Un Entretien D'Embauche Éprouvant

Avant de si le contexte, je brosse ma description physique d'alors. Des cheveux noirs de jais, ondulés, descendent jusqu'à de menues épaules et encadrent un visage fin dans lequel s'illustrent des yeux vifs aux iris cyans et des lèvres doucement roses. Ils surmontent un corps mince mais ferme, d'un teint pâle, petit format (1m57 pour 43 kg), très souple. Ce corps est orné d'une poitrine (85C) en forme de pomme, aux fines aréoles roses, aux tétons légèrement prononcés. Ajoutez à cela de petites fesses fermes et délicieusement bombées, une épilation complète et vous comprendrez que j'étais (et suis) de nature à attirer les regards d'hommes désireux d'en faire leur défouloir sexuel, leur espace de débauche.

Passons au récit proprement dit. L'histoire que je m'en vais vous relater se déroule en février 2007. Encore étudiante à l'époque, en troisième année d'économie, âgée de dix-neuf printemps, je postule, dans le cadre d'un remplacement de deux mois, pour un emploi estival de cadre financier. Possibilité de titularisation à la clef. Sans expérience professionnelle mais certaine de mes compétences, je me présente le jour et l'heure convenus à l'entretien d'embauche. J'y suis entourée d'une majorité d'hommes et de quelques femmes, d'un éventail d'âges assez étendu, étudiants pour certains, à la recherche d'un emploi correctement rémunéré pour d'autres.

Afin de mettre toutes les chances de mon côté, je suis vêtue d'une manière fémine, distinguée et sexy à la fois. Marquant ma qualité de femme, un blazer serré et en partie déboutonné, une minijupe parfaitement ajustée à ma croupe, un string justifiant son statut de ficelle et une paire de chaussures à talons hauts. Tous de couleur rose fluorescente, de façon à attirer et captiver les regards. Quant au maquillage, il ne se caractérise pas par sa discrétion. Une couche de gloss rose recouvre mes lèvres. Mon visage est aussi enrobé de fards à joues et à paupières, d'un ton identique.

Touche finale : le mascara appliqué sur mes cils. Évidemment, quelques bijoux : montre, bagues, collier, boucles d'oreille. Je suis consciente qu'une femme doit en toute circonstance savoir affirmer sa féminité.

Après une heure d'une patiente attente, occupée à scruter les visages défaits de mes concurrents à peine sortis de leur entretien, la secrétaire m'indique que c'est mon tour de rencontrer le directeur des ressources humaines, pour la circonstance s'occupant en personne des entretiens. Je m'avance d'un air décidé mais d'un pas lent en direction de son bureau, les talons me contraignant ou plutôt m'incitant à dandiner du fessier. Attitude provocatrice mais j'apprécie d'être en permanence au centre de l'intérêt général. Sans me retourner, j'actionne la poignée et entre dans le bureau. Mon regard se porte sur le directeur qui, tout en se levant de son fauteuil, reste à distance respectable, occupé à me scruter... de haut en bas.

De mon côté, je ne marque aucun temps d'arrêt, me retournant afin de refermer la porte. Je ne peux que supposer que mon petit cul serré est examiné dans ses moindres détails, à travers le tissu de ma minijupe bien entendu. Après avoir regagné ma position initiale, je réduis l'écart qui nous sépare, lentement jusqu'à ce que le directeur se décide enfin à m'accueillir. Contournant son bureau, il s'avance d'un pas calculé et tout en fixant mon regard, me tend la main. Ce que je fais à mon tour, en lui adressant un léger sourire. Après me l'avoir rapidement serré, il la conserve quelques secondes dans sa paume, le temps de m'observer à nocuveau. Cuisses, poitrine apparente sous le blazer partiellement déboutonné : tout y passe.

Ensuite, il recule mon fauteuil, de façon à conserver une excellente vision générale et m'invite à m'y asseoir. Le début de notre entretien est très professionnel. Il me pose diverses questions auxquelles je réponds, tout en vantant mes mérites. Au fil du temps, ses regards se font plus insistants, notamment en direction de mes cuisses.
Jambes croisées, minijupe involontairement remontée, mes mouvements peuvent à certains moments donner un aperçu de mes lèvres vaginales, très mal cachées par le string. Sans doute extrêmement intéressé par cette vision, il se lève soudainement et se place dans mon dos. Ses mains se posent sur mes épaules, sans que je ne réagisse. Il les masse de longues secondes, en silence.

Il se rapproche encore, son pantalon de complet se collant contre l'arrière de ma tête. Ainsi, je peux sentir une bosse assez prononcée se former. Je n'en suis pas vraiment étonnée, mon comportement y ayant beaucoup aidé, mais c'est un évènement auquel nous pouvons difficilement nous attendre. A ce moment, je réalise l'excitation palpable du directeur et en arrive à la conclusion qu'il me faudra offrir mon corps, non plus à sa seule vue mais aussi à son toucher. Cela dans le seul but d'obtenir un emploi attrayant. C'est d'ailleurs au cours de cette journée que je me suis découverte vénale. Pendant que je me livre à ces réflexions, ses mains se sont déplacées vers mes seins qui demeurent dans ses mains, y diffusant leur chaleur.

Puis il se penche, ses lèvres à proximité de mon oreille gauche. Des mots vulgaires en sortent, contrastant avec l'aspect très classe de cet homme attirant de trente-neuf ans. Après avoir précisé qu'il cherchait une employée très dévouée, il me qualifie immédiatement de "petite pute" et indique avoir une "envie monstre de me baiser par tous les trous". Surtout, il n'oublie pas de me signaler que j'aurai tout intérêt à ne pas lui résister. Qu'un "homme comme lui, bien établi, avec des relations haut placées, marié et père de famille" n'a, qui plus est, rien à craindre d'une "jeune salope aussi aguichante", difficilement crédible si elle devait porter plainte pour harcèlement sexuel, ou pis encore. Demandant en fin de compte si j'ai bien compris la situation, je lui réponds en tournant la tête du côté gauche, de façon à pouvoir capter son regard, et.
.. lui adresse un sourire.

Satisfait, il regagne son fauteuil tout en le reculant et saisit son téléphone. Je l'entends indiquer à sa secrétaire de congédier les candidats suivants, en leur donnant un nouveau rendez-vous. Une fois le téléphone reposé, il m'ordonne de venir s'agenouiller juste devant lui pour le sucer. Ce que je m'empresse de faire, tout en déboutonnant de ma propre initiative mon blazer. Je lui laisse ainsi admirer ma poitrine d'un regard très envieux. De son côté, il se lève de nouveau, le temps de retirer l'ensemble de ses vêtements. Une fois fait, il se rassied, jambes largement écartées, laissant s'évader un sexe bien dressé, d'une longueur honnête. En revanche, il est large, vraiment large et des veines y sont apparentes. Sans perdre de temps, gardant à l'esprit que mon avenir dépend de ma performance, je le saisis entre mon pouce et mon index droits, le branlant légèrement.

Il en profite pour balader ses mains le long de mon corps. Exigeant à coup de fessées appuyées que je me positionne à quatre pattes, "en bonne chienne", il retrousse la minijupe sur mes hanches et écarte mon string. Ainsi, il frotte énergiquement mes lèvres et mon clitoris. Je ne peux m'empêcher de couiner tout en restant concentré sur la fellation. Je maintiens son chibre et commence par y donner des coups de langue sur le gland, un gland que j'entoure de mes lèvres, l'aspirant. Ensuite, ma langue s'aventure sur toute la surface de son sexe, l'humidifiant. Entrant en contact avec deux boules bien pleines, je n'hésite pas à les lécher et même à les gober en fixant son regard, mes yeux apparaissant des deux côtés de sa barre de chair. Pendant que mon sexe est trituré sans ménagement.

Finalement, je me cambre de façon à ce que mes tétons viennent frotter son gland, avec pour effet que le chibre durcisse encore... comme mes tétons. Revenant à son sexe, je le prends délicatement en bouche, y hasardant de nombreux coups de langue. Je débute de lents mouvements de va-et-vient le long de son mandrin tandis que, sans crier gare, il m'introduit le majeur dans l'anus.
Un anus étroit qu'en quelque sorte, il perce et pénètre sauvagement. Nos deux mouvements s'accompagnent, accentuant mes couinements et ses soupirs. Alors que je ne donne pas l'impression de vouloir le sucer plus loin que jusqu'à mi-longueur, son doigt quitte mon anus. Il tire ma tête en arrière en prenant appui dans mes cheveux et me gifle tour à tour joues droite et gauche. Il me lance agressivement qu'il va me montrer comment "une pute doit sucer".

Une main placée derrière mon crâne, l'autre sous ma mâchoire, il tire sans ménagement ma tête en direction de sa queue. Il y empale ma bouche, mes lèvres entourant difficilement son chibre. Il s'y enfonce progressivement. Des larmes s'écoulent de mes yeux, je manque de plus en plus d'oxygène, je bave abondamment sur son membre, sur mon menton. Il me souille le visage. Et continue à investir ma bouche, mon nez venant finalement heurter son abdomen. Entièrement englouti, il n'en est pas pour autant rassasié et, malgré la pression de mes mains se crispant sur ses cuisses, mes yeux devenus vitreux, après avoir conservé son sexe au chaud durant de longues secondes, il me baise la bouche. Jusqu'à se décider à dégager ma tête, afin que je puisse respirer et reprendre mes esprits.

La séance de gorge profonde, pourtant, se prolonge. Mon visage larmoyant, recouvert de salive, faisant couler mon maquillage lorsque sa queue le parcourt, est véritablement souillé. Il prend aussi plaisir à me déformer les joues. Une fois satisfait, il se lève tout en s'accrochant à mes cheveux pour me maintenir à quatre pattes. Là, il s'agenouille derrière moi et son gland vient pointer contre mon anus. Voulant m'imposer encore sa domination, il pose ses mains sur mes épaules, appuyant dessus pour que ma tête soit, de côté, plaquée au sol. Ainsi positionnée, il laisse une seule main, serrant légèrement ma nuque. Après avoir saisi mon string entre ses dents, il l'arrache et m'ordonne de ne plus en porter en sa présence. Il dirige son chibre vers mon anus qu'il se voit contraint de forcer, m'arrachant un cri prolongé. Une fois calé, ses boules venant me heurter, il me pilonne.

Il se déchaîne sur mon cul, qu'il me contraint à bomber en poussant le creux de mes reins vers le sol. Et ce pendant plusieurs minutes qui paraissent une éternité. Je ne cesse plus de crier et de pleurer. Il n'empêche que ces douleurs provoquent un grand plaisir intérieur. Puis son chibre gagne mon vagin déjà humide qu'il comble dans toute sa largeur. Comme possédé, le directeur me chevauche, me pénètre en levrette, me faisant à nouveau couiner. Je jouis bruyamment, large sourire au visage. Lui n'en a pas fini et prend à nouveau la direction de mon anus. Désormais dilaté, il le sodomise plus facilement et le fait sien, le ravage. Enfin, il me saisit à nouveau par les cheveux et sors de mon cul. Il se relève, m'agenouille juste devant lui et exige que j'ouvre la bouche, langue sortie, yeux ouverts pour admirer la suite.

Je m'exécute pendant qu'il se branle vigoureusement. En fin de compte, il lâche de grosses giclées de foutre sur mon visage. Une atterit directement sur ma langue, les autres embellissent mes lèvres, mon nez, mes joues. Soucieuse de lui plaire et en même temps affamée de sperme, je le recueille sur mes doigts et le lèche consciencieusement. Une fois pleinement satisfait, il m'ordonne de me rhabiller, précisant également, avant que je ne parte, que j'ai fait preuve du dévouement nécessaire pour obtenir la place. Mais qu'il me faudrait continuer à répondre à "toutes les attentes". Satisfaite de mon coup, je sors de son bureau, sans un mot. Et après être passée, l'air fier, devant une secrétaire me jetant un regard mauvais, je me rince le visage dans le lavabo des toilettes. J'ai désormais conscience, qu'en femme nouvellement vénale, je suis prête à me laisser baiser à partir du moment où j'en retire des avantages concrets.

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