Bisexhibition Porno Au Club Privé

Deux plombes du mat.
Sonos à donf, basses lancinantes pulsant dans le sternum
La lumière rougeâtre strombe la pénombre enfumée.
Les mecs à torse peau, les filles presque à poil, beaux corps en sueur jeunes et sensuels qui se trémoussent. Ambiance exhib et sexuelle.
Tequila en rasades dégoulinant sur les mentons, les poitrines et entre les seins.
Devant moi, cette féline parfaite qui danse lascivement. Ses belles fesses mouvantes débordent du mini short. Sculptés par sa blouse humide, ses seins trempés que le rythme balance. Sa chevelure épaisse cadence les mouvements de sa tête renversée.
Presque accolé, torse luisant, son bel étalon blond déhanche dans un même mouvement son taille-basse qui cache mal sa gaule raidie.
Je m’approche d’eux à presque les toucher et m’insinue dans leur transe.
Leurs regards me jaugent avant de m’inclure dans leur corps à corps lascif plein de promesses.
Mal aux couilles pleines à exploser tellement je bande dans mon bermud sans slip.
Les lèvres de la fille effleurent le tatouage maori qui balafre mon biceps, puis sa langue électrise mon téton durci.
Ma main glissée dans son short épouse le contour ferme de la fesse et explore sa vulve mouillée.
Le mec me susurre: «Si tu veux, on la baise ensemble, là tout de suite, et plus si affinités».
«D’accord, mais d’abord je te suce la bite».
«Et moi je te lèche les couilles pendant que tu tringles ma meuf».
A genoux devant sa grosse trique dansante jaillie du jean fébrilement dézippé, je lui tête goulûment le gland, une main moite soupesant ses lourdes couilles imberbes, l’autre malaxant ses fesses contractées.
La fille à poil, accroupie les seins posés sur mes épaules, palpe mes fesses qu’elle a extraites du futal, et s’empare de ma bite qu’elle branle par l’arrière.
Ambiance survoltée du cercle des danseurs resserré autour de nous. Pas mal de filles ont maintenant les seins à l’air, massés par des mains mâles et femelles.

Des biroutes en érection sortent des braguettes et des frocs tombés sur les chevilles. Des mains s’en saisissent et les branlent en nous matant.
J’accélère ma succion lubrique. Tout le corps de l’étalon se raidit en un spasme. La salve de son épaisse purée chaude m’inonde la bouche.
Je me retourne vers la féline, cherche de la langue son clito et sa moule que je lubrifie de foutre régurgité.
Elle guide mon phallus en folie à son con bien poisseux et capture ma bouche gluante avec sa langue. Je la besogne au rythme du beat en même temps que je branle son clito tétanisé. Elle décharge presque aussitôt en un raz de marée tiède qui m’inonde les parties.
Quelques voyeurs en rut éjaculent sur nous.
Mes burnes en feu happées par la bouche goulue de l’étalon la tête insinuée entre mes jambes, mon derche stimulé par son doigt inquisiteur, je me lâche et vide mes couilles en spasmes saccadés au fond du vagin encore secoué de soubresauts désordonnés.
Un autre trio nous a imités et copule, un mec en sandwich entre la femme qu’il lime sauvagement et la grosse pine d’un black qui lui défonce le trou du cul.
Le beau gosse me pousse de côté, lèche ma queue visqueuse encore bien raide à grands coups de langue gourmands, et enfourne son braquemart à nouveau dardé dans la figue encore suintante de sa dulcinée. Une fois son joystick bien enduit de sperme, il le ressort et l’encule en longues poussées rageuses, jusqu’à découiller en un torrent obscène qui coule le long des jambes de la fille repue.
Comme le blond, je rengaine mon engin débandant et reprend la danse avec ceux qui ont retrouvé leur décence. La meuf s’est échouée sur un divan et me tend un billet.
Le DJ a monté la sono. La musique a repris ses droits mais pour moi elle a perdu son piment. Leur numéro de portable en poche, je drift vers la sortie et un peu d’air frais.

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