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Le long chemin de Charlotte


Quelque part à Paris, habite Charlotte. Une lycéenne de 18 ans que la raison qualifierait de normale. Une jeune fille que rien ne différencie des autres, scolairement irréprochable, socialement bien entourée et d'une simplicité désarmante.

Rien ne manquait à Charlotte, à part peut-être un petit ami. Elle avait toujours été célibataire, n'avait jamais rencontré le garçon qu'elle attendait. Elle s'était laissée convaincre l'année dernière et avait passé quelques mois avec un petit ami. Le temps de découvrir une sexualité d'adolescents qui ne l'avait pas convaincue. ment, elle sentait un profond désir la parcourir, et c'est en toute connaissance de cause qu'elle s'inscrivit sur un forum dédié aux libertins. Sous le pseudo « Déesse18 », elle parcourait, observait les échanges des membres, sans jamais participer. Elle s'imaginait beaucoup de choses au travers de ces messages, certains très sensuels, d'autres très crus.
Elle suivait tout particulièrement un certain « Matador ». Cet homme avait l'air très en retrait des débats, très cultivés et d'une grande expérience. Ces messages étaient toujours très posés, très directifs mais aussi d'un ton très doux. Charlotte avait suivi ces échanges avec une femme qui se faisait appeler « Mirta25 ». L'homme l'avait guidé, conseillé et Mirta25 l'avait chaleureusement remercié, dans des messages plein de sous-entendus...

Ce lundi soir, Charlotte se décida à écrire un message privé à ce Matador, ou elle se présenta et demanda simplement à être recontacté. Chose faite dès le lendemain ou Matador lui envoya un mail. Comme d'habitude, les mots étaient bien choisis, c'était joliment écrit, et très directif. Matador souhaitait une photo de Charlotte nue... La jeune fille refusa de suite, et Matador se montra vexé : « Je ne peux rien faire pour toi si cela te fait peur. Réfléchis comment contourner ta peur »
Cette phrase tourna dans la tête de Charlotte toute la nuit, et agis comme un déclic.

Le lendemain, elle s'assied en tailleur sur son lit, retires son soutien-gorge et positionne son appareil photo entre ses pieds, en contre-plongée. Elle glisse les doigts dans son slip, qu'elle écarte pour laisser apparaître son sexe naturel et prend une magnifique photo, sans dévoiler son visage.
Elle avait contourné sa peur, et sans le savoir venait d'entrer dans un engrenage de charme.
Fière d'elle, elle envoya la photo au Matador.

Il était conquis, et invita Déesse18 à encore moins de retenue : « demain soir, tu m'auras envoyé deux photos de toi. Une debout en lingerie et une autre avec un sex-toy. Amitiés »
Charlotte était terriblement excitée par ses ordres, et se sentait pour la première fois le centre d'intention et cela la flattait énormément. Malheureusement, elle ne possédait qu'un vieil ensemble délavé et n'avait jamais eu de sex-toys... Par peur de décevoir le Matador, elle fila le lendemain soir acheter un ensemble chez Darjeeling. Après essayage, elle opta pour un classique string et soutien-gorge bleu nuit, qui soulignai son importante poitrine. De retour devant son miroir, elle enfila son bel ensemble et se photographia, tout simplement, mais toujours le cadrage coupé aux épaules. Elle se trouvait belle, sensuelle et très féminine... N'ayant pas de jouet érotique, elle prit une photo de son entrejambe, un doigt la masturbant doucement.
Elle envoya les deux photos, et le Matador réagit immédiatement : « ce n'est pas un sex-toy, trouves autre chose ».
Charlotte, dû improviser. Elle attrapa sa brosse à cheveux, et commença à se masturber avec le manche, cette photo convainc beaucoup le plus le Matador, qui la félicita chaudement : « tu es terriblement belle Charlotte, tu mérites toute mon attention. Pour la suite, je vais te faire parvenir un petit cadeau, dis-moi à quelle adresse »
Charlotte était un peu gênée et intelligemment laissa l'adresse d'un point-relais à proximité.

Dès le lendemain, son colis était sur son lit. A l'intérieur, quatre sex-toys quasi identiques. Des sexes réalistes, à ventouses, deux assez gros et deux autres moins impressionnants. Charlotte, très surprise, était terriblement excitée à la vue de ces objets et sans attendre les ordres du Matador, se déshabilla et commença à se caresser. Le Matador se manifesta rapidement, et pour la première fois par skype : « bonsoir Déesse18, ce soir les photos seront instantanées si tu le veux bien. Veux-tu accepter la vidéo ? » C'est avec appréhension mais envie que Charlotte accepta. De suite le visage du Matador apparaissait. L'homme était beau, la cinquantaine, les traits fins qui cachait un regard ombrageux sous ses yeux verts. Sans laisser de répit à Charlotte, Matador reprit « Je te présente ma compagne, Marina et ce soir je veux que tu lui montre ce qu'on a appris ensemble ». Une femme plus jeune apparaît derrière lui. Elle aussi très belle, comme Charlotte avec des formes généreuses. La femme ne dit rien et s'assoit en retrait du Matador.
« Commences par nous montrer ton corps Charlotte, debout et tournes sur toi-même »
« C'est bien Charlotte, prends un gode que tu as reçu aujourd'hui, et suces-le doucement »
Charlotte, att un petit gode et commence à le sucer. Un geste très peu naturel pour elle, qui n'avait pratiqué qu'une seule fellation dans sa vie.
« C’est bien tu es volontaire, tu va installer les quatre côtes à côte sur ton miroir, à hauteur d'hommes, et tu vas en sucer un pendant que tes mains caressent les autres »
Et voilà Charlotte face à quatre sexes collés à son miroir, dans un état d'excitation indescriptible.
« Plus vite Charlotte »
« Avales-le en entier, jusqu'aux bourses »
La jeune fille s'exécute du mieux qu'elle peut, et essaie d'avaler les godes en intégralité,
« Tu es vraiment douée Déesse18, retournes toi et regardes ma femme »
Charlotte regarde son écran et voit le Matador retourné vers sa femme, qui a retiré sa culotte, remontée sa jupe et commence à se masturber énergiquement.
Cette vision encourage Charlotte qui se sent sexuellement puissante.
« Poses un gode par terre et pénètres ton vagin »
Le Matador était direct, mais Charlotte en mourrait d'envie et choisi le plus gros modèle qu'elle fixa sur le parquet. Elle était tellement excitée que le sexe rentra facilement dans son intimité et provoqua de longs soupirs à Charlotte. La scène dura plusieurs minutes et le Matador commençait à vaciller devant le plaisir des deux femmes. A son tour, l'homme retira son pantalon et sorti son sexe. Cette vue de ce sexe en érection décupla le plaisir de Charlotte.
« Sodomises-toi Charlotte, doucement. Il devait y avoir un peu de gel dans le colis»
Charlotte hésita un instant, mais curieuse, se redressa, pris un gode moins imposant, déposa quelques gouttes de gel le long, puis le fit glisser vers son petit trou. Doucement, la pénétration commença. Charlotte sentait le gode s'introduire en elle, ce qui provoqua un plaisir différent. Elle continua quelques instants avant que le Matador ne l'interrompe : « tu es vraiment douée Charlotte, très excitante, merci pour ce moment »
Et la connexion de se couper. Charlotte est déçue et frustrée de cette fin. Ce soir-là elle va se doucher et s'endormir remplie de ses fantasmes.