Collection Homme Femme. Tornade En Louisiane (1/3)
Bonjour, mes parents mont appelé Christian.
Jai 22 ans et je viens de finir mes études.
Tout au long de mon BTS dinformatique, grâce à ma belle gueule, jai eu de nombreuses aventures exclusivement féminines.
Jai bien eu une expérience homosexuelle, mais vite interrompue.
Les sexes mâles dans ma bouche ou dans mon cul très peu pour moi.
Cétait un soir de bringue où les filles manquaient à lappel.
À part une qui était baisable le reste était loin dêtre digne dun beau gosse comme moi.
Jétais assis dans un fauteuil attendant le moment ou nos regards se croiseraient.
Cétait lune de mes techniques de dragues.
Être patient, un regard, la proie soit succombait, soit tournait la tête dune façon dédaigneuse, ça matchait ou ça cassait.
Cest au moment où jallais pécho quune gravure de mode est passée devant moi cassant leffet attendu.
En rose, un vrai loukoum.
Il sest assis sur laccoudoir me mettant sa bite, bien dessiné par son fut ultra serré à hauteur de la bouche.
Lorsque jai pu voir de nouveau la petite, je lai vue partir avec un autre bellâtre que javais remarqué sur le canapé de ce salon.
Dans le cul, surtout pas la verge de ce PD, mais la partie de jambes en l'air espérée.
Tu es beau, tu viens chez moi, jhabite un étage au-dessus.
Je me suis levé sans un mot et sous le regard dédaigneux de celui que jaurais ou enculé ou, non, surement pas, je suis hétéro.
Je quitte la soirée.
Ce soir-là chou blanc, mais le lendemain je croisais la salope qui est venue dans ma piolle.
Je lai sauté pendant trois jours.
Je lai baisé par tous ces trous, elle adorait la sodomie.
Cest bizarre, jétais capable de tremper ma queue dans lanus des filles, mais dans celui du petit cul de mon homo dhier, ça métait impossible.
Pendant trois jours, car le quatrième je prenais lavion pour New York.
New York pour fêter ma réussite à mon BTS avant de commencer en fin dannée dans une boîte où javais fait un stage et qui avait apprécié mon dynamisme.
Mes parents avaient très peu de moyens et cétait grand-père Christophe sur son lit de mort qui mavait fait cadeau dun petit pactole.
Il avait été dans la marine et avait fait le tour du monde avec le navire-école Jeanne dArc.
Il voulait que je refasse ses escales américaines et que si je le pouvais dans une ou deux villes, jessaye de retrouver ses anciennes conquêtes.
Cétait le cas à Bâton Rouge en Louisiane, une dénommée Dee Edward était lune-elle.
Il avait sur sa table de nuit sa photo peu nette, car repiquée sur une diapositive alors que Dee était avec sa sur sur le quai au moment du départ de la pucelle.
Cest ainsi que grand-père Jacques appelait ce navire-école des officiers français.
Malgré la qualité du cliché, jai pu voir que mon grand-père avait bon goût, la petite était bandante.
New York où je récupère un camping-car me donnant une meilleure autonomie.
Direction, lÉtat de Louisiane pour me rendre à Bâton Rouge.
Cest là quil lavait rencontré.
Il mavait expliqué quelques points de détail, mais lorsque je suis arrivé, walou, le quartier avait été rénové après louragan Isaac, en 2012.
Jai repris ma route vers Houston avant de prolonger vers Las Vegas.
Je sais, cest dans les terres, mais pourquoi sur ma route vers Los Angeles, pour finir à San Francisco, quelques parties de roulettes me seraient interdites.
Je viens de sortir de Lafayette quant à la radio, la musique sarrête pour un flash dinformation.
Je suis bilingue, je comprends linformation donnée par le speaker.
Des tornades doivent se produire dans la région.
Jai vu des images de ces phénomènes à la télé en France.
Je sais que certaines sont si fortes quelles sont capables de soulever des semi-remorques.
Impossible de jouer avec elle.
Dun coup sur de grandes lignes droites, le ciel sest assombri et jen vois une essayer de me rattr.
Il y a une grange à droite de la route.
Je marrête et je vais dans cette grange.
Cest mon jour de chance, les tornades sont fréquentes et je vois des plaques de métal au sol.
Jouvre, un abri souterrain.
Rapidement mon stage des Castors Juniors me revient en mémoire.
Combien de temps vais-je rester dans ce trou, je lignore.
Dans ces situations, leau est primordiale.
Je retourne au camping-car récupérer la réserve deau sur la fontaine avec la bombonne dune dizaine de litres.
Au moment où les premières bourrasques me rattnt et que la pluie se déverse sur moi, je vois une voiture, elle aussi essayer de prendre la tornade de vitesse.
Je laisse la bombonne près de la porte et je cours vers ces gens en danger au péril de ma vie.
Ils me voient et sarrêtent.
Je devrais dire, elle me voit et sarrête, car cest une femme qui en descend.
Je la prends dans mes bras et tant bien que mal jarrive à la porte de la grange.
Foncez et descendez dans cet abri, je récupère leau.
Je saute littéralement dans ce trou avec la bombonne, au moment où je vois la voiture puis le camping-car senvoler.
Jarrive à refermer la t de ferraille bloquant lensemble qui se met à vibrer faisant un barouf denfer.
Jentends le bois de la grange craquée.
Elle aussi doit senvoler.
La femme a repris ses esprits et elle allume la lampe de son portable.
Je vois, un trou, un banc fixé dans le mur et cest tout.
Jôte mes vêtements, car nous sommes trempés.
Inutile dattr la mort, jai vu tout mon rechange senvoler.
Vous êtes fou, devant une dame, vous mettre nue.
Je serais vous, jen ferais autant vous allez attr la mort.
Vous avez un accent !
Je suis français, mes parents mont appelé Christian.
Chrissstiane.
Elle prononce mon nom comme une Américaine.
Je suis sérieux, vous allez attr la mort si nous sommes là trop longtemps.
Éteignez ça protègera votre pudeur.
Elle le fait et après des froissements de vêtements mouillés, je sens quelle sassoie près de moi.
Sa cuisse touche la mienne, elle frisonne.
Je prends mon portable et jallume.
Elle a mis nos vêtements sur le bout du banc, cest pour cela quelle est collée.
Voyeur, vous êtes bien français.
Je regardais nos vêtements, vous avez bien fait de les étaler, ils vont sécher.
Jai eu le temps de mater un peu, elle est canon.
Certainement la quarantaine, mais contrairement à la plupart des américaines qui ont un gros cul grâce à MacDonald, elle est bien fichue.
Tu es mariée.
Oui, il y a vingt ans et jai deux s garçon et fille.
Le choix du roi.
Choix du roi !
Oui, en France quand on a un garçon et après une fille, on dit que lon a ce choix.
Mes s avec mon mari on les a adoptés.
Ici en Amérique on a des Indiens sans les rois.
Elle a de lhumour.
Jai froid.
La tempête fait rage, impossible de sortir, vient dans mon bras je vais te réchauffer.
Elle se laisse faire quand je place mon bras autour delle.
Ma main rencontre son sein, qui frémit.
Certainement le froid.
Je suis fidèle à mon mari, Chrissstiane.
Christian dit avec son accent, ça me fait craquer.
Je lui prends la main et la pose sur ma queue.
Oh !
Shuck.
Pardon, traduisons « suce ».
Non, pas ça.
Suce, tu vas aimer.
Les murs ici semblent différentes et les filles sont réticentes à faire des fellations, mais est-ce le fait que je sois français, elle me prend dans sa bouche.
Un peu maladroite avec ses dents au départ, elle prend le rythme fellation et masturbation.
Cest sans le moindre problème et surtout le moindre état dâme quelle vient sassoir sur ma queue membrassant à pleine bouche.
Merde, elle semble avoir oublié sa langue.
Quand tu embrasses, sors ta langue, tu verras cest comme pour la sucette, cest bien meilleur.
Elle est à lécoute, la fellation a dû lui faire voir que les Français on sait y faire.
Une fois empalée, elle se démène sur ma queue malgré lexiguïté du lieu, jusquà ce que lon ait un orgasme simultané.
Dans le trou, la tornade de nos sens fait rage alors que dehors, elle semble sêtre calmée.
Je me dégage, tant bien que mal, car elle se colle à moi à croire que cest la première fois quelle a eu un orgasme.
Je débloque la porte et je pousse pour relever la t en fer.
Elle se décolle de quelques centimètres, mais sans plus.
Jai le temps de voir quil fait jour.
Nous sommes prisonniers dans ce trou à rats...
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