Diné Coquin Entre Voisins

Dîné coquin entre voisins

Je m’appelle Amandine, j’ai 28 ans et je suis mariée depuis maintenant 2 ans. D’un naturel discret, je mesure 1m70, j’ai de longs cheveux bruns, les yeux marron. Pour ceux qui ce le demande, je pèse 60 kg et je fais du 90 C. J’ai des fesses rebondies et plutôt fermes. Il y a quelques mois, je me croyais entièrement attirée par les hommes (étant mariée, il n’y a rien d’étonnant), pourtant…

C’était une journée de mai comme les autres, Richard s’était absenté pour la énième fois et je me retrouvais toute seule en rentrant du travail. Il y a de ça une semaine, de nouveaux voisins sont arrivés dans le quartier, suivant ma première idée et ne voulant pas rester seule un vendredi soir, je les invitaient à dîner. Voulant faire bonne impression (mais ayant bien précisé que la tenue décontracté était de rigueur), j’ai revêtu une petite robe fluide d’un joli bleu ciel. Une robe qui mettait particulièrement mes formes en valeur, sans pour autant paraître vulgaire. Les invités arrivèrent vers 19h. A les voir tous les deux, on aurait pu croire à un couple mais ils me corrigèrent bien vite, m’indiquant qu’ils étaient frère et sœur. Elle (Karine), était vêtue d’une jolie tunique marine et d’une petite jupe blanche moulante qui lui tombait juste au dessous du genou, le tout maintenu par une large ceinture de cuir marron. Son frère (Thomas), portait un simple jean Levis bleu acier et une chemise beige. Je les fis entrer et alors que Karine passait devant moi, mon regard s’attarda sur sa jupe et ses fesses rebondies à souhait. Elle ne portait aucun sous-vêtement !! Entrant à son tour, Thomas m’observa quelques secondes et me fit un clin d’œil, indiquant qu’il avait lui aussi remarqué la raison de ma gêne soudaine. Fuyant son regard et les joues en feu je les dirigeaient vers la salle à manger où j’avais dressé la table. Comme nous n’étions que trois, j’ai placé Thomas à côté de sa sœur et moi, je me suis installée juste en face d’elle.


Au fil du repas, mon regard allant de l’un à l’autre, je les observais silencieusement. Karine était très belle. Elle avait des cheveux blonds attachés en un joli chignon et ses yeux étaient d’un magnifique vert clair. Elle avait maquillé ses lèvres pulpeuses d’un léger rose pâle, ce qui ne les rendait que plus attirantes. Thomas était plutôt mignon, il ressemblait beaucoup à sa sœur mais ses yeux étaient noisette (un peu comme les miens). A la réflexion, on ne pouvait pas les prendre pour un couple tant leur ressemblance était flagrante. Au bout de quelques minutes, je les vis me regarder aussi et se sourire discrètement.

- Où sont les toilettes ?
Sa voix était douce et posée mais je décelais une note d’amusement dans le ton qu’elle employa. Je lui répondis calmement, elle se leva et quitta la table, me laissant seule avec Thomas. Furtivement, mes yeux ne cessèrent de la contempler alors qu’elle s’éloignait.
- Elle est belle ma sœur n’est-ce pas ?
- Ou… ou… oui, répondis-je gênée. C’est une jolie femme.
- Ça te plairai de la voir jouir ?

Cette question me fit sursauter et à nouveau mes joues s’empourprèrent. Il avait sa réponse. Son sourire s’agrandit lorsqu’elle revint. Quand elle reprit place à table, je le vis lui murmurer quelque chose à l’oreille puis elle tourna la tête et me regarda en souriant. Beaucoup trop embarrassée, je me levais et me dirigeais maladroitement vers la cuisine. A mon retour ce que je vis me stoppa net. Thomas avait posé sa main gauche sur la cuisse sa sœur et l’embrassait à pleine bouche. Ayant remarqué ma présence, Karine me fit signe de rejoindre la table. J’entrepris de me rassoir avec des gestes hésitants. En passant près d’eux, je remarquais que les doigts de Thomas avaient progressé. Ils avaient déjà soulevé l’ourlet de sa sœur et remontaient lentement le long de sa cuisse. La jeune femme plongea ses yeux dans les miens, le regard vacillant sous la caresse. Elle me souriait et je me sentais comme paralysée devant le spectacle qu’ils m’offraient.
En face de moi je la voyais se raidir et descendre un peu plus bas sur sa chaise. Je ne pouvais voir la main de Thomas sous la table mais devant la réaction de Karine, je devinais qu’elle avait atteint son intimité. Je m’imaginais sa chatte douce et parfaitement épilée. Je voyais son petit bouton gonflé sous les doigts experts de son frère. A cette pensée, je sentis ma culotte se tremper. Je mouillais comme une folle à la voir offerte sous mes yeux. Cette femme m’excitait et elle le savait, elle jouait avec moi, se mordant les lèvres de plaisir. J’observais son bassin aller et venir à la rencontre des doigts qui la pénétrait. Petit à petit, elle se crispait et ses râles devenaient plus forts. Thomas me regardait, il me souriait voyant l’excitation sur mon visage. Il devinait aisément l’état dans lequel je me trouvais et se mit à accélérer ses caresses. A présent, Karine était cambrée sur son siège, gémissant de plus belle, criant presque. Elle tourna son visage vers celui de son frère, l’implorant du regard de ne pas arrêter ses va et viens. Leurs lèvres vinrent se toucher et leurs langues se mêlèrent tandis que tout son corps était secoué de spasmes. Elle jouissait. Leur baiser s’intensifia dans un dernier effort pour ses gémissements. Je voyais son corps traversé par l’orgasme qui la prenait, elle se crispait, enfonçant ses ongles dans la toile cirée. Les doigts de Thomas poursuivaient leur travail et j’entendais les bruits de succion qu’il faisait en la pénétrant. Bientôt, des larmes coulèrent des yeux de Karine tant l’onde qui la parcourait était violente. Son plaisir était immense et tous ses muscles tremblaient encore lorsqu’elle reprit son souffle. Petit à petit, la fièvre redescendit, le calme revint et seule la respiration saccadée de la jeune femme était perceptible. Lorsqu’elle m’aida à débarrasser, elle me sembla tout à fait naturelle, comme si rien ne s’était passé. Pourtant, je sentais toujours cette chaleur dans le bas de mon ventre quand elle s’approchait de moi.
J’aurai voulu être à la place de Thomas quelques minutes auparavant. La pénétrer moi-même, glisser mes doigts dans sa fente, sentir la chaleur de sa chatte, en écarter doucement les lèvres roses qui en barrait l’accès. J’aurai voulu jouer avec elle, la contrôler… entièrement.

- Je pense que la prochaine fois, il serait bon d’échanger les rôles.
Sa voix me fit tressaillir, comme si un courant électrique avait parcouru l’ensemble de mon corps.
- Qu… Qu… Qu’est-ce que tu entends par là ?
Ma voix sonnait faux, elle trahissait mes pensées. Elle le remarqua et me sourit, amusée.
- Ben oui, la semaine prochaine, c’est toi qui viens chez nous ! Je pense que nous aurons terminé de défaire les cartons.
- Euh… oui, si mon Richard n’est pas là je… je pense que je viendrai.
- Très bien.
Elle semblait satisfaite de ma réponse. Ses yeux me fixèrent un long moment mais Thomas vint interrompre cet échange. Il fallait partir. Au moment de passer la porte, elle se pencha et posa ses lèvres sur ma joue.
- A la prochaine !

Alors qu’ils s’éloignaient je vis Thomas poser sa main sur l’épaule de sa sœur et descendre rapidement vers ses fesses. Pour eux, la soirée n’était pas terminée. Ce soir là, lorsque mon mari rentra à la maison, il fut très surpris de me retrouver nue sur le lit, me masturbant énergiquement. Il était là, près de la porte de notre chambre. Les yeux clos je ne le voyais plus. Je jouissais et lui, il me regardait jouir… me regardait gémir et onduler sur les draps. N’y tenant plus, il me prit dans ses bras et me fit l’amour. Lorsqu’il m’amena à l’orgasme, je vis brusquement mes pensées s’orienter vers une autre direction. Elles allaient vers Karine. Je voulais cette femme, je la désirais plus que tout, du plus profond de mon être. Il va de soi que je n’ai rien dit à Richard de ce qui s’était passé un peu plus tôt, ni que je nourrissais l’espoir d’y goûter encore la semaine suivante.
Les jours me parurent longs dans l’attente de ce plaisir quasi-interdit.
Je n’avais pas revu Karine depuis cette fameuse nuit et il me tardais de pouvoir à nouveau la contempler ; revoir ses magnifiques yeux verts qui vous faisait frémir de désir. Lorsque enfin arriva le vendredi, je priais pour que mon mari ai du travail et soit encore une fois obligé de rester au bureau. Malheureusement il n’en fut rien. Il ne travaillait pas et était bien décidé à ce qu’on passe une soirée en amoureux. Prétextant un dîner entre filles (je n’étais pas très éloignée de la vérité !), je parvins tout de même à m’éclipser. Je n’avais pas travaillé aujourd’hui et j’avais passé la journée à chercher une tenue pour ce soir. Il me fallais quelque chose de neuf, d’élégant et de sexy, sans pour autant dévoiler entièrement mes intentions envers Karine. J’avais finalement opté pour un pantalon noir moulant légèrement taille basse, ce qui laissait entrevoir le joli petit string de coton blanc que je portais en dessous. Pour le haut, je m’étais décidée pour un chemisier blanc un soupçon transparent et un soutien-gorge push-up pour mettre mes formes déjà généreuses, un peu plus en valeur.
Lorsque je vins sonner à leur porte vers 20h, ce fut Thomas qui m’ouvrit.

- Entre !

Un peu déçue que ce ne soit pas Karine, je lui fis la bise, non sans remarquer que ma tenue lui faisait de l’effet. Il salivait devant mon chemisier et ma poitrine qui se dessinait en dessous. Il ne s’en cachait pas et semblait même compter le nombre de bouton ainsi que le temps qu’il lui faudrait pour me les arracher. Amusée, je lui souris et regardais par-dessus son épaule dans l’espoir d’entrevoir sa sœur. Ayant remarqué mon geste, il se fit plus insistant. Il posa sa main sur ma nuque et redescendit en suivant la ligne de ma colonne vertébrale, s’attardant sur les agrafes de mon soutien gorge pour ensuite arriver lentement vers le creux de mes reins et à la naissance de mes fesses. Cette caresse m’ôta un soupir et instinctivement je reculais, appuyant ainsi un peu plus ses doigts contre mon corps. Sa main était à présent entièrement sur mes fesses. Elle naviguait aisément sur le tissus de mon pantalon, faisant monter en moi une vague de désir. Je reculais encore, lui offrant plus de prise. Satisfait de l’effet qu’il m’avait procuré, Thomas s’arrêta et remis sa main dans le bas de mon dos.

- Ne t’inquiètes pas, elle n’est pas loin.
Sur ce, il me poussa en avant, sans brusquerie mais avec une assurance certaine.
- Je vais te faire visiter…
Je n’avais pas spécialement besoin de visiter, nos maisons étant jumelles, je savais à quoi elle ressemblait ! Mais je me laissais tout de même guider, espérant à chaque tournant que Karine apparaîtrai. Il me conduisit devant une porte qui semblait être celle d’une chambre.
- Ouvre !

Lentement j’actionnais la poignée, tressaillant sous les doigts de Thomas qui venait à nouveau de parcourir mon dos. En poussant la porte, il s’est très vite avéré que j’avais raison : il s’agissait bien d’une chambre. Mon regard balaya la pièce et mes yeux se fixèrent en direction du lit. Elle était là ! Adossée aux barreaux du lit Karine me souriait, me contemplait de son regard émeraude. Ses cheveux étaient relâchés et descendaient en une cascade dorée le long de ses épaules. Elle portait un déshabillé noir transparent et dessous, je voyais poindre les formes de son corps : elle était nue. Soudain, Thomas que j’avais presque oublié se rapprocha de moi. A présent je pouvais sentir son torse appuyer contre mon dos et la ceinture de son pantalon monter et descendre, suivant la courbe de mes fesses. Il m’embrassa. Ses lèvres étaient douces sur ma peau parcourue de frissons. Je sentais sa langue cheminer le long de ma nuque et ses dents mordiller le bord de mes oreilles. Karine me regardait sans ciller. Durant quelques secondes encore je parvins à soutenir son regard avant de fermer les yeux, me laissant complètement aller sous les baisers de son frère. Mes soupirent s’intensifièrent et je laissais échapper un gémissement lorsque les doigts de Thomas s’engouffrèrent sous mon chemisier, à la rencontre de mon nombril. Alternant baisers et caresses, il fit monter en moi un désir incontrôlable. Je sentais l’excitation poindre mon bas-ventre et mon string s’humidifier de plus en plus à mesure que les minutes défilaient. J’en voulais plus ! Cambrée, la tête contre son torse, j’appuyais sur ses mains, priant pour qu’il les remontent et que ses doigts n’arrêtent pas là leur exploration. La bouche entrouverte, je frémis lorsqu’ils vinrent presser la dentelle de mon soutien-gorge. J’avais envie de crier, de lui ordonner de me l’arracher mais les mots se transformèrent en râles en sortant de ma bouche. De ses deux mains il empoigna mes seins, les massant, les pressant de ses paumes tandis que ses doigts en titillaient les bouts durcis. Il me rendait folle ! Pourquoi me faisait-il languir !? Je voulais le sentir plus fort, je voulais qu’il me prenne là maintenant sous les yeux de Karine que je sentais toujours posés sur moi. Je voulais voir mon corps onduler de plaisir lorsqu’il viendrait me pénétrer. Lorsqu’il entamerait en moi ses va et viens, que j’imaginais à la fois doux et violents. Pourtant il n’en fut rien. Thomas redescendit ses mains et enveloppa mes hanches. J’ouvris les yeux, tentant de calmer les battements de mon cœur. Je tournais mon visage dans sa direction, lui offrant ma bouche. Il accepta l’invitation et, avec douceur, vint poser ses lèvres sur les miennes. Cet échange me parut interminable. A nouveau la fièvre s’emparait de mon corps. Sa langue qui m’avait si bien excitée tout à l’heure s’enroulait à présent autour de la mienne. Elle allait et venait entre mes dents, cherchant le contact à l’intérieur de ma bouche. Sa main droite avait repris sa descente et s’était arrêtée entre mes cuisses. De peur que mon pantalon ne soit aussi trempé que mon string, je me mis à rougir, avec la certitude que ça n’échapperait pas à Karine. Par réflexe, j’écartais les jambes tandis que, relâchant mes hanches, la main gauche de Thomas cheminait sur mes fesses. A travers mon vêtement je les sentais frotter contre mes lèvres, appuyant sur mon petit bouton rose gonflé de plaisir, cherchant une faille pour atteindre mon anus. L’extase me montait à la tête ! M’échappant à son baiser pour émettre un gémissement de plaisir, je revoyais Karine cambrée sur sa chaise. Je sentais en moi cette vague de que j’attendais. A présent, j’osais la regarder. Elle était là et n’avait pas bougé. Elle continuait de m’observer en souriant, guettant l’orgasme sur mon visage. Je la vis se lever et intimer à Thomas l’ordre de s’arrêter. Ce qu’il fit et immédiatement mon plaisir s’affaiblit. A ce moment tout me parut net. Elle ne voulait pas me voir jouir. Du moins pas tout de suite et pas entre les mains de son frère. Ses intentions étaient claires, j’étais à elle et c’est avec elle que je connaîtrai l’orgasme. Lentement la jeune femme s’approcha de moi. Je voulais l’embrasser, la toucher ou me jeter sur elle mais mes muscles encore secoués refusèrent d’obéir. Elle s’arrêta à quelques centimètres de mon visage, me prit les mains et sans dire un mot me guida jusqu’au lit.

- Allonge toi

Sa voix était calme et rassurante. J’obéis, m’installant sur les draps sans jamais la quitter des yeux. Elle sortit une écharpe blanche de la table de nuit et attacha mes mains aux barreaux du lit. J’étais soumise, offerte au bon vouloir de Karine et de son frère. Debout à côté de moi elle posa ses mains sur mon ventre. De bas en haut elle entreprit de défaire les boutons de mon chemisier, lentement, sans se presser, en savourant l’expression sur mon visage, à la fois impatiente et tendue. L’ayant ouvert complètement elle demeura un instant à observer monter et descendre au rythme de ma respiration, ma poitrine encore enfermée dans sa prison de coton. Elle posa ses doigts sur mes seins, reprenant les gestes de son frère. Aussitôt mes tétons durcirent et formèrent deux petites bosses à travers mon soutien gorge. Elle semblait satisfaite de l’effet produit car son sourire s’agrandit lorsqu’elle ôta cette entrave, libérant ma poitrine. Lentement, préservant l’excitation qui me rongeait, elle s’attaqua à la braguette de mon pantalon. D’un mouvement ample, elle le fit glisser le long de mes jambes. Il ne lui restait que le fin tissu trempé qui recouvrait mon intimité. Contournant le lit, elle vint se placer à mes pieds et, sans cesser de me regarder, elle se pencha en avant les mains appuyées sur le bord du lit. Je la vis approcher sa bouche de mon ventre et descendre vers mon string. Elle en saisit le haut entre ses dents et le fit glisser, intensifiant délibérément les frottements du tissu contre mes cuisses. En quelques secondes je me retrouvais nue, intérieurement je bouillais d’impatience imaginant ce qui allait suivre avec une excitation non dissimulée. Elle ôta son déshabillé, dévoilant sous mes yeux son corps parfait. Elle resta là, sans bouger, me laissant apprécier la vision qu’elle m’offrait. Puis, doucement elle monta sur le lit et posa son corps contre le mien, laissant ses cheveux longs me chatouiller. Sa peau était douce et fraîche. Tout à coup, ses mains se refermèrent sur mes poignets et elle vînt plaquer sa bouche contre la mienne. Ce baiser, il me semblait l’avoir espéré toute ma vie. Suave, inattendu, presque brutal. Oui j’en avais rêvé et elle me l’offrait. Aussitôt je lui rendais de plus belle. Avalant ses lèvres sucrées, jouant avec sa langue. Au bout de quelques minutes son étreinte se desserra et Karine releva son visage. La fixant droit dans les yeux, je la suppliais de me faire l’amour. Elle m’embrassa dans le cou, promenant sa langue sur mon torse et vers mes seins. Elle en prit un entre ses doigts et enveloppa le mamelon de ses lèvres pulpeuses. Ce fut pour moi comme une décharge électrique. Elle le maniait en experte, tantôt jouant de ses doigts, appuyant, pressant mon sein entre ses paumes, tantôt enroulant sa langue autour de mon téton. Elle me suçait, titillait, pinçait, me mordait même littéralement le mamelon et mes gémissements de plaisir se répercutaient en masse sur les murs de la chambre. Elle ondulait sur mon corps, frottant sa poitrine contre moi, m’offrant son odeur. Petit à petit, sa bouche descendit. Elle s’attarda sur mon nombril, sa langue tournait autour. Ses mains avaient suivis la descente et m’entouraient les fesses. Lentement, de mon nombril elle descendit encore. Elle laissait maintenant sa langue se déplacer en souplesse le long de mes cuisses. Je n’en pouvais plus, il faillait qu’elle le fasse… je devais sentir sa langue sur ma chatte ! Mes pensées furent très vite interrompues. Les doigts de la jeune femme étaient posés sur mon sexe brûlant. Elle en écarta doucement les lèvres et glissa avec avidité, sa langue au fond de mon puis, se délectant du nectar crémeux qui s’en écoulait. Par réflexe, j’avançais mon bassin à l’encontre de sa caresse, y enfonçant plus profondément sa langue. Avec ses doigts, elle fit sortir mon petit bouton de son enveloppe et le mit dans sa bouche. Elle le titillait, l’enveloppait de sa langue. A chacune de ses attaques mon corps répondait par un sursaut. Que c’était bon ! La respiration coupée, je lui criais ouvertement mon plaisir. Relâchant la pression sur mon clitoris, elle me regarda quelques instants, puis délicatement, elle présenta deux doigts à l’entrée de mon vagin. N’y tenant plus, j’accélérai les choses en m’y empalant moi-même. Surprise mais surtout amusée, elle entama les va et viens libérateurs que j’attendais. Une fois encore, je sentais le plaisir monter en moi. Une nouvelle vague de chaleur se propageait dans mon corps. Je sentais venir les spasmes et les frissons. Dans un léger couinement, je me mordis les lèvres et fermais les yeux. Karine m’observait, elle savait que j’aimais ça et que mon corps n’allait pas tarder à répondre à son traitement. Elle accéléra ses va et viens, me faisant pousser un cri de surprise, bien vite rejoint par un cri de plaisir. A nouveau mes muscles se raidirent et mes mains agrippèrent leur lien. L’orgasme arrivait et cette fois, elle ne l’arrêta pas. Je jouis, laissant mon jus s’écouler sur ses doigts qu’elle porta à sa bouche avec avidité. Elle posa une dernière fois ses lèvres sur ma poitrine et, lentement, ôta mes liens. A peine libérée je la prit dans mes bras, l’embrassant, la touchant. Du bout de mes doigts je découvrais sa peau, ses bras, son cou, son visage. Très rapidement je léchais le bout de ses seins durcis. Alors que je me faisais plus entreprenante, à ma grande surprise elle m’arrêta.

- Pourquoi ?
Le mot était lâché mais me donnerait elle une réponse ?
- Pas tout de suite
Frustrée mais vaincue, je desserrai mon étreinte. Ses yeux verts me fixèrent puis se posèrent sur son frère.
- je veux d’abord que tu t’occupes de Thomas

Thomas… je l’avais presque oublié. Tournant mon regard, je pu constater que le spectacle auquel il venait d’assister l’avait plus que réjoui. Dans son jean l’excitation était impressionnante. Il m’observait avec envie… envie que je partageais à présent. Obéissante, je me laissais glisser au pied du lit et m’approchais de lui d’un pas décidé. Arrivée à mi-hauteur, il me prit dans ses bras, attirant contre lui mon corps dénudé. Dans l’élan, je posais mes mais sur ses hanches. Je détournais mes yeux un instant, cherchant l’approbation de Karine. Elle me sourit, attendant la suite. Je lui rendis son sourire et, me retournant brusquement vers Thomas, vînt happer ses lèvres douces et charnues pour un baiser passionné et délicieux. Je me laissais doucement glisser vers le paradis qui s’ouvrait devant moi. Mes mains entreprirent de remonter lentement vers son visage, emportant avec elles le T shirt qu’il avait sur lui. Du bout des doigts je palpais son torse nu et imberbe, caressant sa poitrine et ses muscles saillants. Mes mains le dévoraient. Son corps me plaisait… le sien et celui de Karine. Je les aimais et les désirais. Impatient il me prit les mains, ce qui me fit sursauter. Il embrassa mes doigts et les posa sur la boucle de sa ceinture.

- Là !

Sa voix était nerveuse mais l’intention était claire. Soumise je défis la ceinture de son pantalon. Rapidement le vêtement glissa sur ses chevilles, exposant sa virilité à mon regard affamé. Je ne me fis pas prier pour m’agenouiller devant lui et avaler entièrement le membre dressé qu’il me présentait. Ma bouche glissait aisément sur toute sa longueur. Je le dévorais, guidée par les râles de plaisir qu’il manifestait. Petit à petit, j’accélérai l’allure, pensant à Karine qui nous observait toujours. Ma langue ondulait rapidement, cheminant sur les veinures de sa peau tendue et mes mains en suivaient adroitement l’ascension. Elle s’enroulait autour de sa verge rose et brillante de salive. Je sentais qu’il aimait ça… bientôt ses paumes se posèrent sur ma tête, l’immobilisant, sa queue encore dans ma bouche. Il commença à aller et venir entre mes lèvres, enfonçant sa queue toujours plus profondément dans ma gorge. De mes doigts à présente libérés, je malaxais ses bourses remplies de semence. Tout à coup, les mains fraîches de Karine vinrent se poser sur mes seins. Agenouillée derrière moi, elle m’embrassa et la pression sur ma tête se desserra. Doucement elle me tira en arrière et prit ma place devant son frère. Le fixant droit dans les yeux, elle se mit à le pomper. Elle le masturbait comme une folle, changeant constamment de vitesse. De mon côté, j’observais la scène en silence, une main glissée entre mes cuisses lubrifiées par la mouille. Bientôt le jeune homme ne put se contrôler et laissa exploser son plaisir dans la bouche de sa sœur qui n’en perdit pas une goutte. Désireuse d’y goutter aussi, je pris son visage entre mes mains et l’embrassais. La semence chaude qu’elle venait de recueillir passa alors de l’une à l’autre, se mélangeant à notre salive. Une fois l’étreinte achevée, je vis dans les yeux de la jeune femme un pétillement qui m’était jusqu’alors inconnu. D’un geste vif elle se redressa, me prit par la main et marcha vers le lit où elle se laissa tomber, les jambes écartées. Excitée à la vue de son sexe offert devant moi, je me jetais sur elle. Mes mains se posèrent sur ses seins mais ma langue poursuivit sa descente entre ses cuisses. Survoltée par l’attente qu’elle m’avait fait subir, j’oubliais les préliminaires et enfoui mon visage dans son sexe détrempé. Une odeur forte en émanait mais elle ne m’arrêta pas. Je connaissais cette odeur et ce goût pour avoir bien souvent léché mes doigts après un plaisir solitaire. J’aimais je goût de sa chatte et Karine laissa échapper un cri lorsque mes dents vinrent en mordiller les grandes lèvres et que ma langue eut, enfin, frôlé son clitoris. Avançant en terrain inconnu, je me laissais guider par les gémissements et les sursauts de la jeune femme. Intérieurement j’espérai qu’elle prendrai autant de plaisir sous mes caresses que sous celles de Thomas. Aussi je redoublais d’effort pour la satisfaire. Au bout de quelques minutes, j’obtins enfin l’effet escompté. Mes coups de langues sur son petit bouton la faisait crier de plaisir et les : « Oh oui !... vas-y !... oui !... encore !... plus fort !... oui !... » fusaient dans la chambre. J’arrêtai alors mes caresses pour l’observer un moment. Elle avait fermé les yeux et ses mains avaient saisi les draps, qu’elle mordait pour retenir ses cris. Satisfaite, je présentais alors deux doigts à l’entrée de son vagin. A ma grande surprise et une fois encore elle m’arrêta. Sur ses directives j’ouvris le tiroir de la table de nuit et en sortis un long gode lisse et doré. A quatre pattes sur le lit, je le plaçais immédiatement contre son sexe, frottant contre ses lèvres pour l’humidifier. Au moment de la pénétrer, deux mains se posèrent sur mes fesses. Surprise, je retournais. Thomas se tenait derrière moi et présentait sa queue à l’entrée de mon vagin. Je reculais un peu, à la recherche d’une position plus confortable et me laissais faire. D’un coup de rein qui m’ôta un cri, il enfonça ses 25cm dans ma chatte. Sa queue emplissait parfaitement mon vagin et mon sourire s’agrandit à la pensée que j’allais tromper mon mari et me faire baiser par un manche aussi gros. Il resta là, sans bouger pendant quelques secondes, le temps que mon sexe s’habitue à ce nouveau diamètre. Je profitais de cette courte pause pour humidifier à nouveau le gode de Karine et l’introduire dans sa chatte. Jugeant que ça n’allait pas assez vite, elle me saisit le poignet et, d’un coup sec, le tira vers elle. Je vis son bassin se soulever sous cette soudaine pression et je compris comment il fallait que je la baise : elle voulait avoir mal ! Ce fut Thomas qui ouvrit les hostilités et entama en moi un va et viens d’une violence inouïe. Je le rejoignis bientôt, pénétrant Karine avec toute la force dont j’étais capable. Elle hurlait sous mes coups mais mes cris couvraient les siens. Je n’étais pas habituée à ce genre de traitement et mon vagin s’électrisait à chaque fois que Thomas en forçait l’entrée, envoyant une douleur parcourir mon sexe. Pourtant le plaisir que je lu sur le visage de Karine suffit à transformer cette douleur en extase. Je prenais mon pied à sentir cette énorme queue me pistonner et plus il m’en donnait, plus je voulais en donner. Je calquais le rythme des pénétrations de Karine avec celles que je recevais. Sentant l’orgasme monter, je voulu offrir à ma partenaire un maximum de plaisir. Plaçant ma langue sur son clitoris, je reprenais mes petits mouvements circulaires. Elle n’en pouvait plus, elle hurlait et se déhanchait, son bassin ondulant en rythme.

- Oh oui !... Amandine, oui !!! Vas-y !!!

Je lui défonçais la chatte, observant son corps se convulser à la fois sous ma langue et sous mes coups de gode. Voyant l’effet produit sur sa sœur, Thomas posa une main sur mon clitoris et le frotta énergiquement entre ses doigts, sans ralentir le rythme qu’il imposait à mon vagin. Karine fut la première à jouir mais je la rejoignais bientôt, terrassée par le double orgasme qui venait en moi. La pression exercée sur mon clitoris et dans mon vagin était tellement forte que mon corps fut rapidement secoué par ses spasmes incontrôlables. Je voyais Karine se crisper sous l’orgasme et sa respiration se bloquer de temps à autre. Thomas se retira et je fis de même avec la jeune femme. Je sentais mon sexe se contracter, se remettant peu à peu de cette nouvelle sensation. J’entendis Thomas se masturber dans mon dos puis se décharger sur mes fesse. Le sperme chaud ruisselait le long de mes cuisses et Karine s’empressa de le recueillir dans sa bouche. Epuisés nous nous laissâmes tomber sur le lit, satisfait de notre soirée. Toute tremblante, je me rhabillais en hâte sous les yeux de mes amants. Je remerciais maladroitement Thomas tandis que sa sœur me raccompagnait. Au moment de passer la porte, nos lèvres vinrent s’unir une dernière fois.
En rentrant chez moi, j’eus énormément de mal à me concentrer sur le mensonge que je devais raconter à Richard. Nerveuse, je lui avouais la vérité et j’attendais qu’il réagisse. Il se contenta de sourire et m’embrassa. A ce moment, je m’imaginais déjà retourner voir nos voisins et présenter Karine à mon mari…. Mais ça, c’est une autre histoire.

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