Sacré Week-End Pour Cathy.

Dans le cadre des relations inter-usines, le comité d'entreprise d'Alain est invité à passer un week-end, par celui de la maison mère. Alain a vingt quatre ans, et est marié depuis six mois avec Cathy, une superbe blonde de vingt ans. Une soirée dansante est prévue le samedi soir, dans un village de vacances, situé à une cinquantaine de kilomètres d'Annecy. Tout est prévu sur place, repas et hébergement. Vers dix huit heures, Cathy et Alain montent dans leur chambre pour se préparer. Alain porte un jean et un sweet, tandis que Cathy est vêtue d'une jupe blanche à franges, et un haut qui arrive au nombril, à franges également. Une bombe. A tel point que Alain a une petite envie, avant de regagner la centaine de personnes prévus pour cette soirée. Il se place derrière sa femme et commence à lui caresser les seins.
-Hum, pas de soutien gorge, dit-il. Tu as une bonne idée.
Il envoie l'autre main sous la jupe, glisse un doigt entre le string, et caresse la chatte de Cathy.
- Déconne pas Alain, dit-elle. Il va falloir se laver après. Voilà tu me fais mouiller.
Elle se retourne, passe une main entre ses jambes, et l'embrasse. Il lui quitte le string, la place sur le meuble du lavabo, et lui écarte les jambes. Il pose sa bouche sur sa chatte, et commence à la sucer.
-Salaud, lui dit-elle. Baise moi maintenant.
Il sort son sexe, et la pénètre. Il saisit les seins de Cathy et commence ses va et vient.
Alain jouit presque de suite.
-Tu as eu vite fais chéri, dit-elle. Et moi tu m’as laissée en rade. Qui va donner à manger à ma chatte maintenant.
-Baisse toi, lui dit Alain, je vais te finir.
-A non, on va être en retard. Quand on rentrera ce soir. Je peux quand même attendre.
Ils se lavent et se préparent à descendre.
-Pense à remettre ton string, ironise Alain.
Ils arrivent dans la grande salle. Alain et Cathy s'avancent avec d'autres collèges de travail. Les plus anciens font les présentations.

Cathy et Alain font la connaissance de Marc, vingt huit ans, très séduisant, et de Maéva, une métis de vingt cinq ans, très belle.
Chacun raconte la sienne, et les arrêts au buffet se font de plus en plus rapprochés, et alcoolisés.. Marc invite Cathy à danser.
- On ne vous a jamais dit que vous ressemblez à Elsa. Un peu plus grande peut-être, dit-il.
-A bon, répond-elle en riant, vous trouvez. C'est flatteur.
-Si si, c'est vrai, comme moi. On me dit que je ressemble à rien.
Cathy rigole franchement. Ce Marc commence à l'amuser. Ils retourne au buffet rejoindre les autres.
-Alors Marc, dit Alain, on drague ma femme. Attention, elle est jeune mariée.
Marc ne répond pas, prend Maéva par la taille, et l'entraîne sur la piste.
-J'aimerai bien la baiser, dit Marc. Tu m'aides à la brancher.
-D'accord, répond Maéva, mais après tu me la laisses.
-Ok, dit-il.
Cathy et Alain dansent serrés l'un contre l'autre.
-J'ai envie de toi, dit Alain, si on sortait en douce. Qu'est ce que tu en dit ?
-C'est risqué. On peut nous surprendre. Et puis est ce que tu me finiras cette fois.
-Tu verras, tu seras pas déçu, lui dit-il.
Ils sortent et vont dans un coin obscur. Elle appuie ses mains sur un banc et cambre ses reins. Il remonte la jupe, écarte le string, et glisse sa queue entièrement décalottée dans la chatte de sa femme.
-Que c'est bon râle Alain, te niquer comme çà, en cachette. Cà me fait bander encore plus.
-Moi aussi, j'aime, répond Cathy, vas-y, défonce moi, vas-y.
-Je jouis, dit Alain, ha ha, oh putain, tu m'a eu, ha ha, je me suis encore vider.
Tout d'un coup, des bruits de pas. Alain arrange ses habits, Cathy baisse sa jupe. Ils regagnent la salle.
-Tu m'a encore raté, lui dit-elle, il me tarde qu'on aille se coucher, j'en est trop envie.
Au bar, ils retrouvent Marc et Maéva .
-Ne boit pas trop, dit Cathy. D'être en forme pour cette nuit.
-Alors Cathy, tu passe une bonne soirée ? demande Maéva.

-Cà va, répond Cathy. Vous étiez en grande discutions avec ton copain. Il y a longtemps que vous êtes ensemble.
-Avec Marc, c'est un très bon ami, c'est tout. D'ailleurs, il est en manque en ce moment.
Il drague pour assurer sa nuit. Il a même prévu le champagne.
Cathy se retourne et voit Alain penché sur le bar. Il est ivre.
-Tu veux qu'ont monte se coucher chéri, demande-t-elle.
-Je crois que je vais y aller. J'en peux plus, tu m’accompagnes.
Ils prennent les escaliers qui mènent à l'étage, et regagnent leur chambre.
-Tu peux rester encore, si tu veux, dit Alain, çà fera plaisir à nos amis.
-D'accord, je vais prendre un dernier verre, et je remonte.
Cathy rejoint Marc et Maéva au bar. Marc l'invite à danser. Cathy pense à ce que Maéva lui a dit. Qu'il était en chasse. Le slow est langoureux. Leur corps est pratiquement soudé un à l'autre. Marc, sachant que Alain est monté se coucher, prend des libertés. Il remonte ses mains dans le dos de Cathy, passe sous le bustier et sourit. Il constate, qu'elle n'a pas de soutien gorge. Elle ne le repousse pas. Mieux, elle se serre d'avantage et passe ses bras autour de son coup. La danse terminée, ils s'écartent et se regarde dans les yeux.
Le courant a l'air de passer.
-J'ai monté du champagne dans ma chambre, çà te dit ?
Elle hésite. Que va-t-il se passer. Alain l'a laissée sur sa faim ce soir, et elle a une envie folle de faire l'amour. Après tout, le week-end fini, elle ne le reverra plus.
-Pourquoi pas, répond Cathy, mais vite fait, demain il faut se lever tôt.
Ils arrivent dans la chambre. Sur la table de nuit, Cathy remarque le seau à glaçons avec le champagne, et deux flûtes. C'est sur, il avait l'intention d'embarquer quelqu'un. Ils trinquent à leur rencontre, puis Marc prend les verres et les posent sur la table. Il s'approche de Cathy, lui prend tendrement le visage et pose un baiser sur ses lèvres. Elle ne se dérobe pas.
Elle répond au baiser. Il passe ses mains sous le bustier, et lui caresse les seins.
Son souffle s'accélère. Marc enlève le bustier, et fait glisser la jupe.
-Que tu es belle, dit-il.
Il l'allonge sur le lit, ôte ses vêtements, et se couche sur elle.
-Enfin une queue, dit-elle, et une belle. Avec les couilles qui vont avec. Baise moi, s'il te plait
Je veux que tu me fasses jouir à en crever.
Il lui écarte les jambes plonge sa tête entre ses cuisses, sort son clitoris, et l'attaque à petit coup de langue. Elle n'en peut plus.
-Vas-y Marc, je jouis, continue, mors le, mange le, ha ha oua , cà y est, oui oui.
- Ton mari ne doit pas beaucoup te donner, dit Marc. A l'allure ou tu jouis.
-Si, il me donne, mais j'avais trop envie ce soir, répond-elle.
Il remonte sur son corps, la queue en érection, la place entre ses seins, et la glisse dans sa bouche.
-Allez, suce moi un peu, et avale. Tu verras comme c'est bon.
Elle s'exécute avec précaution. Elle aime, çà ce voit. Elle enroule bien sa langue autour du gland.
-Ha, ha, çà y est, je crache, grogne Marc, salope, vas-y ouai.
Marc se vide dans sa gorge, se faisant nettoyer le gland au passage. Ensuite, il s'allonge sur le dos, sa queue toujours en érection. Cathy l'enjambe et s'empale sur la bite. Elle crie son plaisir.
"Oh Alain, pardonne moi. Regarde ce que tu m'as obligé de faire".
Elle commence à onduler des hanches en poussant des gémissements. D'une main passée par derrière, elle lui gratte les couilles.
-Je suis entrain de me faire prendre, hurle-t-elle. Si tu voyais, mon chéri, ce qu'il me fait, comme il me régale. J'en peux plus. C'est tellement bon d'avoir une grosse queue dans la chatte. Oh putain, je joui encore, oui oui ha ha oui, salaud, t'arrête pas, nique moi fort défonce moi comme une pute. Caresse mes seins, tire les bouts. Regarde comme ils sont gros ces salauds. Eux aussi se régalent.
-Moi aussi je crache, tu me fais jouir petite bordille.
Han,han oui quel pied.
Ils n'ont pas entendu la porte de la chambre qui s'ouvrait. Cathy est toujours empalée sur la queue de Marc, quand elle sent des mains lui caresser les seins.
-Qu'ils sont beaux, magnifiques, avec les bouts comme je les aiment, dit Maéva.
Cathy sursaute, puis l'expérience lesbienne la tente.
-Tu veux participer, lui propose Cathy. Qu'est ce que tu en pense Marc?
-Mais bien sur, autant en profiter.
Maéva, qui s'est déshabillé, place sa chatte devant la bouche de Cathy. Avec deux doigts, elle fait pression sur son clitoris pour le faire sortir du capuchon.
-Suce moi le bouton, ordonne Maéva, goûte ma mouille, tu vas te régaler. Mais tu suces bien, salope. Tu as déjà essayé, petite vicieuse. Oh putain, elle me fait jouir, oui, oui oui.
Cathy, elle, a un orgasme interminable. Elle jouit pour la troisième fois, tandis que Marc se vide lui aussi dans sa chatte. Quelques minutes plus tard, Marc s'éclipse de la chambre, mais apparemment, les femmes n’en ont pas assez. .
-Tu vas voir comme je vais te doigter, dit Maéva. Tu vas en redemander. Et obéit ok.
-Fais ce que tu veux, dit Cathy, mais fais moi jouir, mon corps t'appartiens. Chatte moi.
Effectivement, Maéva va se servir du corps de Cathy comme d'un jouet. Cathy reçoit d'abord une petite fessée, puis se fait branler et sodomiser violemment. Elle pleure, supplie d'arrêter, mais, elle jouit aussi. Les orgasmes se suivent, même Maéva succombe.
Les deux femmes sont épuisées. Un peu de repos leur fera le plus grand bien.
La journée du lendemain se passe calmement. Le bus de l'entreprise ramène tout le monde à Annecy. Maéva discute avec Cathy devant le bus. Alain est là aussi avec ses copains. Il s'excuse pour la soirée d'hier.
-Alain, jusqu'à Annecy, Cathy peut monter dans mon bus? Qu'on papote une dernière fois ensemble, demande Maéva.
-Pas de problème, répond Alain, si elle veut.
Les deux femmes montent dans le bus. La nuit commence à tomber. Maéva et Cathy se dirigent vers le fond, où les attend....Marc. Cathy a tout compris. Dans l'obscurité, elle distingue la queue de Marc en pleine érection. Marc glisse ses mains sous le pull de Cathy et lui caresse les seins. Maéva, elle, placée derrière Cathy, passe ses mains sous la jupe, et lui quitte le string. Elle en profite pour caresser le clitoris et la chatte déjà mouillée.
-La petite salope, elle est prête, dit Maéva a mi-voix.
-J'ai imaginé cette scène toute la journée, ajoute Cathy.
-Cà veut dire que tu veux que je te donne avant de se quitter, Dit Marc.
-Bien sur, répond-elle. Un dernier coup pour la route.
Maéva lui enroule sa jupe autour de la taille. Les quatre ou cinq rangs devant eux sont vides, et la musique diffusé dans le bus couvre les gémissements.
-Tourne toi, ordonne Maéva, et assied toi sur Marc.
Cathy, toujours aussi soumise, obéit, et s'empale sur la queue de Marc en poussant un long soupir.
-Oh putain, je suis entrain de me le faire mettre d'une force. Avec son gros calibre, il me défonce la chatte ce salaud. Cà c'est de la baise, murmure Cathy à l'oreille de Maéva.
S'il te plait, essaie d'attr mon clito, pince le comme cette nuit, jusqu'au sang s'il le faut. Vous m'avez rendue complètement soumise. J'ai été vôtre pute tout le week-end, mais quel régal. Je vais jouir Maéva. Je vais t'embrasser, je ne veux pas que tout le bus m'entende. Vite embrasse moi.
Cathy viole carrément la bouche de Maéva. Elle bave, lui souffle dedans, des larmes perlent sur ses joues. Un orgasme terrible l'envahit. Marc jouit aussi. Il se vide dans la chatte de Cathy. Il est obligé de mordre dans le pull de Cathy pour ne pas crier trop fort.
Cà y est, la tempête est passée.
-Tu m'a prise pour une bouée, dit Maéva en riant. Putain, quelle santé.
-C'est tellement bon, répond Cathy. Et toi ma chérie, tu en as pas profité.
-C'est pas grave, dit Maéva, j'ai un rendez-vous ce soir. Mais embrasse comme il faut, avec la langue.
Marc fait faire un quart de tour à Cathy, et lui prend les seins à pleine bouche.
-J'oublierai, jamais ce week-end passé avec toi, dit Marc.
Ils sont maintenant sur le parking de l'usine. Le départ est proche. Alain embrasse Maéva, serre la main de Marc. Cathy embrasse Maéva, et s'avance pour serrer la main à Marc.
-Mais Cathy, dit Alain. Tu peux l'embrasser quand même.
Cathy se précipite sur Marc, et l'embrasse.
-Merci pour tout chéri. Moi aussi je n’oublierai jamais, murmure-t-elle à son oreille.
-L'an prochain, c'est nous qui descendons chez vous, dit Marc.
-A bon, répond Alain. Considérez déjà que vous êtes hébergés à la maison tout les deux.
N'est-ce pas Cathy.
-Bien sur chéri, pas de problème, dit-elle en souriant.
Cà y est, les voilà partis. La route va être longue. Cathy s'appuie sur l'épaule de son mari, et s'endort les larmes aux yeux.

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