La Mère De Mon Compagnon

Je m’appelle Françoise je mesure 1.65m et pèse 54k un petit bout de femme je suis rousse et les yeux verts et j’ai 50ans. Je suis divorce depuis 5 ans et j’ai rencontré mon compagnon Fil il y a 6 mois et nous avons décidé de vivre ensemble. C’est comme ça que j’ai été chez lui. Là, il y avait sa mère de 72 ans qui vivait en dessous et qui était très autoritaire.
Un lundi matin alors que Fil était parti travailler, Agnès entre sans frappe et va se servir dans le buffet. Je lui dis gentiment que cela ne se fait pas, et en guise de réponse je reçois une gifle qui me fait tomber sur le lino. Encore toute ébahie, je croie me relever et c’est là qu’Agnès vient s’asseoir sur mon ventre et j’en aie le souffle coupé. Il faut dire que cette femme mesure environs 1.75m et doit peser 70k.

Là, elle commence a me gifler en me disant que je n’étais pas une fille sage et que je méritais ce qui m’arrive. Je lui devais le respect et devait lui obéir. Je croyais rêver !

Là, elle me retourne et commence à soulever ma robe jusqu’aux reins. L‘autre main me tient par les cheveux et je ne peu bouger. Je crie mais cela ne la gène aucunement. Sa main commence à me fesser avec une violence inimaginable. Jamais je n’aurais cru qu’une femme avait une telle force, mes fesses me brûlent et des larmes me viennent aux yeux, je pleure comme une gamine et sa main continue à flageller mes fesses.
Après un long moment ses coups s’arrêtent et à ma grande surprise cette main qui m’avait occasionné la douleur se met à me caresser avec une douceur inouïe. Elle commence à tourner sur mes fesses et va s’insinuer sur mes lèvres et là, pour ma plus grande honte, je commence à mouiller à travers ma culotte.
Elle s’en aperçoit et me traite de vieille salope, de pute à marins, de salope de bourgeoises et qu’elle allait me prendre en main et ne plus me quitter que si son fils était une mauviette , elle serait mon maître et je lui devrait obéissance.


Un oui sortit de ma bouche sans que je réfléchisse.
J’avais écarté les cuisses toujours sur le ventre et ses doigts continuaient à tourner sur mon bouton. Je me retenais pour ne pas jouir mais les caresses me firent partir et crier comme une chienne. Jamais je n’avais pris autant de plaisir et j’ai eu honte de jouir devant cette femme. Cela voulait dire qu’elle avait gagné et je m’en voulais beaucoup.
Elle se releva et me dit de ne rien dire à quiconque et surtout à son fils car il ne me croirait pas. Je voulu redescendre ma robe et elle me dit d’un ton sévère de quitter ma culotte et que dorénavant je n’en porterais plus. Le rouge me vint aux joues et je lui obéit. Elle quitta l’appartement et je me retrouvais seule avec ma culotte à la main ne sachant que faire.

A suivre.

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