Premier Trio Hhf

Je te raconte mon premier trio.
C’était il y a un certain temps ! J’avais répondu à une annonce coquine d’un petit journal d’annonces qui s’appelait « La Gazette ». J’avais rdv avec un couple à La Seine sur mer à Coté de Toulon. On avait échangé quelques lettres (une autre époque, plus épistolaire) et convenu de se rencontrer chez eux.
Je suis arrivé sur le parking d’un immeuble HLM, il faisait beau et l’air légèrement iodé, sentait la légèreté. Je suis monté au troisième, le cœur toujours battant comme à chaque rencontre (même encore) du plaisir de l’attente et de la découverte…
J’ai sonné à la porte et c’est elle qui m’a ouvert :
« Bonjour Bernard, entre »
« Bonjour Catherine »
Elle était simplement vêtue d’une jupe rouge, d’un ceinturon noir, d’un chemisier vichy et de chaussures à lanières et semelles compensées. L’ensemble était très agréable à regarder.
Elle dégageait un parfum de fleur et de sous-bois, très frais.
Ses cheveux blonds, ramenés en queue de cheval, faisait ressortir ses traits fins malgré ses lunettes…j’aime beaucoup les visages mis en évidence par une queue de cheval qui flotte à chaque balancements de la tête.
« Jacques n’est pas là, il nous rejoint un peu plus tard. Tu veux boire quelque chose ? »
« Un verre de vin si tu as, mais avant un verre d’eau »
Elle m’a entrainé dans la cuisine et c’est activé pour me servir. Se haussant sur la pointe des pieds pour attr un verre, se baissant pour prendre une bouteille, se penchant pour remplir la carafe…et le petit regard en coin qui va bien. Un ballet sensuel qui me permettait de découvrir ses formes généreuses et pleines : j’étais fasciné et conquis !
« Bernard, qu’est-ce que tu aimes ? Est-ce que tu aimes les dessous sexy ? »
Je l’ai regardé par-dessus mon verre, un peu dubitatif : elle les mets où ses dessous avec cette tenue si légère ? J’ai acquiescé de la tête.
« Alors attend moi là » Sa main à effleuré mon bras et elle est partie dans le salon pour mettre de la musique (Toda Menina Baiana de Gilberto Gil) et dans une démarche chaloupée en rythme, puis elle est entrée dans la chambre.


Je me suis laissé bercer par la musique mais quand elle m’a appelé j’ai bondi comme un ressort : je commençais à avoir faim !
Elle était debout face à moi, dos à la fenêtre, en bas et porte jarretelles noir avec un liseré rouge vif. Un shorty bleu nuit et un soutient gorge assortit enrobait ses fesses et ses seins et faisait ressortir son bronzage. Grace au miroir de la penderie, je ne perdais rien de toutes les faces de son anatomie qu’elle me présentait goulument avec un sourire de petite fille !
« Et toi, tu aimes quoi ? »
Elle m’a répondu du tac au tac « J’aime qu’on me suce »
Je me suis approché d’elle et je me suis agenouillé pour déposer un baisé sur ses genoux dans une révérence pleine de respect devant cette déesse de la féminité.

Perchée sur ses escarpins noirs et rouges, elle a légèrement fléchie les genoux, comme une invitation à aller plus loin. J’ai passé mes mains dans le creux de ses genoux et remonté sur l’arrière de ses cuisses. Le satin crissait sous mes doigts. J’ai continué les baisers en remontant sur ses cuisses, les hanches, le pli de l’aine, le ventre…la douceur de sa peau et son odeur me faisaient tourner la tête.
Elle a posé ses mains sur ma tête et a fait crisser ses ongles dans mes cheveux…elle aussi avait envie mais ne voulait rien précipiter.
J’ai frotté son shorty sur l’entrejambe avec mon nez pour sentir les effluves du désir qui commençait à exhaler de sa chatte. Mes mains ont effleurées ses fesses pour sentir le velours de sa peau qui vibrait sous mes caresses. Un tremblement de fébrilité d’excitation, de plaisir et d’angoisse commençait à envahir tous mes membres. J’ai respiré profondément pour ne pas me laisser déborder et son odeur m’a envahi tout en calmant ma fébrilité. J’ai sorti ma langue pour la poser bien à plat sur le tissu. La chaleur de son sexe se diffusait et ma salive se mélangeait au jus qui commençait à sortir de son minou à travers le tissu.

Un petit grognement rauque me confirma, s’il était besoin, qu’elle appréciait : j’étais aux anges !
Soudain elle me repoussa la tête et me pris par les épaules pour que je me relever.
Son regard était enfiévré et elle essayait fébrilement de défaire ma ceinture : « J’ai envie de sucer ton sexe, de l’enfoncer dans ma gorge » m’a-t-elle dit d’une voix rauque qui me faisait vibrer, tout en me mordillant l’oreille !
Je l’ai prise par les épaules pour la regarder dans les yeux : « D’accord, mais à mon rythme et avec beaucoup de douceur si tu veux bien »
Devant son regard interrogateur j’ai précisé : « Je suis comme les diésels, j’ai besoin d’un bon préchauffage »
Nous sommes partit dans un fou rire nerveux qui nous a fait du bien. Quand ça s’est calmé elle m’a dit « Je vais bien m’occuper de toi ».

Elle a commencé par une dance au rythme de la musique. Ses fesses et ses seins magnifiques ondulaient sans retenues. Je l’ai rejoint en dansant collé-serré.
Ses mains semblaient effleurer toutes les parties de mon corps qui réagissaient à ses appels.
J’ai commencé à enlever ma chemise, défaire ma ceinture et rapidement je me suis retrouvé en sous-vêtements : nous étions à égalité !
Elle s’est allongée sur le lit et m’a dit : « Viens me sucer encore, j’ai trop envie ».
J’ai fait le tour du lit et me suis approché d’elle à quatre pattes en partant de la tête. Baisant ses cheveux, son cou, sa poitrine, ses seins, ses bras, son ventre, son nombril dans lequel j’ai fait tourner ma langue…sa bouche n’était pas en reste pendant ma progression, elle a baisé mon torse, mordillé, sucé, léché mes tétons, baisé mon ventre.
Mon sexe, qui était en demi-érection dans mon slip, s’est mis à grossir et mes bourses à se contracter de désir. Ses mains ont complétées par des caresses sur mes fesses, mon dos, mes cuisses et se sont doucement refermées sur mes couilles dures et la base de mon sexe turgescent : elle a soufflé sur le tissus et la chaleur m’est remonté jusqu’en haut du crane !

J’ai senti que c’était le moment ! Je me suis redressé et j’ai enlevé mon slip.
Je me suis allongé sur son coté et je l’ai aidé à enlever le siens et son soutient gorge.

Nous étions allongés tête bèche et nos corps ont semblé se coller naturellement ensemble, comme s’ils étaient complémentaires !
Sa chatte à portée de ma langue, j’ai posé ma bouche dessus et aspiré son jus délicieux. Ma langue à plat sur ses petites lèvres, j’ai commencé à la lécher doucement, en avançant dans sa grotte au fur et à mesure qu’elle s’ouvrait…un vrai plaisir de découvrir ses chairs douces, parfumées et qui s’humidifiaient de plus en plus !
De son côté, elle n’était pas en reste ! Elle a commencé à poser des petits bisous partout sur mes bourses, les plis de l’aine et ma queue maintenant toute dure. Ses mains me caressaient ou me griffaient aux grés de son inspiration et des réactions de tout mon corps.
J’ai basculé sur le côté et elle m’a chevauchée le visage en enfournant ma queue : sa langue et sa bouche faisaient des variations de rythme de plus en plus endiablées.
J’ai arrêté de la sucer et j’ai simplement laissé ma langue pointer sur ses petites lèvres complètement ouvertes maintenant.
Elle a hésité un peu et puis elle a compris : je lui prêtais ma langue pour qu’elle bouge dessus comme elle voulait !
Sa chatte c’est mise à dégouliner de jute et son bassin à onduler pour bien écraser son sexe sur mes lèvres, ma langue et mon nez ou pour remonter parfois…c’était dantesque !
Sa bouche sur mon sexe faisait des bruits de sussions humides et un râle rauque venant de sa gorge me vrillait le cœur, le ventre et le sexe…ma bite était terriblement malmenée, mais putain, que c’était bon !


A un moment, j’ai vu bouger quelque-chose dans un coin de mon champ de vision. J’ai appuyé un peu mes mains sur ses fesses (si douces sous mes paumes) pour calmer son ardeur et, en basculant ma tête en arrière, j’ai vu un homme dans l’encadrement de la porte.
J’en ai déduit que c’était Jacques, car dans la position ou je me trouvais, ce n’était pas évident de le reconnaitre (nous n’avions échangé que quelques photos polaroid).
Il avait le regard écarquillé et concupiscent : la vue du cul magnifique de sa femme qui s’activait sur ma langue et sa nuque qui montait et descendait sur mon chibre lui faisait un effet…bœuf !
Catherine, bien que très occupée, a senti qu’il se passait quelque-chose et a sorti doucement ma queue de sa bouche tout en la tenant avec sa main à la base, comme pour ne pas la laisser partir.
Elle a tourné la tête et de sa main libre elle a fait un signe du doigt à son homme. Et comme il s’avançait, elle a mouillé sont doigt dans sa chatte qui coulait abondement.
Jacques c’est dévêtu rapidement. Un beau corps athlétique et bronzé, avec des fesses bien galbées, c’est dévoilé à mes yeux. Sa tige déjà dressée et bien dure m’a fait venir l’eau à la bouche alors que Catherine serrait mon sexe plus fort car elle avait senti que je réagissais à la vue de son homme…à moins que ce ne soit simplement l’effet que lui faisait l’idée de se faire prendre avec un autre homme en train de la lécher sans retenue.

Jacques c’est approché du lit et y est monté à genoux pour s’avancer vers le cul offert et magnifique de sa femme. Il a soulevé les hanches de sa femme pour décoller son sexe de ma bouche et l’a pénétrée sans ménagements. Rentrant sans retenue dans ce sexe inondé de mouille et commençant à la pilonner sauvagement. Il était un peu stressé par la présence de ma bouche si près de son sexe, mais trop excité pour ne pas se retenir de pénétrer sa belle (c’est ce qu’il m’a dit par la suite).
Moi j’étais aux paradis avec ce bel engin qui coulissait dans cette chatte si brillante de mouille et qui faisait un bruit sensuel de succion si délicieux.
Catherine se tenait fermement à mon sexe et la pression de sa main sur la base de ma tige ajoutait à mon délice.

Soudain il s’est retiré du vagin avec des bruits d’air caractéristique d’une grande excitation de Catherine et, debout au bord du lit, il semblait pris dans un conflit intérieur. Catherine se releva et, se retournant vers lui, elle planta son regard dans le siens. Une conversation silencieuse s’est faite dans leurs yeux et une tension est montée brutalement dans la chambre. Je n’en menais pas large, car, ignorant ce qu’ils avaient convenus et ce qui se jouait vraiment, je craignais des débordements incontrôlable de ce bel homme, musclé et plutôt animal.
Et soudain, il y a eu un imperceptible changement et la queue de Jacques qui commençait à baisser pavillon, c’est redressée soudain. Catherine c’est approchée de la queue de Jacques. Elle l’a prise en main et l’a attirée vers le lit. Jacques c’est avancé à genoux sur le lit, vers moi et, doucement mais fermement, Catherine l’a approchée de mes lèvres, les yeux rivés dans ceux de Jacques. J’ai sorti ma langue et commencé à lécher cette queue pleine du jus de Catherine. C’était bon, plein d’odeur et de saveur et elle s’est encore mise à durcir.
Catherine a alors pris Jacques par les fesses et les a poussés pour que sa tige s’enfonce bien profond dans ma bouche. C’était un délice de sucer cette queue et de la sentir durcir et gonfler dans ma bouche. Du fond de la gorge de Jacques est monté un grognement sensuel et vibrant de plaisir et d’abandon. Et moi, je n’en revenais pas d’apprécier autant de sucer une bite douce, ferme et si parfumée.


Quand elle s’est retirée de ma bouche, j’ai eu un moment de vide. Mais Catherine voulait autre chose maintenant. Elle m’a fait tourner sur le lit pour pouvoir me chevaucher en offrant son magnifique postérieur à son mari. Elle a passé ses doigts dans sa chatte totalement liquéfié par le spectacle qu’elle s’était offerte de voir son homme se faire sucer…et de le sentir apprécier ! Avec sa mouille, elle lubrifiât son petit trou et après s’être confortablement installée sur moi, ma tige bien enfoncée dans sa chatte, elle cambrât ses hanches pour inviter son mari à la pénétrer. J’ai senti la queue de Jacques qui pénétrait doucement ses entrailles et sa tige frotter doucement ma bite à travers la fine cloison de chair qui nous séparait, qui séparait nos sexe durs, de plus en plus dur.
Sensation incroyable et inoubliable de ces tiges qui coulissent l’une contre l’autre dans l’intimité de Catherine.
Catherine dégustait un peu (car Jacques était vraiment gros) et des larmes perlaient aux coins de ses yeux que je m’empressais de cueillir délicatement en baisant ses paupière du bout de mes lèvres.
C’était un peu d’eau salé, mais j’ai eu l’impression qu’un élixir se posait sur mes lèvres et descendait dans ma bouche en dégageant un parfum inconnu et impossible à nommer !
Est-ce mon geste ou l’effet du plaisir qui montait en elle après la douleur, mais le corps de Catherine semblât se détendre puis se raidir autour de mon sexe. Un cri rauque, sensuel et démentiel sorti de ses lèvres alors que des spasmes la parcourait de partout. J’ai tout lâché aussi et j’ai joui comme un fou, du sommet de mon crane jusqu’à la pointe des pieds !

Jacques et Catherine se sont effondrés sur le côté et nous avons mis un certain temps à émerger de cette jouissance submergeante.
Nous avons beaucoup parlé ensuite et nos jeux se sont prolongés dans la soirée et la nuit… mais c’est une autre histoire.

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