Sylvie Et Olivier (2ième Partie)

.Cà fait maintenant dix mois que Sylvie et Olivier se retrouvent tous les jeudis. Mais celui là est particulier. En effet, Sylvie vient d'apprendre qu'elle est stérile. Elle ne pourra pas avoir d'. Elle veut dire la vérité à Olivier. Elle décide même de lui rendre sa liberté. Il faut qu'il fasse sa vie sans elle.
Quatorze heures précise, elle entre dans l'hôtel, et attend dans un coin du bar. Elle revoit son dernier jeudi, de loin le plus torride. Une fois dans la chambre, ils s'étaient déshabillés.

Sylvie est sur le lit, jambes écartées. Olivier se couche sur elle. Elle s'enroule autour de lui.
Avec le bout de sa queue, il caresse le clitoris de Sylvie. Doucement, il l'a pénètre.
-Regarde ma chatte comme elle mange ton rat, sourit-elle. Tu sens comme elle le serre.
Il est noyé dans ma mouille le salaud. Tu vas voir comme je vais le faire pleurer.
-Oh ma chérie, soupire Olivier, comme tu m'as bien avalé, vas-y salope, fais moi cracher.
-Mais chéri, c'est moi qui joui, ha ha ha ha, vas-y sale queue, pleure dans ma chatte.
-Moi aussi je viens, crie Olivier, tu sens ce que je te mets, tu m'as eu hein, que c'est bon.
Ils sont allongés côte à côte.
-Mon amour, dit Sylvie. Il y a un truc que je n’ai jamais fait. Je veux que ce soit toi le premier.
-Demande toujours chérie, dit-il.
-Que tu me sodomises.
Olivier n'est surpris qu'à moitié.
-Tu es sure, reprend-il. Met toi en position.
Olivier rentre sa queue dans la chatte de Sylvie, la ressort toute mouillé. Il présente son gland contre le petit trou de sa cousine.
-Si tu as mal, tu me dis, j'arrête de suite, dit Olivier.
Sa queue commence à disparaître dans le corps de Sylvie. Les plaintes ne laissent aucun doute. Elle aime.
-Doigte moi à même temps, demande-t-elle, s'il te plait.
La queue est entièrement entrée, et Olivier la fait aller et venir dans le cul de Sylvie.
Elle s'écroule sur le lit.

Seules se fesses sont offertes à son amant qui la sodomise de plus en plus vite. Sylvie est en nage.
-Hou hou oui ha, mon amour, je suis à toi. Régale toi
-Moi aussi je me régale, je joui, oui ouaaa, qu'est ce que tu me fais faire. Si tu savais comme je t'aime.

Sylvie regarde sa montre. Demi heure de retard. Ce n’est pas normal. Des bouchons peut-être. Mai non, il aurait appelé. Une heure." Qu'est ce qu'il se passe Olivier ? Pense-t-elle, çà va pas finir comme çà".
Elle l'appelle. Messagerie.
Résigné et en larmes, elle regagne sa voiture. Elle arrive chez elle, ses parents sont au salon. Son père est au téléphone. Sa mère se retourne, en pleurs.
-Que se passe-t-il, demande Sylvie.
-Olivier, répond sa mère, un accident à l'entrée de Valence. Cà a l'air sérieux.
Sylvie s'écroule sur le canapé les mains sur son visage.
-Non hurle-t-elle, pas çà, pas lui.
Les nouvelles se confirment. Le bassin et les jambes seraient touchés. Mais il est lucide.
Sylvie quitte la maison.
Trois jours après, les parents des deux s rendent visite à Olivier. Sylvie est assise, sa tête appuyée sur le lit, dans la main de Olivier.
-Cà fait deux jours qu'elle est là, dit l'infirmière. C'est sa fiancée.
Les parents se regardent et hochent la tête négativement.
Quatre mois plus tard, l'état de santé de Olivier s'est nettement amélioré, mis à part sexuellement. Il n'a plus d'érection. Sylvie a carrément suspendu ses études de gestions pour être auprès de lui. Elle l'encourage, le motive.
-Met toi bien çà dans la tête, lui dit-elle. J'attendrai le temps qu'il faudra, mais il n'est pas question que je laisse tomber, même si je dois passer ma vie à me faire doigter.
Ce soir, Olivier a invités parents et amis pour arroser sa guérison. Il remercie tous ceux qui lui ont rendus visite, qui lui ont remonté le moral et soutenu dans cette épreuve.
Sylvie est appuyée à côté de la porte, tête baissée.
Pas un mot de reconnaissance pour elle.
-Maintenant, fini Olivier, je vous demanderai de sortir. Je tiens à remercier ma future épouse en privé.
Les invités sont au courant. En sortant, ils applaudissent Sylvie. Les parents l'embrassent.
-Ferme à clé chérie s'il te plait. Viens t'allonger avec moi.
Comme un automate, n'y croyant pas, Sylvie s'avance.
-C'est vrai, demande-t-elle en larmes
- Pourquoi, tu ne veux pas, dit Olivier. Et puis arrête de pleurer.
-J'ai une mauv....
-Je sais, la coupe-t-il, moi aussi peut-être. S'il faut on adoptera. Alors, tu veux ?
-Mais bien sur mon amour. Comment dieu a-t-il pu faire un homme aussi gentil.
-Pour qu'il soit prêt quand il rencontrera la femme de sa vie.
Sylvie se déshabille et entre dans le lit. Olivier a que le haut de son pyjama. Il prend la main de Sylvie et la guide vers son entre jambe.
-Olivier, dit-elle surprise. Tu es guéri, elle fonctionne ?
-Il y a que toi qui peut en jugé, dit-il.
-Je peux essayer ?
-Ce sera l'occasion pour le savoir, dit-il.
Sylvie repousse le drap et glisse vers le sexe en érection. Elle fait coulisser le prépuce le long du gland et branle doucement, très doucement. Avec sa langue, elle lèche les couilles, les prenant à pleine bouche.
-Je t'en prie, suce moi, murmure Olivier.
Sylvie remonte le long de la queue, l'avale complètement. Depuis qu'elle avait envie de lui tailler une pipe. Olivier, lui, a glissé ses doigts dans la chatte de Sylvie. Il la doigte tout en jouant avec son bouton.
-Sylvie, oh Sylvie, gémit-il tu me fais cracher, ha ha oui ouaa, salope, tu es toujours aussi bonne.
Olivier éjacule dans la bouche de Sylvie. Il vide ses couilles, çà en avait besoin. Sylvie sort la queue de sa bouche, mais la garde dans sa main, la fait rouler contre sa joue.
-Mon amour, je viens, crie-t-elle, hou hou oui, que je t'aime mon dieu.
Sylvie remonte vers Olivier, l'embrasse à pleine bouche.

-Tu veux la mettre dans ma chatte, demande-t-elle.
-S'il te plait, répond Olivier, çà me ferai plaisir.
Sylvie enjambe Olivier et s'empale sur sa queue toujours en érection. Elle lui prend les mains et les pose sur ses seins.
-Tire moi mes petits bouts, dit-elle. Eux aussi ont attendus trop longtemps.
Sylvie ondule des hanches. Elle a mis ses mains derrière sa tête, offrant encore plus ses seins aux caresses de Olivier. Leur souffle s'accélère, ils gémissent. C'est sur ils vont jouir ensemble. Dans un ultime coup de reins, leurs corps se vident dans des plaintes de plaisirs. Elle s'effondre sur lui, épuisé.
Ils sont assoupis dans les bras l'un de l'autre, quand on frappe à la porte. Olivier se lève et ouvre. C'est Marie qui vient faire signer des documents.
-Sylvie, demande Marie, veut-tu épauler Olivier pour gérer le domaine ?
-Mais, bafouille Sylvie.
-Bon, c'est oui, poursuit Marie. Allez, reposez vous.
Marie rejoint Didier dans la chambre, et se pend à son cou.
-Je te pardonne, dit-elle. On va arrêter nos conneries. Il faut pensé aux s. Les mettre à l'abri financièrement. Ils se marient dans trois mois.
Ils se glissent tout nus sous les draps.
-Je suis a toi, murmure-t-elle à son oreille, prend moi, baise moi. Fait ce que tu veux de moi.

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