Promenade Dominicale En Forêt...
J'étais lycéen en pension chez les frères et nous faisions des promenades le dimanche à la campagne. Parfois nous devions faire beaucoup de km pour arriver au site choisi.
Ce premier dimanche, nos arrivions à la Montagne des pins, un site sauvage ou arbres, genêts, ronces... Comme je ne connaissais personne, je restais avec notre surveillant, un étudiant en droit. Il était sympathique et très mignon. En arrivant il cria :
"Quartier libre" et chacun partit dans les fourrés deux par deux ou à plusieurs. Moi je restais toujours avec Jean-Marie notre pion. Assis sur un rocher vêtus l'un et l'autre d'un short et d'un tee-shirt, nous discutâmes un long moment de chose et d'autre : des études, de la famille, des amis... Puis, il me dit : "viens, on va grimper aux arbres". "J'en connais un qui est très haut mais très facile à escalader."
Arrivé au pied de l'arbre en question, il m'aida à atteindre la première branche en me soulevant par la taille. Il m'indiqua le chemin à suivre et resta derrière moi. Il me conseillait, pour avoir de bons appuis et pour monter aisément.
A un moment, mon pied resta coincé dans la fourche d'une branche et l'autre était resté sur la branche plus bas, ce qui faisait que j'étais en mauvaise position. Position où je ne pouvais pas lâcher au risque de tomber. Bernard, resté en dessous, me soutenait en me tenant par les fesses avec ses mains. J'allais me dégager quand j'ai senti une de ses mains glisser par la jambe de mon short. Il caressa mon petit paquet et je me mis aussitôt à bander. Il me chuchota "laisses toi aller, si tu aimes!"
"Je te tiens, n'ai pas peur". Je ne répondis pas mais me laissa faire. Il avait tiré sur l'élastique de mon slip et mon sexe tendu était sorti de mon sous-vêtement. Je sentais son buste derrière et contre moi maintenant, qui me retenait, alors que sa main caressait gentiment ma petite queue à nue. Il me dit à voix basse de remonter sur la branche supérieure et de me retourner.
Une fois remonté, je me retrouvais, mon bassin à hauteur de son visage. Il déboutonna lentement mon short et fit glisser la fermeture. Je me soulevais pour qu'il puisse baisser mon slip. Je finis par me retrouver à demi nu devant lui, mon sexe tendu face à lui. Ce tenant également à la branche où j'étais assis il se pencha et commença à donner des petits coups de langue sur la pointe de mon sexe à moitié décalotté, puis il ouvrit grand la bouche et avala tout mon sexe. Sa bouche chaude, pleine de salive me procura un plaisir immense. Il avait l'air de se régaler, jouant des lèvres et de sa langue. Je me suis surpris à gémir doucement à chaque fois qu'il gobait mon sexe dur. Tout en me suçant, il caressait mes boules. Je sentais mon plaisir monter et je ne pouvais plus me retenir quand soudain je lâchais quelques gouttes de sperme dans son palais. Gouttes qu'il avala avec délice. Ses lèvres pincées rinçaient au maximum le jus que je lui offrais. Il garda un bon moment mon sexe ramolli dans sa bouche, comme un bonbon dont il ne voulait pas se séparer. Ensuite il remonta mon slip et mon short et boutonna ce dernier, comme pour rendre les lieux comme il les avait trouvés. Tout en me tenant pour éviter la chute, il me demanda de venir prendre sa place et moi la sienne. Je m'exécutais comme il me le demandait.
D'une main, il dégrafa son short et baissa son slip. Je vis son sexe fin et long tendu le long de son ventre, le gland décalotté. Avec la main qui lui restait libre il passa derrière ma nuque et m'attira vers lui. Je lui léchais sa tige raide et veineuse avant de gober son gland oblong. C'était ma première pipe, mais comme lui, la bouche pleine de salive, son sexe glissait facilement dans mon palais et je me régalais. De temps en temps il émettait des petits gémissements de plaisir. Je dus le sucer un long moment, à tel point que j'en avais mal à la mâchoire.
"C'était trop bon, tu sais !" "Mais promets moi que tu ne diras rien à personne, même à ton meilleur camarade, hein ?" "Si tu as aimé, on recommencera, si tu veux, et je t'apprendrais d'autre chose. OK ? Je lui promis de ne rien dire et lui promis de refaire ce que nous avions fait, lui avouant que je lavais découvert et que j'avais beaucoup apprécié.
Nous nous retrouvâmes la semaine suivante et ce sera le sujet d'un autre récit véritable.
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