Diné Coquin Entre Voisins
Dîné coquin entre voisins
Je mappelle Amandine, jai 28 ans et je suis mariée depuis maintenant 2 ans. Dun naturel discret, je mesure 1m70, jai de longs cheveux bruns, les yeux marron. Pour ceux qui ce le demande, je pèse 60 kg et je fais du 90 C. Jai des fesses rebondies et plutôt fermes. Il y a quelques mois, je me croyais entièrement attirée par les hommes (étant mariée, il ny a rien détonnant), pourtant
Cétait une journée de mai comme les autres, Richard sétait absenté pour la énième fois et je me retrouvais toute seule en rentrant du travail. Il y a de ça une semaine, de nouveaux voisins sont arrivés dans le quartier, suivant ma première idée et ne voulant pas rester seule un vendredi soir, je les invitaient à dîner. Voulant faire bonne impression (mais ayant bien précisé que la tenue décontracté était de rigueur), jai revêtu une petite robe fluide dun joli bleu ciel. Une robe qui mettait particulièrement mes formes en valeur, sans pour autant paraître vulgaire. Les invités arrivèrent vers 19h. A les voir tous les deux, on aurait pu croire à un couple mais ils me corrigèrent bien vite, mindiquant quils étaient frère et sur. Elle (Karine), était vêtue dune jolie tunique marine et dune petite jupe blanche moulante qui lui tombait juste au dessous du genou, le tout maintenu par une large ceinture de cuir marron. Son frère (Thomas), portait un simple jean Levis bleu acier et une chemise beige. Je les fis entrer et alors que Karine passait devant moi, mon regard sattarda sur sa jupe et ses fesses rebondies à souhait. Elle ne portait aucun sous-vêtement !! Entrant à son tour, Thomas mobserva quelques secondes et me fit un clin dil, indiquant quil avait lui aussi remarqué la raison de ma gêne soudaine. Fuyant son regard et les joues en feu je les dirigeaient vers la salle à manger où javais dressé la table. Comme nous nétions que trois, jai placé Thomas à côté de sa sur et moi, je me suis installée juste en face delle.
Au fil du repas, mon regard allant de lun à lautre, je les observais silencieusement. Karine était très belle. Elle avait des cheveux blonds attachés en un joli chignon et ses yeux étaient dun magnifique vert clair. Elle avait maquillé ses lèvres pulpeuses dun léger rose pâle, ce qui ne les rendait que plus attirantes. Thomas était plutôt mignon, il ressemblait beaucoup à sa sur mais ses yeux étaient noisette (un peu comme les miens). A la réflexion, on ne pouvait pas les prendre pour un couple tant leur ressemblance était flagrante. Au bout de quelques minutes, je les vis me regarder aussi et se sourire discrètement.
- Où sont les toilettes ?
Sa voix était douce et posée mais je décelais une note damusement dans le ton quelle employa. Je lui répondis calmement, elle se leva et quitta la table, me laissant seule avec Thomas. Furtivement, mes yeux ne cessèrent de la contempler alors quelle séloignait.
- Elle est belle ma sur nest-ce pas ?
- Ou
ou
oui, répondis-je gênée. Cest une jolie femme.
- Ça te plairai de la voir jouir ?
Cette question me fit sursauter et à nouveau mes joues sempourprèrent. Il avait sa réponse. Son sourire sagrandit lorsquelle revint. Quand elle reprit place à table, je le vis lui murmurer quelque chose à loreille puis elle tourna la tête et me regarda en souriant. Beaucoup trop embarrassée, je me levais et me dirigeais maladroitement vers la cuisine. A mon retour ce que je vis me stoppa net. Thomas avait posé sa main gauche sur la cuisse sa sur et lembrassait à pleine bouche. Ayant remarqué ma présence, Karine me fit signe de rejoindre la table. Jentrepris de me rassoir avec des gestes hésitants. En passant près deux, je remarquais que les doigts de Thomas avaient progressé. Ils avaient déjà soulevé lourlet de sa sur et remontaient lentement le long de sa cuisse. La jeune femme plongea ses yeux dans les miens, le regard vacillant sous la caresse. Elle me souriait et je me sentais comme paralysée devant le spectacle quils moffraient.
- Je pense que la prochaine fois, il serait bon déchanger les rôles.
Sa voix me fit tressaillir, comme si un courant électrique avait parcouru lensemble de mon corps.
- Qu
Qu
Quest-ce que tu entends par là ?
Ma voix sonnait faux, elle trahissait mes pensées. Elle le remarqua et me sourit, amusée.
- Ben oui, la semaine prochaine, cest toi qui viens chez nous ! Je pense que nous aurons terminé de défaire les cartons.
- Euh
oui, si mon Richard nest pas là je
je pense que je viendrai.
- Très bien.
Elle semblait satisfaite de ma réponse. Ses yeux me fixèrent un long moment mais Thomas vint interrompre cet échange. Il fallait partir. Au moment de passer la porte, elle se pencha et posa ses lèvres sur ma joue.
- A la prochaine !
Alors quils séloignaient je vis Thomas poser sa main sur lépaule de sa sur et descendre rapidement vers ses fesses. Pour eux, la soirée nétait pas terminée. Ce soir là, lorsque mon mari rentra à la maison, il fut très surpris de me retrouver nue sur le lit, me masturbant énergiquement. Il était là, près de la porte de notre chambre. Les yeux clos je ne le voyais plus. Je jouissais et lui, il me regardait jouir
me regardait gémir et onduler sur les draps. Ny tenant plus, il me prit dans ses bras et me fit lamour. Lorsquil mamena à lorgasme, je vis brusquement mes pensées sorienter vers une autre direction. Elles allaient vers Karine. Je voulais cette femme, je la désirais plus que tout, du plus profond de mon être. Il va de soi que je nai rien dit à Richard de ce qui sétait passé un peu plus tôt, ni que je nourrissais lespoir dy goûter encore la semaine suivante.
Les jours me parurent longs dans lattente de ce plaisir quasi-interdit.
Lorsque je vins sonner à leur porte vers 20h, ce fut Thomas qui mouvrit.
- Entre !
Un peu déçue que ce ne soit pas Karine, je lui fis la bise, non sans remarquer que ma tenue lui faisait de leffet. Il salivait devant mon chemisier et ma poitrine qui se dessinait en dessous. Il ne sen cachait pas et semblait même compter le nombre de bouton ainsi que le temps quil lui faudrait pour me les arracher. Amusée, je lui souris et regardais par-dessus son épaule dans lespoir dentrevoir sa sur. Ayant remarqué mon geste, il se fit plus insistant. Il posa sa main sur ma nuque et redescendit en suivant la ligne de ma colonne vertébrale, sattardant sur les agrafes de mon soutien gorge pour ensuite arriver lentement vers le creux de mes reins et à la naissance de mes fesses. Cette caresse môta un soupir et instinctivement je reculais, appuyant ainsi un peu plus ses doigts contre mon corps. Sa main était à présent entièrement sur mes fesses. Elle naviguait aisément sur le tissus de mon pantalon, faisant monter en moi une vague de désir. Je reculais encore, lui offrant plus de prise. Satisfait de leffet quil mavait procuré, Thomas sarrêta et remis sa main dans le bas de mon dos.
- Ne tinquiètes pas, elle nest pas loin.
Sur ce, il me poussa en avant, sans brusquerie mais avec une assurance certaine.
- Je vais te faire visiter
Je navais pas spécialement besoin de visiter, nos maisons étant jumelles, je savais à quoi elle ressemblait ! Mais je me laissais tout de même guider, espérant à chaque tournant que Karine apparaîtrai. Il me conduisit devant une porte qui semblait être celle dune chambre.
- Ouvre !
Lentement jactionnais la poignée, tressaillant sous les doigts de Thomas qui venait à nouveau de parcourir mon dos. En poussant la porte, il sest très vite avéré que javais raison : il sagissait bien dune chambre. Mon regard balaya la pièce et mes yeux se fixèrent en direction du lit. Elle était là ! Adossée aux barreaux du lit Karine me souriait, me contemplait de son regard émeraude. Ses cheveux étaient relâchés et descendaient en une cascade dorée le long de ses épaules. Elle portait un déshabillé noir transparent et dessous, je voyais poindre les formes de son corps : elle était nue. Soudain, Thomas que javais presque oublié se rapprocha de moi. A présent je pouvais sentir son torse appuyer contre mon dos et la ceinture de son pantalon monter et descendre, suivant la courbe de mes fesses. Il membrassa. Ses lèvres étaient douces sur ma peau parcourue de frissons. Je sentais sa langue cheminer le long de ma nuque et ses dents mordiller le bord de mes oreilles. Karine me regardait sans ciller. Durant quelques secondes encore je parvins à soutenir son regard avant de fermer les yeux, me laissant complètement aller sous les baisers de son frère. Mes soupirent sintensifièrent et je laissais échapper un gémissement lorsque les doigts de Thomas sengouffrèrent sous mon chemisier, à la rencontre de mon nombril. Alternant baisers et caresses, il fit monter en moi un désir incontrôlable. Je sentais lexcitation poindre mon bas-ventre et mon string shumidifier de plus en plus à mesure que les minutes défilaient. Jen voulais plus ! Cambrée, la tête contre son torse, jappuyais sur ses mains, priant pour quil les remontent et que ses doigts narrêtent pas là leur exploration. La bouche entrouverte, je frémis lorsquils vinrent presser la dentelle de mon soutien-gorge. Javais envie de crier, de lui ordonner de me larracher mais les mots se transformèrent en râles en sortant de ma bouche. De ses deux mains il empoigna mes seins, les massant, les pressant de ses paumes tandis que ses doigts en titillaient les bouts durcis. Il me rendait folle ! Pourquoi me faisait-il languir !? Je voulais le sentir plus fort, je voulais quil me prenne là maintenant sous les yeux de Karine que je sentais toujours posés sur moi. Je voulais voir mon corps onduler de plaisir lorsquil viendrait me pénétrer. Lorsquil entamerait en moi ses va et viens, que jimaginais à la fois doux et violents. Pourtant il nen fut rien. Thomas redescendit ses mains et enveloppa mes hanches. Jouvris les yeux, tentant de calmer les battements de mon cur. Je tournais mon visage dans sa direction, lui offrant ma bouche. Il accepta linvitation et, avec douceur, vint poser ses lèvres sur les miennes. Cet échange me parut interminable. A nouveau la fièvre semparait de mon corps. Sa langue qui mavait si bien excitée tout à lheure senroulait à présent autour de la mienne. Elle allait et venait entre mes dents, cherchant le contact à lintérieur de ma bouche. Sa main droite avait repris sa descente et sétait arrêtée entre mes cuisses. De peur que mon pantalon ne soit aussi trempé que mon string, je me mis à rougir, avec la certitude que ça néchapperait pas à Karine. Par réflexe, jécartais les jambes tandis que, relâchant mes hanches, la main gauche de Thomas cheminait sur mes fesses. A travers mon vêtement je les sentais frotter contre mes lèvres, appuyant sur mon petit bouton rose gonflé de plaisir, cherchant une faille pour atteindre mon anus. Lextase me montait à la tête ! Méchappant à son baiser pour émettre un gémissement de plaisir, je revoyais Karine cambrée sur sa chaise. Je sentais en moi cette vague de que jattendais. A présent, josais la regarder. Elle était là et navait pas bougé. Elle continuait de mobserver en souriant, guettant lorgasme sur mon visage. Je la vis se lever et intimer à Thomas lordre de sarrêter. Ce quil fit et immédiatement mon plaisir saffaiblit. A ce moment tout me parut net. Elle ne voulait pas me voir jouir. Du moins pas tout de suite et pas entre les mains de son frère. Ses intentions étaient claires, jétais à elle et cest avec elle que je connaîtrai lorgasme. Lentement la jeune femme sapprocha de moi. Je voulais lembrasser, la toucher ou me jeter sur elle mais mes muscles encore secoués refusèrent dobéir. Elle sarrêta à quelques centimètres de mon visage, me prit les mains et sans dire un mot me guida jusquau lit.
- Allonge toi
Sa voix était calme et rassurante. Jobéis, minstallant sur les draps sans jamais la quitter des yeux. Elle sortit une écharpe blanche de la table de nuit et attacha mes mains aux barreaux du lit. Jétais soumise, offerte au bon vouloir de Karine et de son frère. Debout à côté de moi elle posa ses mains sur mon ventre. De bas en haut elle entreprit de défaire les boutons de mon chemisier, lentement, sans se presser, en savourant lexpression sur mon visage, à la fois impatiente et tendue. Layant ouvert complètement elle demeura un instant à observer monter et descendre au rythme de ma respiration, ma poitrine encore enfermée dans sa prison de coton. Elle posa ses doigts sur mes seins, reprenant les gestes de son frère. Aussitôt mes tétons durcirent et formèrent deux petites bosses à travers mon soutien gorge. Elle semblait satisfaite de leffet produit car son sourire sagrandit lorsquelle ôta cette entrave, libérant ma poitrine. Lentement, préservant lexcitation qui me rongeait, elle sattaqua à la braguette de mon pantalon. Dun mouvement ample, elle le fit glisser le long de mes jambes. Il ne lui restait que le fin tissu trempé qui recouvrait mon intimité. Contournant le lit, elle vint se placer à mes pieds et, sans cesser de me regarder, elle se pencha en avant les mains appuyées sur le bord du lit. Je la vis approcher sa bouche de mon ventre et descendre vers mon string. Elle en saisit le haut entre ses dents et le fit glisser, intensifiant délibérément les frottements du tissu contre mes cuisses. En quelques secondes je me retrouvais nue, intérieurement je bouillais dimpatience imaginant ce qui allait suivre avec une excitation non dissimulée. Elle ôta son déshabillé, dévoilant sous mes yeux son corps parfait. Elle resta là, sans bouger, me laissant apprécier la vision quelle moffrait. Puis, doucement elle monta sur le lit et posa son corps contre le mien, laissant ses cheveux longs me chatouiller. Sa peau était douce et fraîche. Tout à coup, ses mains se refermèrent sur mes poignets et elle vînt plaquer sa bouche contre la mienne. Ce baiser, il me semblait lavoir espéré toute ma vie. Suave, inattendu, presque brutal. Oui jen avais rêvé et elle me loffrait. Aussitôt je lui rendais de plus belle. Avalant ses lèvres sucrées, jouant avec sa langue. Au bout de quelques minutes son étreinte se desserra et Karine releva son visage. La fixant droit dans les yeux, je la suppliais de me faire lamour. Elle membrassa dans le cou, promenant sa langue sur mon torse et vers mes seins. Elle en prit un entre ses doigts et enveloppa le mamelon de ses lèvres pulpeuses. Ce fut pour moi comme une décharge électrique. Elle le maniait en experte, tantôt jouant de ses doigts, appuyant, pressant mon sein entre ses paumes, tantôt enroulant sa langue autour de mon téton. Elle me suçait, titillait, pinçait, me mordait même littéralement le mamelon et mes gémissements de plaisir se répercutaient en masse sur les murs de la chambre. Elle ondulait sur mon corps, frottant sa poitrine contre moi, moffrant son odeur. Petit à petit, sa bouche descendit. Elle sattarda sur mon nombril, sa langue tournait autour. Ses mains avaient suivis la descente et mentouraient les fesses. Lentement, de mon nombril elle descendit encore. Elle laissait maintenant sa langue se déplacer en souplesse le long de mes cuisses. Je nen pouvais plus, il faillait quelle le fasse
je devais sentir sa langue sur ma chatte ! Mes pensées furent très vite interrompues. Les doigts de la jeune femme étaient posés sur mon sexe brûlant. Elle en écarta doucement les lèvres et glissa avec avidité, sa langue au fond de mon puis, se délectant du nectar crémeux qui sen écoulait. Par réflexe, javançais mon bassin à lencontre de sa caresse, y enfonçant plus profondément sa langue. Avec ses doigts, elle fit sortir mon petit bouton de son enveloppe et le mit dans sa bouche. Elle le titillait, lenveloppait de sa langue. A chacune de ses attaques mon corps répondait par un sursaut. Que cétait bon ! La respiration coupée, je lui criais ouvertement mon plaisir. Relâchant la pression sur mon clitoris, elle me regarda quelques instants, puis délicatement, elle présenta deux doigts à lentrée de mon vagin. Ny tenant plus, jaccélérai les choses en my empalant moi-même. Surprise mais surtout amusée, elle entama les va et viens libérateurs que jattendais. Une fois encore, je sentais le plaisir monter en moi. Une nouvelle vague de chaleur se propageait dans mon corps. Je sentais venir les spasmes et les frissons. Dans un léger couinement, je me mordis les lèvres et fermais les yeux. Karine mobservait, elle savait que jaimais ça et que mon corps nallait pas tarder à répondre à son traitement. Elle accéléra ses va et viens, me faisant pousser un cri de surprise, bien vite rejoint par un cri de plaisir. A nouveau mes muscles se raidirent et mes mains agrippèrent leur lien. Lorgasme arrivait et cette fois, elle ne larrêta pas. Je jouis, laissant mon jus sécouler sur ses doigts quelle porta à sa bouche avec avidité. Elle posa une dernière fois ses lèvres sur ma poitrine et, lentement, ôta mes liens. A peine libérée je la prit dans mes bras, lembrassant, la touchant. Du bout de mes doigts je découvrais sa peau, ses bras, son cou, son visage. Très rapidement je léchais le bout de ses seins durcis. Alors que je me faisais plus entreprenante, à ma grande surprise elle marrêta.
- Pourquoi ?
Le mot était lâché mais me donnerait elle une réponse ?
- Pas tout de suite
Frustrée mais vaincue, je desserrai mon étreinte. Ses yeux verts me fixèrent puis se posèrent sur son frère.
- je veux dabord que tu toccupes de Thomas
Thomas
je lavais presque oublié. Tournant mon regard, je pu constater que le spectacle auquel il venait dassister lavait plus que réjoui. Dans son jean lexcitation était impressionnante. Il mobservait avec envie
envie que je partageais à présent. Obéissante, je me laissais glisser au pied du lit et mapprochais de lui dun pas décidé. Arrivée à mi-hauteur, il me prit dans ses bras, attirant contre lui mon corps dénudé. Dans lélan, je posais mes mais sur ses hanches. Je détournais mes yeux un instant, cherchant lapprobation de Karine. Elle me sourit, attendant la suite. Je lui rendis son sourire et, me retournant brusquement vers Thomas, vînt happer ses lèvres douces et charnues pour un baiser passionné et délicieux. Je me laissais doucement glisser vers le paradis qui souvrait devant moi. Mes mains entreprirent de remonter lentement vers son visage, emportant avec elles le T shirt quil avait sur lui. Du bout des doigts je palpais son torse nu et imberbe, caressant sa poitrine et ses muscles saillants. Mes mains le dévoraient. Son corps me plaisait
le sien et celui de Karine. Je les aimais et les désirais. Impatient il me prit les mains, ce qui me fit sursauter. Il embrassa mes doigts et les posa sur la boucle de sa ceinture.
- Là !
Sa voix était nerveuse mais lintention était claire. Soumise je défis la ceinture de son pantalon. Rapidement le vêtement glissa sur ses chevilles, exposant sa virilité à mon regard affamé. Je ne me fis pas prier pour magenouiller devant lui et avaler entièrement le membre dressé quil me présentait. Ma bouche glissait aisément sur toute sa longueur. Je le dévorais, guidée par les râles de plaisir quil manifestait. Petit à petit, jaccélérai lallure, pensant à Karine qui nous observait toujours. Ma langue ondulait rapidement, cheminant sur les veinures de sa peau tendue et mes mains en suivaient adroitement lascension. Elle senroulait autour de sa verge rose et brillante de salive. Je sentais quil aimait ça
bientôt ses paumes se posèrent sur ma tête, limmobilisant, sa queue encore dans ma bouche. Il commença à aller et venir entre mes lèvres, enfonçant sa queue toujours plus profondément dans ma gorge. De mes doigts à présente libérés, je malaxais ses bourses remplies de semence. Tout à coup, les mains fraîches de Karine vinrent se poser sur mes seins. Agenouillée derrière moi, elle membrassa et la pression sur ma tête se desserra. Doucement elle me tira en arrière et prit ma place devant son frère. Le fixant droit dans les yeux, elle se mit à le pomper. Elle le masturbait comme une folle, changeant constamment de vitesse. De mon côté, jobservais la scène en silence, une main glissée entre mes cuisses lubrifiées par la mouille. Bientôt le jeune homme ne put se contrôler et laissa exploser son plaisir dans la bouche de sa sur qui nen perdit pas une goutte. Désireuse dy goutter aussi, je pris son visage entre mes mains et lembrassais. La semence chaude quelle venait de recueillir passa alors de lune à lautre, se mélangeant à notre salive. Une fois létreinte achevée, je vis dans les yeux de la jeune femme un pétillement qui métait jusqualors inconnu. Dun geste vif elle se redressa, me prit par la main et marcha vers le lit où elle se laissa tomber, les jambes écartées. Excitée à la vue de son sexe offert devant moi, je me jetais sur elle. Mes mains se posèrent sur ses seins mais ma langue poursuivit sa descente entre ses cuisses. Survoltée par lattente quelle mavait fait subir, joubliais les préliminaires et enfoui mon visage dans son sexe détrempé. Une odeur forte en émanait mais elle ne marrêta pas. Je connaissais cette odeur et ce goût pour avoir bien souvent léché mes doigts après un plaisir solitaire. Jaimais je goût de sa chatte et Karine laissa échapper un cri lorsque mes dents vinrent en mordiller les grandes lèvres et que ma langue eut, enfin, frôlé son clitoris. Avançant en terrain inconnu, je me laissais guider par les gémissements et les sursauts de la jeune femme. Intérieurement jespérai quelle prendrai autant de plaisir sous mes caresses que sous celles de Thomas. Aussi je redoublais deffort pour la satisfaire. Au bout de quelques minutes, jobtins enfin leffet escompté. Mes coups de langues sur son petit bouton la faisait crier de plaisir et les : « Oh oui !... vas-y !... oui !... encore !... plus fort !... oui !... » fusaient dans la chambre. Jarrêtai alors mes caresses pour lobserver un moment. Elle avait fermé les yeux et ses mains avaient saisi les draps, quelle mordait pour retenir ses cris. Satisfaite, je présentais alors deux doigts à lentrée de son vagin. A ma grande surprise et une fois encore elle marrêta. Sur ses directives jouvris le tiroir de la table de nuit et en sortis un long gode lisse et doré. A quatre pattes sur le lit, je le plaçais immédiatement contre son sexe, frottant contre ses lèvres pour lhumidifier. Au moment de la pénétrer, deux mains se posèrent sur mes fesses. Surprise, je retournais. Thomas se tenait derrière moi et présentait sa queue à lentrée de mon vagin. Je reculais un peu, à la recherche dune position plus confortable et me laissais faire. Dun coup de rein qui môta un cri, il enfonça ses 25cm dans ma chatte. Sa queue emplissait parfaitement mon vagin et mon sourire sagrandit à la pensée que jallais tromper mon mari et me faire baiser par un manche aussi gros. Il resta là, sans bouger pendant quelques secondes, le temps que mon sexe shabitue à ce nouveau diamètre. Je profitais de cette courte pause pour humidifier à nouveau le gode de Karine et lintroduire dans sa chatte. Jugeant que ça nallait pas assez vite, elle me saisit le poignet et, dun coup sec, le tira vers elle. Je vis son bassin se soulever sous cette soudaine pression et je compris comment il fallait que je la baise : elle voulait avoir mal ! Ce fut Thomas qui ouvrit les hostilités et entama en moi un va et viens dune violence inouïe. Je le rejoignis bientôt, pénétrant Karine avec toute la force dont jétais capable. Elle hurlait sous mes coups mais mes cris couvraient les siens. Je nétais pas habituée à ce genre de traitement et mon vagin sélectrisait à chaque fois que Thomas en forçait lentrée, envoyant une douleur parcourir mon sexe. Pourtant le plaisir que je lu sur le visage de Karine suffit à transformer cette douleur en extase. Je prenais mon pied à sentir cette énorme queue me pistonner et plus il men donnait, plus je voulais en donner. Je calquais le rythme des pénétrations de Karine avec celles que je recevais. Sentant lorgasme monter, je voulu offrir à ma partenaire un maximum de plaisir. Plaçant ma langue sur son clitoris, je reprenais mes petits mouvements circulaires. Elle nen pouvait plus, elle hurlait et se déhanchait, son bassin ondulant en rythme.
- Oh oui !... Amandine, oui !!! Vas-y !!!
Je lui défonçais la chatte, observant son corps se convulser à la fois sous ma langue et sous mes coups de gode. Voyant leffet produit sur sa sur, Thomas posa une main sur mon clitoris et le frotta énergiquement entre ses doigts, sans ralentir le rythme quil imposait à mon vagin. Karine fut la première à jouir mais je la rejoignais bientôt, terrassée par le double orgasme qui venait en moi. La pression exercée sur mon clitoris et dans mon vagin était tellement forte que mon corps fut rapidement secoué par ses spasmes incontrôlables. Je voyais Karine se crisper sous lorgasme et sa respiration se bloquer de temps à autre. Thomas se retira et je fis de même avec la jeune femme. Je sentais mon sexe se contracter, se remettant peu à peu de cette nouvelle sensation. Jentendis Thomas se masturber dans mon dos puis se décharger sur mes fesse. Le sperme chaud ruisselait le long de mes cuisses et Karine sempressa de le recueillir dans sa bouche. Epuisés nous nous laissâmes tomber sur le lit, satisfait de notre soirée. Toute tremblante, je me rhabillais en hâte sous les yeux de mes amants. Je remerciais maladroitement Thomas tandis que sa sur me raccompagnait. Au moment de passer la porte, nos lèvres vinrent sunir une dernière fois.
En rentrant chez moi, jeus énormément de mal à me concentrer sur le mensonge que je devais raconter à Richard. Nerveuse, je lui avouais la vérité et jattendais quil réagisse. Il se contenta de sourire et membrassa. A ce moment, je mimaginais déjà retourner voir nos voisins et présenter Karine à mon mari
. Mais ça, cest une autre histoire.
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