Une Bonne Baise Dans Les Tenebres
Je me rappelle bien ces temps-là. Nous habitions à Hanoi, dans un appartement d'une seule pièce mesurant 16 mètres carres qui servait à la fois de salon, de salle à manger et de chambre à coucher. Quand mes s, un garçon de 12 ans et une fille de 5 ans grandissaient, nous devions faire construire une mezzanine pour notre fils qui y couchait et se faisait un coin d'étude. Nous étions donc obligés de coucher ensemble : ma fille à coté de sa maman et moi meme se plaquant contre le derrière de ma femme sur un lit en bois de fer placé dans un coin. Il va sans dire que les nuits de baise se faisaient avec difficulté, sournoisement dans les ténèbres lorsque ma bambine et particulièrement mon gosse étaient profondément endormis.
Comme nous vivons dans un pays tropical, nos habits de nuit sont les plus simples : moi, un seul maillot et une culotte et ma femme, un mince chemisier laissant les nénés libres et un G-string. D'habitude, avant de m'endormir, je dois faire un"prélude sexuel": je me cramponne sur le dos de mon épouse en posant une cuisse sur ses fesses rondelettes avec ma tige pressée contre sa raie culière. Par la main droite, je glisse mes doigts dans sa chemisette pour caresser les seins, les palper, les peloter, en allant successivement d'un mamelon à l'autre. Ce malaxage dure un certain moment, il me sert de sédatif efficace pour me conduire dans un bon sommeil seulement après quelques minutes.
Un jour, je me réveillais quand minuit vint de sonner. Mon sexe raidit et gonfla d'une manière singulière. Il pointait en me gênant sous l'étoffe mince de ma culotte. C'est bien le signal de ma forte envie de baise après une semaine d'abstinence sexuelle à cause du surmenage.très doucement, je secoua les fesses nues de mon épouse pour la réveiller secrètement en chuchotant dans ses oreilles :"Tourne ta face vers moi, chérie! Où sont tes lèvres ?"Elle comprit bien mon désir charnel en changeant sa position et vite nos deux corps s'entrelaçaient dans une forte embrassade.
Sentant son haleine très proche de mon visage, je plaquais mes lèvres sur les siennes et en même temps fouillait son habit de nuit d'une main fiévreuse pour saisir ses gros nichons. D'un geste habile, je tripotais dans le noir tous les charmes de ma femme en parcourant sa poitrine, son ventre, son pubis, son derrière, son fion, ne m'arrêtant qu'à l'entrée de sa fente. Se sentant également excitée, elle répliqua avec pas moins d'ardeur : elle fit sortir ma queue en pleine érection de ma culotte pour la palper, la chatouiller, la frôler le long de ma hampe. Je sentais mes couilles se rétrécir au contact de sa main érotique. On se pelotait un petit peu puis, sous l'impulsion d'Eros, jécartais sa main pour démarrer le jeu. D'une main chaude, en tâtonnant je déboutonnais sa chemise pour dévorer ses seins nus, les humer, les lécher tout en roulant ma face sur ses deux mamelles aux bouts durcis et un peu gonfles que je suçais savoureusement comme un bébé affamé de lait.
Pour libérer mon bâton de ma culotte, je l'ôtai hâtivement et tirais presque simultanément le cache-sexe de ma femme. C'est un geste muet pour l'inciter à se mettre à poil. Elle le fit à l'instant. En plus de cela, elle écarta bien ses jambes comme pour m'inviter à humer le fumet de sa chatte. D'un seul trait, je glissais le long de son ventre jusqu'à son joli con : un mont de Venus charnu garni de poils fins, très propres et pas très touffus ! Lentement, je faisais un tour de lèvres aux alentours de sa vulve avant d'y introduire ma langue plus profondément et après avoir bouffé le clitoris. Ses grandes lèvres se gonflaient et son vagin fut vite trempe de mouille mélangée avec ma salive abondante. Quelquefois, des poils du con tombèrent dans ma bouche, je sentais même un goût mi-sale, mi-acide mais qu'importe, je continuais de goder en touchant les parois de son vagin avec ma langue. La face appuyée sur son entrecuisse, j'étendais mes mains vers le haut pour pétrir ses mamelles. De sa part, elle accrochait ses jambes sur mes épaules.
En réponse à mes coups de langue, elle cambra les reins pour faire bondir son sexe à mes lèvres comme dans une danse de pin-up. Alors j'enlevais mon maillot. Le jetais sur le lit pour me plonger sur son corps nu. Je collais mes lèvres sur les siennes tandis qu'elle pliait ses jambes et les serrait sur mon dos. Nos lèvres se soudèrent de nouveau pour un long baiser. Nos langues se croisèrent, parfois les dents claquaient et je faillis pousser un cri de douleur quand subitement elle mordit mes lèvres sauvagement dans un accès d'orgasme. Ensuite, d'un bond, elle me renversa pour s'asseoir sur mon bas-ventre et frotter sa chatte sur mon pendis avec une cadence de plus en plus vite. Sa respiration semblait un peu haletante. Ses fesses bondissaient rythmiquement comme si elle était assise sur un matelas à ressorts. Jugeant qu'elle était dans un moment d'extase, je profitais de l'occasion pour manier ses lolos à mon gré. Puis nous changions de tour : je la renversais sur le lit pour la couvrir avec la surface de tout mon corps. Je fixais mes lèvres sur les siennes tandis que mon gland cherchait à s'enfiler sans difficulté car c'est elle qui le dirigeait vers l'entrée de sa chatte qui jutait. Doucement, je m'enfonçais en elle à petits coups tout en lui roulant un patin très voluptueux. J'appuyais mes deux mains sur le lit alors qu'elle me serrait très fort entre ses bras. Mon vit commença à amorcer les va-et-vient gentiment pour profiter davantage les jouissances du coït et entraver l'éjaculation hâtive ou précoce. La pénétration devenait de plus en plus profonde avec le contact de nos poils pubiens, la pression de ma bouche sur la sienne et ma poitrine sur son buste. Je continuais de palper et presser ses seins tandis qu'elle glissa une main sous mes hanches pour empoigner mes couilles et les contenir à pleine main pour pousser le jeu charnel au paroxysme. Les orgasmes se succédaient donc en s'intensifiant puis, sous l'impulsion des contractions vaginales que je ressentis au niveau du gland de mon pénis, mes giclées se mirent à jaillir librement au fond de son vagin en dépit de ma résistance.
Alors je devais me laisser aller en l'embrassant plus fortement et la galochant une fois de plus. J'essayais de tremper mon bout dans sa moule le plus longtemps possible pour prolonger les plaisirs du culetage mais ma femme ne pouvait pas supporter le poids de ma pression quand une sensation de ramollissement se propageait sur nos deux corps nus. Je me levais donc pour chercher une grande serviette cachée en permanence sous mon oreiller pour les nuits de baise. Dans l'obscurité totale et le silence de la chambre étroite nous tâtonnions pour essuyer les effluves de jouissance qui mouillaient nos cuisses et le lit en bois de fer. Puis nous nous rhabillions dans l'attente d'un bain à deux le lendemain. Et le sommeil finit par nous emporter dans un état de pleine satisfaction après avoir fait une bonne baise à l'insu de nos petits.
admin
Jan. 31, 2023
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