Fête Au Village

Suite à un temps caniculaire, les nuages sont de plus en plus menaçant, au dessus de la place du village, où la fête bat son plein. Tous les villageois sont là. Personnes âgées et plus jeunes. La buvette marche fort. Les verres se vident très rapidement à cause de la chaleur.
Sur le terre plein, deux hommes d'une cinquantaine d'années, viennent de battre un jeune couple de vingt ans aux boules.
L'enjeu, un moment de plaisir avec la fille.
D'autres couples dansent sur la piste. Ah, quelques gouttes de pluie.
Certaines personnes, prévoyantes, s'approchent des abris. Cà y est, il déluge. C'est l'affolement général.
Pierre et Eveline, une quarantaine d'années, regagne leur véhicule et montent à l'arrière.
Sandy, belle étudiante, à peine vingt ans, ne sait où aller.
-Par ici, jeune fille, crie Eveline par la vitre de son 4x4.
Sandy se précipite vers le véhicule, et monte elle aussi à l'arrière.
Eveline, est vêtue d'un robe courte à bretelles. Pierre, lui est en bermuda et débardeur.
Qu'en à Sandy, elle porte un short et sweet. Leurs habits sont trempés, collés au corps, laissant deviner les formes. Surtout celles d'Eveline, dont les bouts des seins sont prêts à traverser la robe.
-Merde, s'écrie Pierre, j'ai laissé ma sacoche à la buvette. Je vais la récupérer, J'ai tous mes papiers dedans.
Le voilà parti en courant sous la pluie qui à redoublé.
-Quel temps, dit Eveline, vous habitez loin?
-J'habite au village à côté. Vous avez l'air d'avoir de jolis seins, dit Sandy en tendant la main, Ils sont durs !
-Mais, petite, qu'est ce que tu fais, sursaute Eveline.
-Détendez-vous, réponds Sandy, je vais pas vous mangez..

Un quart d'heure plus tard, c'est tout essoufflé que Pierre revient. Il s'installe devant.
La buée sur les vitres empêche toute visibilité sur l'intérieur.
-Ben, dit dont, quel temps, dit Pierre, en se retournant
Mais.

....Eveline....que fais-tu.
Eveline à sa robe enroulée autour de sa taille, seins à l'air, jambes écartées, sans culotte, la main de Sandy entre ses cuisses.
-Qu'est ce que je fais? Soupire Eveline. Tu ne vois pas que je me fais chatter. En dix huit ans de mariage, tu ne m'a jamais doigter comma çà. Regarde comme elle fait.
Pierre s'avance entres les deux sièges, et assiste à la scène.
Sandy murmure à l'oreille d’Eveline, qui fait un signe affirmatif de la tête.
Alors Sandy, enfonce un doigt dans le cul d'Eveline. Elle se penche sur sa poitrine et lui suce les seins.
Puis se retournant vers Pierre.
-Mettez vous à l'aise, vous êtes tout mouillés. Venez voir le clitoris de vôtre femme dans quel état je l'ai mis. Venez voir comme je vais la faire jouir. Allez, ma belle, videz-vous.
-Oh,oh,oui oui, je joui, comme je me suis faite prendre par un gamine. Continue, branle
D'une main, Sandy att le sexe en érection de Pierre et l'emmène devant la bouche d'Eveline
-Une petite pipe, çà vous dirai ? demande Sandy. Vous aller voir vous aller vous régaler !
Eveline avale la queue de son mari, bien décalottée par Sandy.
D'une main passée par l'arrière des cuisses, Sandy caresse les couilles de pierre, et, avec le pouce , lui gratte la rosette.
L'autre main est derrière la nuque d'Eveline pour guider les va et vient sur la queue de Pierre. Il commence à lâcher des plaintes de plaisirs
-Vas-y, dit-il, enfonce ton doigt, c'est bon, vas-y.
-Et la turlutte que vôtre femme vous fait, ce n’est pas bon? Allez-y, madame, aspirez le bien voyez ses couilles comme elles enflent.
-Je viens chéri, hurle Pierre, je crache oui oui ouiouaa, on est entrain de se faire maquer.
-Avalez tout, allez insiste Sandy. Vous aimez n'est-ce-pas ?.
Pierre sort lentement de la bouche de sa femme. Sandy saisit la queue au passage.
-Vôtre langue, nettoyez bien le gland, ordonne Sandy. Bien, comme çà, très bien.
Vous pouvez continuer sans moi maintenant. La pluie s'est arrêtée, je dois partir.
Au fait, le m'appelle Sandy. Voici mes coordonnées.
-Oh merci Sandy, souffle Eveline, merci pour tout. On se reverra. Tiens nôtre carte
Sandy lit la carte. Monsieur Pierre C. juge
Madame Eveline C.avocate.

Au début de l'orage, Paul et Jean, les deux joueurs de boules de cinquante ans, emmènent Ambre et Jérôme, les vaincus vers leur véhicule, un Van rouge feu.
Une fois à l'intérieur, ils se mettent nus, sauf Jérôme, qui est là en spectateurs.
Pas de préliminaire. Ambre est littéralement happée par les deux hommes, dont les membres énormes sont déjà en érection.
C'est brutalement que Jean fait mettre Ambre à quatre pattes. Il se positionne derrière elle, et d'un coup sec, lui enfonce sa queue.
Ambre pousse un cri de douleur, ce qui incite Jean à accélérer ses coups de boutoirs.
Paul, placé devant, a pris position de la bouche. Ambre le suce goulument.
Mais Paul ne résiste pas longtemps.
-La salope, quelle pipe, tiens petite pute, avale çà ha ha ouioui , avale tout, vas-y.
-Moi aussi je joui, cri Ambre, quelle queue, oui ouio ouiiiiiiieeea, t'arrête pas.

Les hommes changent de positions; sans se nettoyer. La bouche d'Ambre le fera.
Paul attaque le petit trou, mais sans violence.
-Oh, Jérôme, tu vois comme je me le fais mettre. Tu aimes me voir faire prendre par deux mecs, hein mon chéri?
-Approchez vous, dit-elle à Jean que je vous taille une pipe. Et toi chéri, sort ta queue et tape toi une branlette. Tu ne m’auras pas aujourd'hui. Je n’ai pas fini avec eux. Ils me font trop de bien.
Et les râles reprennent. Paul, accroché au seins d'Ambre, accélère ses va et vient.
Elle sent les jets de spermes qui s’engouffrent au fond de ses entrailles.
-Ah..ah..çà c'est de la baise, oh putain, ah..ah..ouiouioui.
Jean, pris par les couilles, se fait aspirer en hurlant.
-Oui,oui, çà sort, vas-y, oua oua ouaouioui, salope, pompe, mange.
-Moi aussi je joui, enculé ouiouiouio, bourrez moi, salaud.

Paul, à genoux, retourne Ambre sur le dos, la tire à lui par les hanches et lui soulève les fesses. Sa chatte est à portée de sa bouche. Il commence à la sucer doucement, promenant sa langue dans tous les recoins. Ambres pousse des gémissements de plaisir
-Qu'est ce que vous me faite, salaud, vous me rendez folle. Viens voir Jérôme comme il bouffe ma petite chatte. Allez-y passez vôtre langue sur mon clito, ahahahoui.
Paul, placé à l'avant, promène ses couilles et sa queue sur le visage d'Ambre. Elle lèche les couilles de Paul, et essaie de lui gober la queue.
-S'il vous plait, prêtez la moi
Paul cède et baise la bouche à coup de bassins assez violents.
Jean a maintenant empalé Ambre sur sa queue, et la baise comme une bête.
-La pute, qu'elle pipe, hurle Paul tiens petite traînée, avale çà, aspire tout, ahaaahouioui.
-Moi aussi je joui, crie Ambre, qu'elle queue, vas-y nique, bien profond, ouiouiiiiiieaeii.
-Ouae, qu'elle est bonne, dit Jean. Tu sens comme je me vide dans ta petite chatte, aaaah.
Un cri au coin du Van attire l'attention du trio.
Jérôme est entrain d'éjaculer sur le tapis.
-Et bien, tu vois bien mon chéri, çà t'excite de me voir baiser avec d'autres. Viens voir ce qu'il me fait. Tu n’as jamais vu mon clitoris de cette taille. Ils savent s'en servir eux.
Et le bout de mes seins, tu as vu comme ils sont durs.

Et tout l'après midi, Ambre va sucer, être baisée, niquée, sodomisée, remplie de sperme.
Jouir comme jamais. Jérôme, lui, va être humilié par sa copine.
-Chéri, dit Ambre, tu leur donneras nôtre adresse et nôtre téléphone.
Je peux rester encore un peu avec eux ? Ils me raccompagneront plus tard…