Dépucelée

Je vais vous raconter mon dépucelage. J'avais à l'époque à peine 18 ans.
Je viens d'une famille à l'aise financièrement et vivais dans une belle villa avec piscine.
Cela se passait en période estivale, mes parents étaient partis en vacances me laissant seule à la maison pour un mois.
Je profitais donc de l'occasion pour inviter mon petit ami de l'époque. Nous avions tout deux le même âge et nous étions tout deux puceaux. J'avais donc l'intention de mettre à profit mon indépendance pour passer à l'acte. J'invitais donc Benoît dès que mes parents furent partis. En maillot Nous nous installâmes sur une chaise longue devant la piscine. Comme il faisait chaud nous allâmes nous baigner. Très vite je me retrouvais plaquée contre le bord de la piscine, la langue de Benoît fouillant ma bouche, ses mains sur mes seins qu'elles pelotaient maladroitement. Je sentais une chaleur envahir mon bas ventre et mon minou s'humidifier. Puis ses mains descendirent sur mon ventre puis glissèrent entre mes cuisses et il se mit à caresser ma chatte à travers mon maillot. Je mouillais de plus en plus. Puis il glissa ses doigts impatients sous mon slip, s'introduisant dans ma fente toute mouillée qu'il se mit maladroitement à branler. Je commençais à gémir. De sa main libre il guida ma main sur son sexe. Nous nous caressâmes mutuellement et très vite sous ma main inexpérimentée il jouit dans son slip de bain. Nous sortîmes de l'eau et nous nous installâmes sur la chaise longue. Il me demanda d'enlever mon maillot. Après quelques hésitations je m'exécutais et me rallongeais. Il s'agenouilla à coté de moi et mit sa tête entre mes jambes et il commença à me lécher le minou. C'était la première fois qu'on me faisait ça. Sa langue était brûlante et me léchait insatiablement.
Puis tout à coup une voix puissante et grave retentit "Ben faut pas se gêner". Nous sursautâmes. C'était Claude l'associé de mon père. Il avait 42 ans, blond, grand et costaud.


Benoît ne demanda pas son reste prit ses affaires et fila rapidement. "Heureusement que j'arrive à temps" dit il, " tu allais vraiment laisser ce petit con te baiser"? J'était très gênée de mettre laissé surprendre dans cette situation, rouge jusqu'à la racine des cheveux. "Qu'est ce que je vais bien pouvoir dire à tes parents"? Non je t'en prie ne dis rien s'il te plait.
"Vous l'avait déjà fait ?" je lui répondis que non. "T'es vierge"? Je baissais la tête honteuse et lui fit signe que oui.
"Rallonge toi" m'ordonna t il. J'obéis. Il s'agenouilla à coté de moi et posa sa main droite sur mon ventre, ses yeux ne quittaient pas mon corps. "Qu'est ce que tu fais " demandais je un peu affolée. "Rien que tu n'aimeras pas" dit il la voix rauque le souffle court. Une énorme bosse déformait sa braguette ce qui me troubla. Sa main caressait tendrement mon ventre, effleurant de temps à autre mon pubis. Je me détendais petit à petit et fermais les yeux. Sa main experte glissa entre mes cuisses entrouvertes et de son autre main il me força à les écarter un peu plus. Ma chatte était humide, il glissa son majeur dans ma fente et le fit glisser de bas en haut titillant à chaque passage le clitoris. "Tu vois tu aimes ça" me dit il. Il continua un moment, mon souffle se faisait de plus en plus court, ma chatte était trempée. Puis il retira sa main. Surprise et déçue et à mon plus grand étonnement je lui demandais de continuer. Il pencha alors sa tête et sa langue prit la place qu'occupait précédemment celle de Benoît. Il commença à me lécher. C'était divin. Je gémissais sous les assauts de cette langue qui fouillait chaque recoin de mon sexe, qui aspirait mon clitoris le faisait rouler. Puis elle se fit plus dure, plus incisive, essayant de me pénétrer. Tandis qu'il me léchait je sentis ses doigts m'écarter doucement pour s'introduire dans ma vulve. Il me suçait en me branlant. Très vite je me mis à jouir. Il se retira. "A ton tour maintenant". Il se releva, déboutonna sa braguette et sortit son membre qui semblait près à éclater.
Il se positionna devant moi et approcha son sexe de mon visage, le frotta sur mes joues, sur mes lèvres qu'il essaya de forcer. Elle avait une légère odeur d'urine. "Lèche ma queue". Je passais timidement ma langue sur le gland puis le long de la hampe pendant qu'il me caressait doucement les cheveux. "Maintenant prend la dans ta bouche" m'ordonna t il sa main poussa ma tête en avant et je me retrouvais pour la première fois avec la bouche remplit et je me mis à sucer. Je lui faisais de l'effet car il gémissait alors que sa queue glissait entre mes lèvres. Puis au bout d'un long moment il se retira de ma bouche, Il m'allongea sur le sol, se coucha sur moi, sa bouche prit la mienne, son corps lourd était plaqué contre le mien, ses mains parcouraient mon corps, ses jambes écartaient les miennes, puis je sentis un objet dur à l'entrée de mon vagin qui essayait de me pénétrer. J'essayais de me dégager mais il me tenait fermement "Tiens toi tranquille" me dit il fermement "je vais te la mettre, depuis le temps que j'en ai envie". Il poussa légèrement, introduisant son gland. Je poussais un petit cri de surprise et de douleur, ressentais comme une brûlure. J'avais l'impression que ma chatte ne pourrai jamais le contenir, mais il continuait à s'insinuer au plus profond de moi me déflorant. C'était douloureux. Il imprimait à son membre un mouvement de va et vient qui le poussait à chaque fois un peu plus loin dans mon intimité. Les parois de ma chatte se distendaient progressivement, la douleur s’estompa, ma chatte s'habituait à cette intrusion et je commençais même à éprouver du plaisir. "Humm qu'est ce que tu es étroite, c'est bon tu sais". Il me limait, sa queue allait et venait en moi, le plaisir commençait à monter, je m'agrippais à mon partenaire et lâchait un petit cri à chaque coup de pine. Sa queue entrait et sortait de plus en plus vite, il me pilonnait de plus en plus fort en grognant de plaisir jusqu'à ce que je jouisse puis il se retira de mon ventre précipitamment et la queue à la main déchargea de longs jets de foutre sur mon ventre.

Il se redressa, essuya sa queue molle et la remis dans son pantalon tandis que je restais immobile allongée sur le dos…

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