Chaude Après-Midi De Canicule Ou Comment J'Ai Allumé Tout Ce Qui Bougeait

A peine 9h du matin, et il fait déjà 30 degrés...
Je sens le désir monter dès mon réveil, mais je m'interdis de me toucher.
Je décide de m'habiller: mini-short taille basse (quand je m'assied, on peut voir la raie de mon cul, j'adore...), top rouge moulant avec un décolleté en v qui laissa largement voir la fente de mes seins ( 90D), et des talons aiguilles.

Mes cheveux blonds sont attachés par un chignon.

J'enfile mes lunettes de soleil (trop excitant de voir le regard insistant des gens sur mon corps) , et je sors, prête à toutes les folies, la chatte en feu, je balance bien mes fesses en marchant.

Dehors, je sens les pulsions sexuelles augmenter à mon passage, les hommes comme les femmes me matent grave, je sens que je mouille...

Je décide de m'asseoir à une terrasse, à côté de moi, un homme de 50 ans (j'en ai à peine 23), fixe mes seins, je m'abaisse pour prendre mon sac, il voit la raie de mon cul.
Je sors une banane, et je commence à la manger langoureusement.
Je vois clairement une bosse dans son pantalon, j'en peux plus, je me lève pour aller me masturber aux toilettes.

Arrivée, j'ouvre une toilette, et sans prendre la peine de la fermer, je commence à me caresser en gémissant.

Une porte claque, c'est l'homme de la terrasse: t'es vraiment en manque toi, t'as besoin d'une grosse queue pour te camer, sors de là sale chienne, moi aussi j'ai envie de baiser.

Il m'entraîna dans la zone privée de l'établissement et m'appris qu'il en était le gérant.
Des clientes aussi sexy, il faut les combler me dit-il en me pinçant le bout des seins...

La pièce était grande, quelques canapés, une table et une cuisine.

Il sortit sa grosse queue toute dure, appuya sur ma tête pour que je le suce, il gémissait fort: oh oui salope, après je vais te déchirer tout les trous, tu ne sauras plus marcher, tu veux du sexe, tu vas en avoir.

..
Sur ce, il me retourna comme une chienne, m'arracha mon short, et me pénétra d'un coup sec.

C'était bon, je gémissais comme une folle...Lorsque je vis 2 maghrébins en train de se branler à côté de moi ,le patron leur dit : allez les gars, il y a encore 2 trous de libre : sa bouche et son cul !!!!
Ils avaient l'air vicieux et pervers, momo m'enfila sa grosse tige dans la bouche, najim m'écarta les fesses, et m'enfonça sa grosse queue en grognant, il suivait le mouvement de son chef.

Ils ne prirent pas longtemps pour se vider. Je quittai le café encore plus excitée et je pris la direction du métro. Ma tenue et mon odeur allaient en exciter plus d'un.

La suite bientôt...