirent darrêter de me faire mal mais il nen avait rien à faire. Et il leur dit quil connaissait les femmes et que, dans un moment, jallais crier de plaisir. Et cest bien ce qui arriva. Pour me calmer par leur douceur et aussi pour mempêcher de crier, les deux autres sétaient emparés de ma bouche, et de mon clitoris, leurs mains sactivant sur mes seins et dans mon sexe. A nouveau, je sentis le plaisir monter en moi. Nous avons crié notre plaisir ensemble. Enfin, le troisième aboutit lui aussi et ils me quittèrent tous les trois après mavoir dit que je faisais déjà très bien lamour.
Après eux, toute la plantation, une vingtaine de types, jouèrent avec moi, se servant de mon corps, sans trop de douceur, certes, mais sans trop de brutalité non plus. Je passais ainsi de mains en mains jusquà ce quils en aient assez de ce lit trop étroit. Et, surtout, certains navaient pas trop envie que je puisse les reconnaître. Ils me détachèrent donc et me portèrent sur la table du jardin où ils me firent me coucher sur le ventre, les jambes pendantes et les bras attachés aux pieds de la table. Ils me bandèrent même les yeux. Lun deux, plus attentif ou plus gentil que les autres, voyant quils me faisaient tout de même mal et que je saignais encore, fit venir une vieille femme qui me mit dans le vagin une sorte de sève qui me soulagea presque totalement. Et elle me quitta en me disant : « cest bien fait pour toi, petite. Il ne faut pas se promener en chemise de nuit devant un homme. Maintenant, il te faudra tous les satisfaire. Et pas quune fois. » Et, effectivement, maintenant que je ne pouvais savoir qui se servait de mon sexe, ils se firent plus exigeants. Quand lun ou lautre sattardait trop longtemps en moi, les plus pressés se servaient de ma bouche, mobligeant à faire « gorge profonde » et exigeant que jy participe sous les rires des autres qui mencourageaient à faire de mon mieux, me donnant des conseils, me montrant comment me servir de ma bouche comme de mon sexe et, surtout, mordonnant de tout avaler. Lun deux allant même jusquà me faire ouvrir la bouche, à chaque fois, pour vérifier que je nen avais pas gardé ! « Non, disait-il aux autres, cest une gentille fille. Elle a bien tout avalé. « Ah oui, disaient les autres, elle baise vraiment très bien. » Évidemment, ceux qui nen avaient pas profité, me voyant faire, voulaient aussi leur part et jai du, une fois encore, les satisfaire tous.
Enfin, ils furent tous contents de moi et ils sen allèrent lun après lautre laissant enfin le cuisinier me détacher et me porter dans la salle deau où il mavait préparé un bain qui était le bienvenu tant jétais pleine de foutre dans tous les orifices. Et, de plus, javais des bleus de partout !
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