Une Partie À Trois

Un soir d'automne, l'année dernière, Franck avait invité mon Christophe (malgré tout, je l'aime toujours autant, et Dieu sait pourtant que j'essaye de ne plus y penser) à boire un verre avec nous.

Une fois Christophe arrivé, Franck prétexta un motif quelconque pour s'absenter, et nous laisser tous les deux seuls. Je ne pouvais m'empêcher de le regarder avec envie, et ce fut réciproque. Je m'approchais de lui, lui caressant son visage tendrement. C'était plus fort que moi.

" Tu me manques trop, tu sais. Je ne peux toujours pas m'empêcher de penser à toi.
- C'est réciproque, tu sais." me répondit CHristophe.

Je voulais détourner mon visage, me calmer et me ressaisir. Mais son visage m'obsédait. Pourquoi Franck nous avait-il laissé seuls ? Me demandais-je. Ne pouvant plus résister, je tendis mon visage vers celui de Christophe et l'embrassai avec passion. Il y répondit avec passion, m'enserrant dans ses bras. Je fondis, le poussa vers le mur pour mieux sentir son corps contre le mien. Nos baisers furent tendres et longs, et nos corps se lovaient l'un contre l'autre.

Pris d'une fièvre non contrôlable, nous nous déshabillions rapidement et nous retrouvâmes nus dans la chambre. J'entraînais son corps contre moi sur le lit, et Christophe se retrouva sur moi. L'un contre l'autre, bouche contre bouche, nos corps se retrouvèrent après quelques semaines d'absence.

Je le retournais, et me mit à le sucer tendrement, lui caressant de nouveau ses couilles et son postérieur. Il appréciait mon geste, et m'encourageait à poursuivre. Il me demanda de me mettre en 69 pour me rendre la pareille.

Nos corps s'allongèrent cote à cote, et nous reprîmes nos jeux interdits avec tendresse, mon sexe dans sa bouche et le sien dans la mienne. Nous jouîmes rapidement ensemble, apprécia ce moment de bonheur.

Nous nous allongions cote à cote encore, et nous nous caressions de nouveau en nous embrassant.

Son corps était terriblement beau et n'avait pas changé depuis la première fois ou nous nous étions aimé.

En peu de temps, nos sexes rebandèrent. Je me mis sur le dos, écartant mes jambes pour le recevoir dans mes fesses. J'adorais quand il me prenait, et il le savait. Il me lécha mes seins un bon moment, en faisant battre nos sexe sur nos bas ventre avant de me prendre. Et il alla en moi lentement, en me regardant tendrement.

En une quinzaine de minutes, il ne put se retenir. Je le sentis se raidir, son sexe déversa toute sa jouissance en moi et il s'écroula sur moi, heureux. Mais je savais qu'il ne se contenterait pas de ça. Il aimait trop se faire prendre par moi. Et j'aimais son regard quand je jouissais en lui.

Je le mis sur son dos, ses jambes bien écartées, et je glissai mon sexe tendu en lui. J'y allai tendrement. A ce moment, je sentis deux mains me caresser mon dos, mes fesses et un souffle sur mon cou. Je devinais que Franck était rentré.

Doucement, il me pénétra à son tour. IL me baisa mon coup, et son sexe me donna le rythme des va et vient. C'était terriblement bon. Je sentais Christophe prendre son plaisir, et leurs râles m'enivraient. Je fermais mes yeux, et me sentais bien entre eux deux.

Le temps ne comptait plus. Je me faisais prendre et je prenais en même temps. Je ne savais plus où j'étais et j'adorais ça.

Au même moment où je sentis Franck venir en moi, je lâchais mon sperme dans les fesses de Christophe, qui réjouit une troisième fois sur lui.

Nous nous écroulions sur le lit, et Franck m'embrassa tendrement, laissant Christophe souffler et se remettre de ses émotions. Il se leva, allât prendre une douche avant de s'habiller et partir en nous remerciant de cet instant.

Franck me regarda alors et me demanda :
"Comment as tu trouvé ce cadeau de notre première rencontre ?
Toi, vraiment, tu as de ces idées ! "Lui répondis-je.

C'est la petite façon qu’à Franck de me remercier pour l'amour que j'ai pour lui, en sachant qu'il sait qu'il ne pourra jamais remplacer celui que j'ai pour Christophe.