Des Retrouvailles À La Campagne Avec Un Cousin
Je m'étais rendu à la campagne, chez mes grands parents comme tous les étés où je rencontrais mes cousins parisiens. La chambre des filles était à côté de celle de mes grands parents et la chambre des garçons étaient dans une remise en dehors de l'habitation.
Nous étions donc logés, moi Adrien et Sébastien, à deux mois près du même âge, dans cette chambre superbement aménagée, tranquille. Deux lits jumeaux ornaient cette pièce juxtaposée à une petite salle d'eau avec lavabo et douche.
A ce moment là nous étions jeunes minets imberbes, invulnérables et rigolards..
Au moment de nous déshabiller, j'avais maté Sébastien. Un corps d'éphèbe, imberbe comme un ver, musclé et mince. Des cuisses longues et des fesses rondes bien faites. Déjà, il m'excitait mais je ne savais pas de quel bois il se chauffait, donc méfiance...
Nous nous couchâmes, et à peine glissé dans le lit, je retirais mon slip pour rester nu comme j'en avais l'habitude... Il n'y avait pas de volets à cette pièce et la lune éclairait la chambre à tel point que l'on pouvait tout voir en détail comme en plein jour.
Je n'arrivais pas à dormir et je sentais la présence de Sébastien qui m'excitait. Je feignis de dormir, et tourna le dos à mon compagnon de chambre, sachant qu'il était couché sur le côté regardant dans ma direction et feignant de dormir également.
Pour l'exciter, et savoir... je tirais peu à peu sur le drap qui me recouvrait et lentement découvrait mes fesses pour qu'il les voit bien...feignant toujours de dormir....
La réaction ne se fit pas attendre très longtemps, et je sentis sa main se poser sur une fesse. Je ne bougeais pas et le laissais faire, bombant un peu le cul pour mieux l'exciter. Je faisais exprès de respirer fort pour tromper mon cousin. Il ne le voyait pas, mais je bandais maintenant comme un malade, j'avais réussi à le mettre en forme.
Sa main chaude passait sur une fesse puis sur l'autre et le bout des doigts effleura ma raie sensible.
Je chuchotais "Comme tu suces bien mon petit Seb""Continues"
"Attends" me dit-il
Il se leva, rapprocha les deux lits l'un contre l'autre et se déshabilla complètement.
Dans la pénombre j'aperçus son sexe dressé, fin et long au pubis légèrement poilu.
Il écarta le draps et les fit descendre au pied du lit, puis revint vers moi, me retourna puis se mit à me lécher partout, de la pointe de mes seins jusqu'au gras de mes cuisses en passant par mon ventre, mon sexe et mes testicules. Il était excité comme une puce et j'en étais ravi. Il m'incita à changer de position et de me mettre en travers du lit, puis il se mit en position 69 afin que je puisse le lécher en même temps. Qu'elle était bonne sa queue et glissait dans ma bouche facilement. Nous nous suçâmes nos bites, léchâmes nos trous avec passion.
Puis nous revînmes dans la position initiale nous blottissant l'un contre l'autre. Une demie heure après, je lui avouai que mon excitation reprenait et que j'avais encore envie. C'est moi qui balançai les draps au pied du lit, puis je me mis entre les cuisses de Seb et lui lécha la rondelle avec beaucoup de salive. Il ondulait du bassin comme une femelle et mon excitation allait grandissante. Je me mis à genoux derrière lui, lui souleva le bassin puis posa mon gland tendu sur son oeillet entrouvert. Une simple pression et mon gland disparu dans son ventre, il poussa un gémissement et bomba davantage le cul pour que m'enfonce plus loin. Je le pris par les hanches et commença à le limer comme un sauvage. Ses gémissements firent place à des hurlements de bêtes en rut. Je suspendis la position, lui demanda de se retourner et je lui soulevais les jambes les posa sur mes épaules et repris ma sodomie profonde.
Ses cris reprirent encore plus forts. Moi, les jambes tendues j'exerçais des va-et-vient et je sentais mes boules frapper ses fesses à chaque aller. Je me retirais au maximum pour m'enfonce encore plus loin. Je finis par me mettre à genoux et pendant que je le sodomisais, je le branlais. Il mouillait comme une salope et mon sexe glissait bien dans son antre. Sentant ma sève monte, je me dégageais et me mis rapidement à cheval sur sa poitrine et retenant sa tête je déversais un flot de sperme dans sa bouche chaude. Il avala tout avec délice comme un .
Je me dégageais de ma position et comme un sauvage il me prit par derrière et m'encula d'un coup.
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