Un Excellent Dessert

Un excellent dessert

Je finissais une semaine de travail particulièrement chargée. J’avais, la semaine d’avant invité une amie au restaurant. J’attendais ce moment non sans une certaine impatience. Les moments que nous passons ensemble sont d’une grande complicité, nous ne couchons pas ensemble, quelques bisous et caresses de temps à autre. Elle me sait bisexuel et me dit souvent qu’elle trouve cela plutôt attendrissant.

On se retrouve vers 21 heures, l’autre couple que nous attendons et là, lui aussi, dans le quartier de la bourse et marchons, un peu au hasard. D’un restaurant, s’échappe une musique de qualité, et surprise produite par un orchestre. Nous rentrons et nous installons.

Le serveur nous installe sur une estrade ou plusieurs zones de tables sont séparées par une petite barrière basse. C’est très astucieux, cela donne une certaine intimité, sans pour autant être séparée des autres. Je m’installe, dos à une barrière, mon amie face à moi. Apéro et notre plaisir de discuter ensemble commence. Juste derrière moi, 2 couples sont installés leurs discutions vont bon trains. Le temps passe, je me détend et me met à l’aise. Je détend mon bras sur la barrière, ma main en touche une autre, je la relève doucement, celle du dessous a à peine frémi, je tourne la tête et m’excuse en découvrant plus précisément le visage de l’homme qui est sur l’autre banquette, il me souri et me dit « c’est pas grave », la Quarantaine, pas moche, le visage affirmé des gens qui savent ce qu’ils veulent.

Mon amie est à coté de moi, une autre femme sur l’autre banquette lui tourne le dos. Ce qui fait que ma main, est entre elles 2 et n‘est pas visible par ni d’un coté ni de l’autre. Je repose ma main sur la barrière. 3-4 minutes plus tard, je sens une main se poser sur la mienne, avec douceur, sans faire de mouvement. Je ne bouge pas et tourne la tête, il a reposé sa main sur la mienne et continu à discuter sans me regarder.

Sa main ne bouge pas, il n’y a pas d’erreur, le mouvement est maîtrisé. Le champagne et le vin m’ayant un peu chauffé les esprits, ma bisexualité refait surface de son passé. J’ai un peu chaud. Je tend un peu l’oreille à la conversation d’a côté, ils parlent sexes. La conversation de notre table est bien plus banale. Je l’entend qui dit « vous savez qu’un mec fait de très bonnes pipes, et complètes en plus» A ces mots, je contracte ma main, la sienne serre légèrement le dessus de la mienne. La femme qui est a cote de lui répond, ben moi, je ne crois pas, « t’a déjà essayé ». Il répond « et bien oui, j’avoue, il suffit de demander gentiment ». Toute sa tablée rigolent de bon cœur, et lui demande comment ça fait, le voila qui commente en me caressant maintenant clairement la main. Cela dure un bon moment autour de cela. Moi, je bande très dur. Nous avons fini le plat de résistance, nous commandons les desserts. Il me caresse toujours la main. Je recule légèrement ma main, relève mes doigts, les siens s’entrelacent aux miens, C’est très sensuel. Mon amie me dit, tu as l’air absent ce soir, je lui dit que non et lui sourit. Nos doigts bougent mutuellement. Et, d’un coup il dit, bon, je vais aux toilettes, il regarde l’homme du couple en face de lui et dit, « bon je te le demande gentiment ». Les 2 femmes sont hilares et l’autre lui répond, « merci je ne suis pas intéressé ». Sa main se détache doucement, il se lève en me regardant et me fait un léger clin d’œil. Il part et descend l’escalier qui conduit aux toilettes. La femme installée au dos de mon ami dit « A celui là » j’ai beau sortir avec lui depuis plus de 2 ans, il a toujours des coups à nous raconter. 3 minutes plus tard. Je m’extrais de ma table et dit à mon amie que je vais aux toilettes.

Mon coeur bat la chamade, je descends l’escalier. Puis entre dans les toilettes hommes, 2 cabines et dans un coin un urinoir, un glace au dessus. Il me regarde dans le miroir, je lui souri. Son mouvement de bras ne fait pas de doute sur ce qu’il fait.
Il se branle doucement. Je reste quelques instants derrière lui, puis entre dans un des 2 toilettes, je repousse la porte en la laissant entrebâillée d’une quinzaine de centimètres. J’ouvre mon pantalon et sort ma queue tendue à mort. Je suis placé de manière à ce qu’il puisse voir s’il est dans l’entrebâillement. Je tourne la tête, il est là son regard planté sur ma queue, j’empoigne ma queue et fait de lents aller et retour sur elle. Il regarde sans pousser la porte. J’ai l’impression qu’il ne va pas entrer, alors je décide d’accélérer le mouvement, je plaisirs que je ressent me fait gémir et j’entend « tu veux être gentils » et je m’entend dire « tout ce que tu veux ». Il pousse la porte et entre, je m’écarte un peu. Il referme la porte, il n’a pas rangé sa queue. Elle est grosse et d’une bonne longueur. Il se met derrière moi, en un tour de main, fini de décrocher mon pantalon qui tombe sur mes chevilles et me descend mon sous-vêtement. Il se plaque contre mon dos sa queue se place entre mes fesses et il m’attrapé tout de suite par la queue, ses mains remplace ma main. Il me branle, je suis transporté. Je cambre mes reins pour mieux le sentir, Sa queue est trempée de sa cyprine et moi, je me sens tout humide. Je le sens se reculer et descendre sa queue vers mon œillet. Sa t^te est sur mon épaule, il râle comme un homme en rut, Il me dit en poussant pour me pénétrer « j’ai jamais enculé un mec, mais toi, j’ai envie de te défoncer ». Je ne dis rien, je plane et pour toute réponse je pousse mes fesses en arrière. J’ai vu le volume de sa queue, je sais qu’il va me faire mal et qu’il ne s’arrêtera pas en cours de route. Il pousse plus fort, je me cambre un peu plus, passe ma main entre mes cuisses et place mieux sa queue, il râle et me dit « toi t’es une vraie salope, je vais te défoncer le cul ». Et moi, je lui réponds, « oui, va y, défonce moi ». Sa queue commence à me perforer. J’ai mal, je lui dis, il s’arrête de pousser. Je lui dis « t’arrête pas, va y baise moi comme une pute ».
Il m’a attrapé par les hanches et reprend ses mouvements, il me baise maintenant comme un salaud. Je le déteste de m’enculer avec force, et en même temps je me sens défoncer et j’aime ce moment de douleur intense, de soumission absolue. En 4 à 5 coups il est au fond. Ses couilles cognent maintenant sur mon cul, ses aller et retour sont violents. La douleur est forte. Pour moi, elle est indissociable des plaisirs qui vont venir. Puis elle commence a disparaître rapidement pour faire place à une vague de chaleur qui irrigue tout mon corps accompagné de » décharge de plaisirs. Je ne bande plus du tout, comme devenue femelle. Il cogne en moi encore en encore. Je ne sais pas combien de temps a passé. D’un seul coup, il s’arrête. Il est très dur, il n’a pas déchargé. Il sort de mon corps, me pousse en avant. Et m’assoit sur les toilettes. Sa queue est devenue vraiment grosse. Il veut me la mettre dans la bouche, je me recule, il me dit, suce moi petite salope. Je prend du papier toilette, lui essuie la queue et l’enfourne. Je m’applique et lui fait une gorge profonde. Il râle profondément et me traitant de tous les noms. Je sens sa queue devient fébrile et un premier jet m’envahi la gorge. Il se recule plusieurs jet épais et chaud me remplissent la bouche. Son sperme est épais, chaud et un peu sucré, j’ai la bouche pleine, j’avale doucement. Il sort de ma bouche, un dernier jet s’écrase sur mon mes lèvres et mon menton.

Il me relève, et me roule une pelle, je n’hésite pas à lui repousser du sperme dans la bouche, il se laisse faire.

Il se rajuste, je remet en place ma tenue aussi, je veux m’essuyer le visage avec du papier, il me dit non, sort comme ça. Je lui dis non, je ne remonte pas dans la salle comme ça. Il me dit, jusqu’au lavabos. Je jette le papier. Il ouvre la porte et sort. Je le suis. Les lavabos sont commun hommes/femmes. Les 2 femmes sont en trains de se laver les mains, dont l’une est celle qui était assise en face de lui. La trace que j’ai sur la lèvre le menton ne fait aucun doute.
Elle me regarde, ses yeux en disent long, elle est interloquée. Je reste stoïque. Je me lave les mains, sans précipitation, elle ne cesse de me regarder, et je m’essuie le menton avec le doigt et lèche celui-ci. A ce moment là, je suis tellement Je m’en fou complètement de ce qu’elle pense, je suis sur un nuage total. Elle quitte les toilettes. Le mec se rapproche de moi et me dit, t’ai un sacré coup toi. J’aimerai te revoir. Je lui dit donne moi ton N° de portable, ce qu’il fait.

Nous remontons vers le restaurant. Mes amis me disent, qu’est-ce que tu faisais, ça fait plus de 20 minutes que tu es parti. Je dis rien, il y avait du monde. J’avais, pour profité du goût présent dans ma bouche, laisse autant que possible du sperme dans ma bouche. Le mec ne dit rien, elle le dit que je me suis fait sa tout seul. De mon côté, je me rassois, je me sens bien, très détendu, mon amie me dit, dit donc, ça t’a fait du bien, tu a l’air bien mieux que tout à l’heure. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je me penche et embrasse mon amie, Elle comprend tout de suite en me regardant. Elle se penche vers mon oreille et me dit doucement, tu as fait une pipe au mec d’a côté « Je lui répond oui ». Elle me sourit en secouant la tête se repenche et me dit « c’est tout », je répond « non », elle me dit « il t’a sodomisé » je répond « oui ». J’ai une pointe d’inquiétude. Je ne lui dois rien, mais je ne voudrai pas qu’elle le prenne mal, et elle pourrait vraiment. Elle s’écarte, me sourit et me dit «tu sais que t’es fou toi, je t’aime pour ça ». Je dépose une autre baiser sur ses lèvres, nos amis nous demande qu’est-ce qu’il y a. elle répond, rien, un petit secret entre nous.

Le repas se termine, je règle et nous partons. En partant, je souris au mec, sa copine le voit. Je dis bonsoir à la table. Cet andouille fait une bourde en disant «A bientôt ». Ma copine qui était à coté de moi, me prend la main de manière très visible pour eux et lui dit « ben oui, ment ». Sa copine comprend visiblement d’un seul coup d’où venait le sperme sur mon menton et le fusille du regard, puis me regarde avec la même intensité. Moi, j’en ai rien à foutre, je plante mon regard dans le sien sans lâcher prise. Elle détourne la tête, mon amie me dit, vient mon chéri, on doit y aller. Jamais mon amie ne m’avait appelé comme ça, j’ai aimé la tendresse qu’il y avait dans ses quelques mots. Revenu à sa voiture, elle m’a demandé de tout lui raconter. J’ai hésité en lui disant qu’elle allait ment me juger. Elle me dit, ça fait 5 ans que je le sais, et tu vois que je suis là encore. Je lui ai raconté. Je crois qu’elle est un peu voyeuse, au vu de son trouble pendant mon récit.

Nous nous sommes séparé ce soir là, je me disais qu'elle ne voudrai peu être pas me revoir, il n'en fut rien.

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