La Soumission De Didier.

Olivier et Sylvie sont partis.
-A nous deux, dit Marie en tirant Didier par l'oreille.
Cà fait cinq ans que Didier est soumis à Marie. Depuis le jour où elle l'a surpris entrain de la tromper avec sa meilleure amie. Didier n'a pas voulu divorcer, préférant la situation financière. Quitte à le payer cash.
Marie glisse sa main dans son short.
-Mais salaud, ton noeud est tout décalotté, remarque Marie, et tes couilles sont pleines.
Elle le tire par la queue, jusqu'à la chambre. Une fois sur place, elle se met toute nue, lui arrache son short, et le jette sur le lit. Elle le prend par les couilles.
-Aie aie, doucement, dit-il, tu me fais mal. Laisse moi partir.
-A, obéit, gronde-t-elle, sinon je fais venir le voisin.
-Non non, pas lui, supplie-t-il.
René, le voisin, est un colosse. C'est avec lui que Marie se fait baiser régulièrement.
Il est monté comme un taureau, et dépasse Didier de vingt centimètres.
-Tu en as peur, reprend-elle. Tu as vu comme il t'a mâté la dernière fois. Tu as vu comme il te faisais sauter quand il attrapait tes couilles. Comme il m'a niquée devant toi. Et quand je lui ai taillée une pipe, tu disais rien, tu te régalais. Tu vas voir quand tu auras sa grosse queue dans le cul.
Marie le tient toujours par les couilles. Malgré la douleur, Didier a une érection. Elle l'oblige à s'allonger sur le dos, et grimpe sur lui.
-En attendant René, dit-elle. Tu sais que tu n’as pas le droit de cracher dans ma chatte. Ok
Regarde comme je suis bien mouillée. Et mon bouton, ce salaud, tu vois comme il est gros.
Marie s'empale sur la queue de Didier. Il est moins monté que René. Il est normal.
Elle se déhanche sur le corps de son mari, caresse ses seins volumineux, puis att les mamelons de Didier. Didier gémit de douleur, mais de plaisir aussi.
-Il me fait jouir ce connard, crie Marie. Oh putain, hou hou oui oui tu sens ma mouille, oui.


Didier, lui aussi, commence à s'agiter.
-Hou, hou, tu vas me faire jouir ma chéri, dit Didier. Lève toi.
Marie se lève, prend la queue de son mari, et la branle, passant sa main sur le gland humide.
-Tu aimes que ta femme te branle, hein? Tu te régales.
-Je crache Marie, c'est bon, tu me vides les couilles, ha ha houa, oui oui.
-Ne débande pas, ordonne Marie, j'ai encore envie.
Elle s'empale une nouvelle fois sur la queue de Didier. Mais celle-ci perd de sa vigueur.
-Quoi, c'est tout, gronde-t-elle.
Vlan une gifle, deux. Elle passe une main par derrière, et lui att un testicule avec deux doigts et le tient fermement. Chance, çà excite Didier qui sent son sexe se redresser.
Marie se soulève et joue avec la queue et les couilles de son mari.
-Je vais te faire une fleur, dit-elle, Tu veux m'enculer ?
-Fais ce que tu veux, répond Didier les larmes aux yeux.
De rage, Marie place sa chatte sur la bouche der son mari.
-Puisque c'est comme çà, tu jouiras plus aujourd'hui.
Didier parvient à glisser ses deux mains entre les cuisses de Marie, et écarte la chatte.
Avec ses pouces, il lui décalotte complètement le clitoris, lui donne des coups de langue, l'aspire, le mord. Marie pousse des plaintes, soupire de plaisir.
"Mais c'est qu'il me fait du bien ce con" pense-t-elle.
-Salaud, tu me fais jouir encore, oui, hou hou ha ha, bouffe moi la chatte, que c'est bon oh chéri, vas-y, crève moi.
Chéri ? Il y a un moment, qu’elle n'a pas prononcé ce mot à son mari.
-Viens que je t'embrasse, lui dit-elle. Tu veux que je te suce? Tu es surpris, hein? Mais attention, tu craches pas dans ma bouche.
Marie se déplace pour que sa bouche se trouve sur la queue de Didier. Avec deux doigts elle fait coulisser le prépuce sur le gland. Didier succombe.
-Ha..ha..oui, hou oua, qu'est ce que tu fais salope. Pourquoi tant d'attention d'un coup, fait remarqué Didier.

Elle a juste le temps de se retirer. Didier a failli cracher dans la bouche de Marie.
-Tu as évité la punition de justesse, dit-elle. Tu t’es bien comporté, c'est bien.
Trois jours après, Marie va en ville faire des courses. René arrive aujourd'hui. Il doit être en forme. Elle rentre vers cinq heures. Elle entend des hurlements provenant de la chambre.
Vite, elle va voir ce qui se passe.
-Oh mon dieu, dit-elle.
René a pris Didier à bras le corps. Ses pieds sont décollés du sol. Les deux hommes sont tout nus. Didier agite ses jambes. Il est carrément empalé sur la queue de René. Il crie, pleure, supplie René d'arrêter. René a ses bras passés autour de la taille de Didier, d'une main lui tenant les couilles.
-Qu'est ce que tu me fais, supplie Didier toujours en pleurs.
- Tu ne sens pas que je t'encule, répond René. Tu aimes, je sens que tu bandes..
René prend la queue de Didier et le branle.
-Salaud, soupire Didier, tu vas me faire cracher, oua,oua oui oui, je joui hiiii.
-Tu sens ce que je t'envoie dans le cul, dit René. Comme dans ta femme. C'est bon, hein ? petit pédé.
René lâche Didier qui s'écroule sur le sol.
-Tu as vu ce qu'il m'a fait, dit Didier à sa femme.
-A moi maintenant, répond-elle.
Marie fait rouler René sur la moquette, et le prend par les couilles.
- Si tu ne me baises pas jusqu'à l'évanouissement, je veux plus te voir. Alors, assure, dit-elle.
René entreprend Marie avec violence. Il l'a baise, la sodomise. Se fait sucer son énorme queue. Didier, impuissant assiste à la scène.
-Didier, Didier, regarde ce qu'il fait à ma petite chatte, dit-elle. Regarde comme je mouille.
Et mon bouton, ce salaud, tu as vu comme il est gros.
René n’écoute pas. Il joui sans dire un mot. Le couple lui appartient. Marie, à genoux, le suce. Il l'a tire par les cheveux. Elle le suit, la queue toujours dans la bouche.
-Tiens, prend çà, dit René. Tu en as pour quelques jours.

Sa semence gicle à flots dans la bouche de Marie. Elle s'écroule à côté de son mari, lui prend la main. René a quitté les lieux.
-Oh mon chéri, soupire-t-elle, quelle après midi.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!