Esclave D'Une Nuit
Un samedi, en fin d'après-midi, coup de sonnette. Patrick va ouvrir, et fais entrer Serge. Il me le présente comme étant un vieux copain, Quelle ne fut pas ma surprise ! Cétait une véritable armoire à glace, un noir par-dessus le marché. Je suis surprise qu'il ne m'ait pas parlé de cette visite, moi qui pensais passer un week-end en amoureux. En parfaite maîtresse de maison, je leur propose de prendre l'apéritif. Profitant, à un moment, que je sois debout, Patrick pose ses mains sur mes épaules et lance de façon abrupte:
- Tiens, elle est à toi pour vingt-quatre heures. Elle sera docile et elle aime tout. Elle souhaite être une esclave d'un jour.
Éberluée, je reste sans voix, le souffle coupé. C'est vrai que j'avais parlé à Patrick de mon fantasme : être une esclave d'un jour, dune nuit. Mais j'étais à mille lieux de penser qu'il allait m'aider à réaliser ce fantasme. Je me demande ce qui m'arrive, je regarde Patrick partir, sans réagir
Le samedi soir, puis le dimanche matin passent, et Patrick rentre vers onze heures. Je dors profondément en travers du lit dévasté, les bras en croix et les jambes écartées. Il me caresse légèrement et je me réveille, me jette dans ses bras et lui lance :
- C'était fantastique ! Mais j'aurais aimé que tu sois là.
Puis je lui raconte toute ma nuit.
" Dès que tu es parti, Serge s'est approché de moi et m'a fait tourner sur moi-même. Ainsi déshabillée du regard, je dus lui faire un strip-tease dans les règles. Ensuite, avec juste mon string blanc, j'ai dû évoluer, prendre diverses positions. Il m'a alors présenté son bas ventre et m'a dit de m'occuper de lui.
Quand je déboutonnai sa braguette, un renflement est apparu, et quand il n'a plus eu que son slip sur lui, j'ai eu peur : je n'avais jamais vu un sexe pareil. Son slip n'arrivait même plus à le cacher. Sans prépuce, lisse, il était énorme, beau, au moins cinq centimètres de diamètre et vingt-cinq centimètres de long.
Se rendant compte de mon état, il me retourna pour que je lui présente ma croupe rebondie et impatiente. Il me fit mettre les mains dans le dos et je me retrouvais donc les seins écrasés sur la moquette, le derrière en l'air et les jambes écartées. Il était de nouveau en érection. Un doigt s'inséra dans mon string et Serge tira brutalement, ce qui le fit craquer. Mon vagin, enfin libéré, s'ouvrit. Il me caressa très légèrement, ce qui me fit gémir de plaisir, et, fouillant dans un sac posé à côté de lui, il en sortit un phallus honorable qu'il me planta entre les lèvres.
Puis m'ayant remise sur le dos, il me fixa sur les seins deux pinces métalliques à ressort qui me firent hurler de douleur. Je voulais me les enlever, quand il me gifla et me rappela à l'ordre :
- Tu dois obéir. Tu es mon esclave. Tu es à moi pour vingt-quatre heures. Ne recommence pas ou bien cela ira très mal.
Outre la douleur qui me tenaillait les tétons martyrisés, je pleurais de honte. J'étais humiliée d'être livrée à ce sadique - c'était pourtant moi qui avait voulu cette expérience, c'est moi qui l'avait demandée à mon ami. Serge donna alors un coup de fil et revint me chercher. Il se mit à genoux à côté de moi et se masturba devant moi. Il était impressionnant de puissance. Quand il éjacula, il se répandit sur mon ventre, mes seins et une partie de mon visage. Le spectacle de cette masturbation m'avait redonné envie de lui et j'étais de nouveau humide. La douleur de mes tétons se propageait mais elle aiguisait aussi mes sens. Je me sentais sa chose docile malgré le traitement qu'il m'infligeait.
Un coup de sonnette : il alla ouvrir et une superbe noire apparut dans le salon.
- Ecarte les jambes et ne bouge plus, m'ordonna-t-il.
Puis se désintéressant de moi, il déshabilla la femme et la prit en levrette à deux mètres de moi. Les voir ainsi faire l'amour et les entendre jouir me mit au comble de mon impuissance. J'avais pourtant envie de participer. J'étais tremblante de désir. Quand il se fut déversé en elle, il revint vers moi, toujours en érection et me prit en levrette à mon tour.
De ses mains, elle titilla mon petit anus et le présenta à la grosse queue de Serge. Elle m'écarta tendrement les fesses et Serge vint y frotter son gland contre mon petit trou. Alors, oubliant les pinces et la douleur, je me déchaînais. Je ne pensais plus qu'à la satisfaction de Serge. Je me reculais et fis entrer son membre dans mon cul. Je le fis jouir dans mes entrailles. Lorsqu'il m'éclaboussa de son sperme, son amie qui avait pris le phallus artificiel, me le planta dans le vagin. Ce fut pour moi l'éclatement complet. Mon corps ne m'appartenait plus. Mes paroles non plus : je me suis entendue dire des folies comme "défonce moi, je suis ton esclave, éclate-moi, déchire-moi
". Pour lui prouver que j'étais sa chose, je fis moi-même des va-et-vient avec mon bassin, pour le retenir. Je le supplie de me crucifier. Il me labourait le rectum, pendant que la noire avait saisi les pinces et tirait dessus, les tordait, les serrait. Les dents métalliques rentraient dans la chair fragile de mes tétons. Mais j'aimais cela pour lui. Je ne pouvais plus parler. J'étais terrassée de douleur et de jouissance animale. Je n'étais plus qu'un trou où il se déversait et mes seins n'étaient plus que deux fruits offerts pour lui. Je délirais en ayant un orgasme fantastique. La femme m'avait retiré les pinces et me suçait les seins martyrisés. Il jouit une seconde fois dans mon anus. Je ne sentais plus rien. J'étais un fourreau pour ce membre insatiable. Ces deux sexes en moi - humain et artificiel - me montraient une jouissance extrême.
Quand ils m'ont abandonnée, je n'étais plus qu'une chair dégoulinante de désir assouvi. Je me suis écroulée sur le lit. Je n'ai même pas entendu quand ils sont partis
"
Comme je récupérais un peu, je me rendis compte de l'état d'excitation de Patrick qui m'avoua avoir contacté Serge par petite annonce et organisé mon week-end. Aussi, docilement et sans rancune au contraire, je le pris tendrement dans ma bouche et le masturba amoureusement jusqu'à ce qu'il s'y déverse.
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