L'Inspectrice 2 (Suite De Un Interrogatoire Qui Fini Mal)

Vers neuf heures, la porte s'ouvre. On entend des froissements d'habits. Laure est entrain de se déshabiller. Marion sent qu'elle s'approche. Elle allume.
-Bonjour Laure, je m'appelle Marion. Pierre m'a dit que tu étais belle, c'est vrai.
Laure essaie de cacher son corps, mettant une main sur ses seins, et l'autre sur sa chatte.
-Mais, qui êtes vous? Demande-t-elle.
-Je suis la soeur de Pierre, répond Marion. Il est sorti faire une course. Mais tu ne m’embrasses pas ?
Le piège. Laure hésite, puis s'avance et se penche pour embrasser Marion. En un tour de mains, Laure se retrouve assise sur les genoux de Marion, ses deux bras bloqués derrière le dos, par la main ferme de Marion.
-Mais, qu'est ce que vous faites, dit Laure. Lâchez moi.
-Chut, chut, calme toi, répond Marion, je ne vais pas te manger.
De sa main libre, Marion caresse la joue de Laure, puis descend doucement sur le cou, les seins, le ventre, et enfin l'entre cuisses. Mais les jambes sont serrées, rendant difficile l'accès à la chatte.
-Arrêtez, supplie Laure. Laissez moi partir.
Marion remonte vers les seins. Elle les caresse, faisant rouler les bouts, très dur, entre ses doigts. Laure semble se décontracter. Son corps devient plus souple. Le bout de ses seins ont doublés. Marion s'en aperçoit. Elle lâche les bras de Laure, et le bascule sur le lit. Laure a toujours les fesses sur les genoux de Marion, ses jambes dans le vide.
Laure soupire. Marion fait une deuxième tentative entre les cuisses de Laure. D'un doigt elle force le passage, et parvient à atteindre les lèvres. Laure a les bras en croix, et sa tête commence à osciller d'un côté à l'autre. Et là, l'incroyable. Dans un mouvement de gymnastique, Laure soulève sa jambe, et la passe dans le dos de Marion. Dans cette nouvelle position, sa chatte est totalement offerte. Marion n'en demandait pas tant. Elle engage deux doigts dans la chatte de Laure qui commence à mouiller.

Ses soupirs se font de plus en plus forts. Marion l'a sent soumise. Avec deux doigts, elle lui décalotte le clitoris, mouille son majeur, et le caresse en faisant des mouvements circulaires.
-Ha, qu'est ce que tu me fais pour que ce soit si bon, soupire Laure.
-Là, répond Marion, je nettoie ton petit bouton. Cà te plait. Mais faudra pas le salir après.
-Mais si je joui, dit Laure. Par ce que là, je ne sais pas si je vais tenir longtemps.
-Ben tant pis, dit Marion, je le nettoierai une autre fois. Oh, mais ta petite chatte est toute mouillée. Regarde comme je te caresse bien.
Laure se hisse sur ses coudes pour voir la scène.
-Oh, mon clitoris, comme il est gros. Et cette position que j'ai. Que c'est bon. Marion Marion je joui, crie Laure en retombant sur le dos. Vas-y, c'est la première fois avec une femme.
Que c'est bon, oui oui oui hou hou.
Marion prend plaisir à voir le corps de Laure s'agiter. Elle l'allonge sur le lit, ôte son peignoir et se couche sur elle, sa chatte sur sa bouche. Elle libère son clitoris du capuchon.
-Sors ta langue, ordonne Marion, et lèche moi.
Laure obéit. Elle fait ce qu'elle peut. Pour l'exciter d'avantage, Marion glisse une main entre les cuisses de Laure, et la doigte. Du coup, Laure devient plus précise, plus vicieuse.
Marion commence à gémir, à onduler des hanches. De sa main libre, elle caresse ses seins, tirant fort sur les bouts.
-Oui chérie, râle Marion, vas-y, je joui, t'arrête pas. Oh con, que c'est bon. Oui oui oui.
On va recommencer.
Marion se lève, se retourne, et colle ses lèvres sur la chatte de Laure. C'est parti pour un soixante neuf. Mais à ce jeu, Laure n'a pas l'expérience de Marion. Son bassin s'agite, ses pieds glissent sur les draps. Elle dégage sa bouche.
-Attention Marion, je vais me vider. Hou oui oui, salope, tu me crèves.
Cette fois l'orgasme et géant. Des jets de liquide giclent sur le visage de Marion. Laure a repris le clitoris de Marion, et l'aspire, le mord.
-Oua, ha ha ha, je joui, je crache, petite pute, vas-y, suce moi. C'est aussi bon qu'avec ton copain.
La boulette. Laure fait rouler Marion sur le côté, et s'assied.
-Quoi, mais qui es-tu ? Dit Laure. Tu m’as menti.
-Excuse moi, se confond Marion. Je l'avoue, j'ai passé la nuit avec Pierre. J'avais une dette envers lui.
Laure la dévisage, met une main devant sa bouche, les yeux grands ouverts.
-Cà y est, je te reconnais, dit Laure. Les photos. Et si Pierre apprend qu'on a fait l'amour ensemble, et qu'en plus, je me suis régalé, il va me laisser tomber. Oh pardonne moi mon amour.

-C'est pas grave chéri, dit Pierre en sortant de derrière le paravent, Je suis bien content que tu ais aimé.
Laure retombe sur le dos. Cà en est trop pour ce matin. Elle cache son visage sous les draps.
-Relève toi ma chérie, dit Marion. Tu entendras plus parler de moi. Je vais vous laissez.
Pierre a pris Laure dans ses bras, et l'embrasse tendrement.
-Mais tu vas aller où ? Demande Pierre. Tu n’as plus d'appartement. Tu peux rester si tu veux.
-Non, je ne veux pas vous déranger, poursuit Marion.
Laure a un sursaut.
-Pas question que tu partes, tu restes ici, dit-elle. Mais à une condition.
-Laqu'elle? Demande Pierre inquiet.
-C'est qu'on couche tout les trois ensembles.
Pierre et Marion se regardent et plongent sur le lit. La queue de Pierre est littéralement happée par la bouche de Laure. Marion suce le clitoris de Laure tout en la doigtant.
Laure, en pleine pipe, commence à gémir.
-Qu'est ce qu'il t'arrive, demande Pierre.
-Je suis entrain de me faire chatter, par un flic. Que c'est bon, oui oui hou haa.
-Et ce que je t'envoie dans la bouche, ce n’est pas bon? Dit Pierre. Houaa oui, vas-y avale.
Pierre et Laure se lancent un regard interrogatif. Ils hochent la tête.
Laure saisit Marion par les cheveux, et l'oblige à se mettre à quatre pattes. Pierre la queue toujours en érection et encore humide, se place derrière elle. C'est Laure qui guide la queue contre la rosette de Marion. Pierre pousse et l'encule. Laure passe devant et embrasse Marion à pleine bouche. Elle glisse une main entre ses cuisses, et lui brutalise le clitoris.
-Oh putain, je me fais enculer et doigter par deux salauds. Si mes collègues me voyaient.
Vas-y Laure, gratte bien mon bouton, fait le bander ce salaud. Et toi Pierre, qu'est-ce que tu attends pour me rentrer tes couilles dans le cul. Vous voyez, même dans la police, il y a des putes. Vas-y Laure, arrache moi tout, oui oui houaaa, je me vide, allez-y.
-Moi aussi, je me vide, hurle Pierre, hahahahaaa oui. Quel pied.
Marion s'écroule sur le côté, épuisé. Elle regarde Laure.
-Et toi ma chérie, tu as un coup de retard, dit Marion.
-Mais, que je sache, répond Laure, la journée n’est pas finie. Tu auras un long rapport pour demain.