Le 30 Juillet Juste Avant Le Départ En Vacances
Jinformais Madeleine que le jeudi 1er août je pouvais être à midi à Poitiers est-ce quelle serait disponible ?
La réponse fut affirmative, je morganisais pour de nouveau rendez-vous, et je fixais le rendez-vous dans le parking du NewHôtel à 12,00H.
Mais une petite idée, tordue, métait venue, petite idée que javais déjà utilisée avec dautres jeunes femmes et qui avait souvent eu des résultats agréables. Je réservais une chambre, en fait faire des galipettes à larrière dune voiture, très bien à 20 ans mais maintenant cela devenait de plus en plus difficile ainsi javais un téléphone et je composais le numéro de Madeleine.
Moi : « Salut, salut,
es-tu seule,
»
Madeleine : « Quest ce qui se passe,
tu te décommandes,
»
Moi : « Absolument pas,
es-tu seule,
»
Madeleine : « Oui,
pourquoi,
»
Moi : « Tu as un tailleur,
avec une jupe droite,
»
Madeleine : « OH,
non,
comme je sais que lon se voit,
jai changé pour une jupe provençale,
mais quest-ce que tu manigances,
»
Moi : « Cest plus pratique,
bien que je te préfère en tailleur,
remontes ta jupe,
»
Madeleine : « Mais tu es fou,
si quelquun rentre,
NON,
»
Moi : « Tu sais que personne ne rentre dans ton bureau sans autorisation
dautre part si quelquun rentrait il ne verrait rien ce serait caché par le bureau,
allez,
je suis certain que ça te tente,
remontes ta jupe,
»
Madeleine : « Bon,
je remonte ma jupe,
pourquoi je ferais ça,
»
Moi : « Parce que tu es curieuse et gourmande de sexe,
»
Madeleine : « Fin psychologue et comment tu peux dire ça,
»
Moi : « Très simple ma chère,
un voyou ta subtilisé ta petite culotte,
sur le moment ennuyée de plus avoir cette petite chose,
puis après,
ce nest pas désagréable,
puis, le lendemain, si je nen mettais pas,
pour voir,
»
Madeleine : « Monstre,
un point pour toi,
ma jupe est remontée,
»
Moi : « Tu remontes encore,
fait prendre lair à ton joli minou,
quil soit bien chaud tout à lheure,
quil sente bon,
»
Madeleine : « Arrêtes,
cest fou,
je lai remontée,
mais jarrêtes,
»
Moi : « Tu ne peux pas arrêter,
car ça texcite,
je suis sur que tas écarté tes jolies cuisses,
tu caresses ta chatte,
dis moi que tu aimes,
dans le creux de ta main, ta chatte est bien gonflée
elle souvre,
»
Madeleine : « Oui,
tes horrible,
arrêtes,
tu me rends folle,
non arrêtes,
»
Moi : « Je suis sur que tu veux rentrer,
que ta chatte commence à mouiller,
»
Madeleine : « Oui,
tu es un monstre,
jai envie de toi,
arrêtes sil te plait,
» et elle raccrocha brutalement, mais je pense que javais vu juste.
A midi elle arriva et repérant ma voiture se gara à coté. Je lui ouvris la porte et en descendant : « Je me demande si je te gifle,
ou si je te demande de membrasser,
Tu es un horrible,
embrasses moi,
tu me rends dingue,
serres moi fort dans tes bras,
je veux sentir que tas envie de moi,
», son bassin se collant contre le mien, je glissais une jambe entre ses cuisses qui sétaient légèrement ouvertes elle se mit à se frotter contre ma cuisse et me dit « Fais moi une petite caresse,
» Aussi discrètement que possible je soulevais sa jupe et glissais une main entre nous, elle se recula et posa sa chatte dans ma main, elle était très très humide, mais je marrêtais là.
Moi : « Viens,
je pense que nous devons terminer cette conversation,
»
Madeleine : « Mais on va où,
»
Moi : « A lhôtel,
»
Madeleine : « On peut y louer des chambres à lheure,
mais ils vont me prendre pour la pute de service,
tu es fou,
»
Moi : « Mais non,
jai loué la chambre pour la nuit,
comme un client normal, ...jai même précisé que je payais de suite car je rentrerais tard et partirais tôt ,
donc pas de soucis,
»
Madeleine : « Je préfère,
tu mas affolé,
bon, on y va,
»
Moi : « Tu pars devant,
jai pris deux cartes, prends en une,
lascenseur est à gauche de laccueil,
tu y vas directement deuxième étage,
»
Madeleine : « Mais si on demande quelque chose,
»
Moi : « Si une des filles de laccueil semble vouloir dire quelque chose,
un sourire, et tu lui montres la carte,
tes tranquille,
jarrive cinq minutes après,
le temps de te mettre au lit nue,
les jambes bien ouvertes,
que je vois ta chatte en rentrant,
»
Madeleine : « Je deviens anormale,
je vais faire ce quil me demande,
Jespère que tu es en forme,
» et elle partit remuant son joli cul.
Les cinq minutes passées jouvrais la porte de la chambre, me demandant si je la trouverais comme jespérais et non,
elle était sous le drap,
Dun coup de main elle évacua le drap qui la couvrait : « Jai fait ce que tu voulais,
je suis nue,
ouverte,
viens vite,
dépêches toi,
sinon je me débrouilles toute seule,
ce serait dommage,
je suis toute chaude,
» et un sourire provocateur aux lèvres, prenant ses seins, elle se mit à les caresser voluptueusement et une main descendit doucement vers sa chatte, le tout accompagné de soupirs de plaisir : « Dépêches toi de me montrer que tu as envie de moi,
jaime voir que tu as très envie de moi,
»
Moi avec un sourire : « Tes quand même une belle garce,
»
Madeleine : « Oui,
cest ce que tu aimes,
tu aimes que je texcite,
et que je moffre à toi,
viens,
occupes toi de moi,
je veux que tu me dises que tas envie de moi,
»
Je me précipitais entre ses cuisses pour menivrer de son odeur de femelle chaude et commençais à gouter à son jus qui humidifiait sa chatte, sa réaction fut instantanée : « Oui,
continues,
prends moi avec ta langue,
tes doigts,
oui, jaime,
» Je la masturbais avec énergie et elle souvrait et se tendait : « Oui,
cest bon,
ne r arrêtes pas,
je sens que ça vient,
oui,
encore,
plus fort,
OOOOHHHH,
.
Moi : « Tournes toi,
je vais te prendre comme ça,
»
Madeleine : « Pas par le petit trou,
je ne suis pas préparée,
oui,
prends moi,
» et elle se mit en levrette, son joli cul bien visible et très tentant, mais comme elle ne voulait pas,
je mattaquais à sa chatte bien ouverte et toute chaude, je la pénétrais en douceur, son fourreau était accueillant à souhait et je commençais mes va et vient dans son chaud minou et que ma bite y coulissait, lentement, à merveille ce quelle semblait apprécier : « Oui,
continues,
jaime,
cest la première fois que tu me prends comme ça,
oh,
oui,
cest bon,
»
Moi : « Dis moi que tu es à moi,
que tua aimes que je te monte dessus,
»
Madeleine : « Oui,
jen avais envie,
montes moi,
je suis à toi,
oui,
baises moi,
baises moi fort,
plus vite,
donnes moi du plaisir,
fais moi jouir,
» et à sa demande jaccélérais le mouvement, non seulement elle le demandait, mais il fallait que je me dépêche de la faire jouir, car je ne tiendrais pas encore longtemps. Cramponné à ses hanches, jétais devenu une machine à baiser et soudain : « OOOOHHHH ,
OUI,
continues,
OOOHHHH,
OUIIIIIII,
, OUIIIII,
»
Heureusement elle venait de partir, avec un beau spasme, alors que je jouissais pleinement dans sa chatte. Elle sécroula et moi sur elle avant de me retrouver à coté delle. Quelques minutes pour recouvrer nos esprits et elle vint en posant ses seins sur moi et ses lèvres contre les miennes : « Jai aimé,
je resterais bien ainsi encore un peu,
»
Moi : « Donnes moi tes seins que je les goute avant de partir,
» et cest ce quelle fit les mettant lun après lautre dans ma bouche, alors que je les tétais avec application : « Oui, .
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