La Petite Bourgeoise
J'étais le petit fils du fermier et tous les étés je les passais chez mes grands parents.
En même temps, dans la maison bourgeoise du propriétaire les petits s venaient également passer les beaux jours.
Tous les soirs nous nous rassemblions et nous nous racontions des histoires. Laurence une belle brune aux yeux bleus me matait depuis un certain temps, son frère Jean, un an de moins, du même âge que mon frère était aussi de la partie.
Un soir, alors que le soleil prenait son temps pour aller se coucher, je m'étais mis en face de Laurence. Elle avait une petite jupe à plis à carreaux et dans les mouvements que je ne manquais pas je pouvais voir sa petite culotte blanche; Ce qui m'excitais fort.
Je crois qu'elle en abusait et m'en faisait voir plus à chaque mouvement. La lumière s'estompait et je me suis rapproché d'elle discrètement. N'y tenant plus j'ai osé poser ma main sur sa cuisse dénudée. Je m'attendais à prendre une claque, mais au contraire elle posa sa main sur la mienne, comme pour que je ne la retire pas.
Encouragé par ma tentative, ma main remonta jusqu'à sa culotte et je m'aperçus qu'elle écartait encore plus les cuisses. Les autres discutaient et ne faisaient pas attention à nous.
Le bout de mes doigts passa sur sa chatte en caressant le tissu fin et je sentis qu'elle était déjà mouillée. Elle ne disait plus rien, je glissais mes doigts derrière l'élastique pour atteindre sa chatte. Je l'entendais soupirer et sa respiration s'échappait par saccades. Mon majeur n'eut aucun mal à passer entre ses lèvres dégoulinantes de jus chaud. Son bassin ondulait légèrement et allait vers mon doigt. Mon doigt se promenait et allait taquiner le petit bouton raidi au sommet de sa chatte. Elle finit par arrêter ma caresse en bloquant ma main. J'ai cru qu'elle voulait arrêter, mais elle mit son index sur sa bouche en signe de faire silence et me fit signe de la suivre.
Nous prétextâmes que nos jambes avaient des fourmis et que nous allions faire quelques pas dans le chemin.
Nous nous éloignâmes et, dès que nous fûmes hors de vue des autres, elle m'attira brusquement vers une grange, y pénétra et referma la porte. Aussitôt, elle se jeta sur moi et me roula une pelle. En deux mouvements, elle s'était déshabillée et se retrouvait totalement nue. Puis très vite elle se mit à me déshabiller. Se mit accroupi pour baisser mon pantalon et se retrouva le nez face à ma queue en érection qui en passant l'élastique de mon slip faillit la gifler. Elle ouvrit grand la bouche et goba mon gland et le suça avec appétit. Je n'en revenais toujours pas : la fille du bourgeois me suçant ! ! !
Et elle suçait divinement la petite, me caressait les testicules et avec un doigt passait dans ma raie pour titiller mon anus. J'ai cru que j'allais jouir dans la seconde mais Laurence avait de l'expérience et la sentit... pour y remédier, du tranchant de sa main elle appuya sur mon périnée, ce qui pour effet de retarder la montée du jus. C'était divin.... Elle absorbait toute ma tige dans la bouche jusqu'au fond de sa gorge puis se retirait et aspirait mon gland rouge et tendu.
Je l'arrêtais à mon tour, la fit se relever, puis l'entraîna vers la meule de foin après avoir enlever les vêtements qui me gênaient. Nous nous embrassâmes fougueusement, pus elle redirigea sa bouche vers mon sexe et se tourna pour m'offrir sa chatte inondée. Goulûment je me mis à sucer cette corolle baveuse et divine et absorbais tout le jus qui s'en échappait. Ma langue fouillait son vagin, puis se retirait pour téter son petit clito raide. Je sentais sa bouche pleine de salive glisser sur ma hampe chaude. Ma langue furtive accéléra sa rotation et dans un gémissement à moitié étouffé elle prit son pied magnifiquement et continua sa suce majestueuse.
Lentement, elle sappliquait à avaler mon membre... Elle se releva et vint s'assoire sur moi et guidant ma queue dans son vagin en feu. Violemment, elle exprima de grand mouvement du bassin et des cris de jouissance s'échappaient de sa bouche, puis pour la deuxième fois elle atteignit l'orgasme en hurlant.
Nous nous rhabillâmes tous les deux et nous rejoignîmes les autres qui continuaient à discuter.
Tous les soirs nous nous retrouvâmes, et nous nous échappâmes de la même manière pour nous adonner à nos plaisirs sexuels. Mais ce premier soir restera inoubliable de tant de jouissances. Même si trois jours après elle me demanda de la sodomiser, mais ce sera une autre histoire à raconter...
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