Une Initiation
Hier matin, nous paressions au lit, il était presque 8h et nous déroulions nos petits fantasmes habituels. Il me disait quil allait menfermer dans la cave, me sodomiser. Je lui ai alors dit nonchalamment « de toutes façons, tu nas jamais le courage de le faire
». Il ma regardé dune drôle de façon, il na rien dit mais jai vu que je lavais mis en colère.
Il sest levé, et ma dit de me lever. Je me suis habillée, consciente que javais dépassé les limites et je lai rejointe en bas. Il ma laissé boire mon café, puis ma lancé « suis-moi ». Il ma emmené dans la cave, il a allumé la lumière, fermé la porte et ma ordonné de me déshabiller, jai voulu protester, mais jai vu quil ne plaisantait pas, alors jai obéi. Lorsque je me suis retrouvée nue devant lui, je me suis mise à mouiller, comme une salope que je suis. Il ma ordonné de tendre mes poignets devant moi et a alors sorti de sa poche deux serre-flex noirs et les a serré autour de mes poignets en en passant un dans lautre. Puis il ma dit : « Je te conseille de pas faire de bruit. Noublie pas quil y a des voisins des deux côtés. Réfléchis bien avant de couiner, si tu veux pouvoir les croiser sans quils sachent quelle grosse salope vicieuse tu es. » Et il est parti en me laissant nue dans le noir, les bras attachés. Je ne savais plus quoi penser, je croyais que mes fantasmes sm ne le branchaient pas vraiment.
Jai vite perdu la notion du temps, mais jai du attendre longtemps. Jai commencé à avoir très envie de faire faire pipi. Puis il est arrivé, il portait un gros sac. Je lui ai dit que javais envie, il ma répondu « rien à foutre ». Il ma pris par les liens et ma suspendu à un clou du plafond. Jétais sur la pointe des pieds, il est passé derrière moi, je lai entendu fouiller dans son sac, je ne voyais pas ce quil faisait, puis il ma dit « noublie pas les voisins ! » et a commencé à me fouetter les fesses, lentrejambe avec un gros bouquet dorties.
Il tournait autour de moi, en admirant son uvre. Je ne faisais plus du tout ma fière ! Dans son sac, il a pris le collier de notre chienne et me la mis autour du cou, puis il y a fixé une chaîne. Jai compris alors que je nen avais pas fini avec ma punition, il ma décrochée, ma fait mettre à quatre pattes, a passé la chaîne sous mes menottes en plastique et ma attaché au pied dun des congélateurs. Je le suppliais davoir pitié et de me laisser faire pipi avant. Il ma répondu « pourquoi avant ? Fais le là, je te regarde », jétais interloquée, il a insisté « vas-y, dépêche ». Mais je ne pouvais pas, javais trop honte, alors il ma dit « je vais taider », je lai entendu descendre sa braguette, il ma dit « écarte les cuisses « et ma à les écarter du bout de son pied, et jai alors senti son jet chaud durine sécraser sur ma chatte, mon trou du cul, mon dos, ruisseler sur mes cuisses, couler sur mes gros nichons. Javais honte, terriblement honte et encore plus lorsque le bruit durine a déclenché mon pipi, javais tellement envie que je ne pouvais plus me retenir. Je me suis vite retrouvée couverte de pisse, de la sienne et de la mienne. Mes piqûres dortie mont alors encore plus brûlée sous la pisse.
Jai voulu alors me décaler pour me mettre dans un endroit sec, cela nétait pas facile, attachée court comme jétais. Mais il ma tout de suite arrêtée, en mordonnant de rester où jétais. Il ma glissé un bouquet dorties sur lentre jambe en mordonnant de serrer pour les garder entre mes cuisses et il ma posé un petit galet sur la colonne vertébrale.
Il ma laissée ainsi, je ne sais combien de temps. Mes gros nichons traînaient par terre dans la pisse, ils me brûlaient, comme ma chatte mes fesses, mes cuisses. Au bout dun moment, javais mal partout, jai essayé de bouger doucement pour me soulager un peu, et alors un peu dorties est tombé et le caillou aussi !
Du coup, jai attendu avec encore plus dappréhension. Il a fini par revenir, et ma jeté « je savais bien que tu bougerais, salope, chiennasse, pompe à foutre ! » Il a encore fouillé dans son sac, jétais morte de peur, je le suppliais davoir pitié. Il ma présenté devant la bouche un petit bâton, en me disant quil me conseillait me mordre ça si je ne voulais pas faire de bruit. Puis il a pris une grande trique de noisetier et sest mis à me cingler en travers des fesses de toutes ses forces. Jai eu du mal à me retenir de hurler, je mordais mon mors pour ne pas crier.
Puis, sans un mot, il ma remis un bouquet dorties neuves entre les cuisses, un petit caillou et ma laissée. Avant de partir, il a laissé de leau dans lécuelle de notre chienne à côté de moi. Javais très soif, mais je nosais pas bouger de peur de faire tomber le galet et dêtre encore punie. Et puis, malgré tous mes efforts pour ne pas bouger, à un moment, jai senti le galet glisser sans pouvoir le retenir. De grosses larmes se sont mises alors à couler sur mes joues, mais je devais faire encore plus attention à ne pas faire de bruit car jentendais des voix proches de moi. Il avait invité ses cousins à boire une bière, et ils étaient installés à trois mètres de la porte de la cave. Il est même entré deux fois de suite sans même me jeter un regard pour prendre des bières dans le frigo de la cave. Javais tellement peur que je nosais même pas boire alors que je mourais de soif. Quand les voix se sont éloignées, jai enfin pu boire en lapant dans mon écuelle comme une chienne que jétais.
Il est revenu, ma représenté sans un mot le mors, mes larmes coulaient sur mes joues, mais je savais déjà que mes supplications ny feraient rien. Il ma enjambée, a coincé ma taille entre ses mollets, ma ordonné décarter les cuisses. Il a pris son temps avant de me donner cinq grands coups de trique sur la chatte. Sa « cravache » était longue et souple, elle ma ravagé de la motte jusquau trou du cul. Moi qui pensais avoir touché le fond de la douleur avec la précédente correction, je me suis rendue compte que jen étais bien loin, et toujours sans pouvoir hurler comme je le voulais ! Il était toujours au dessus de moi, et tout à coup, jai senti une brûlure terrible sur mes fesses ! Il était en train de me passer un citron sur les marques de ma correction sur les fesses, puis il finit en pressant le citron et en faisant couler le jus sur ma chatte, sur les derniers coups quil mavait porté, ravivant toutes les douleurs de la triquée.
Il est reparti après le désormais traditionnel rituel des orties et du gravier, en mordonnant en outre de garder le mors entre les dents. Cette fois, malgré le temps qui sétirait, jai réussi à tout garder, malgré la pisse qui me poissait et commençait à memplir les narines de son odeur forte, les douleurs dues à cette position humiliante, aux deux corrections et aux brûlures du jus de citron. Je dois avouer aussi que malgré ou peut-être à cause de ma honte, ma mouille me coulait entre les cuisses et se mélangeait avec sa pisse et la mienne.
Quand il est revenu, il ma dit « alors chiennasse, tu vois que quand tu fais des efforts, tu y arrives ». Il ma enlevé le caillou, les orties, jallais cracher le mors, mais il ma pincé violemment un mamelon en me disant « tant que je ne tai pas dit de poser ce truc, tu ne le poses pas, compris, salope ? »
Il sest alors mis derrière moi, et tout à coup, jai senti sa bite à lentrée de ma chatte. Il bandait comme un cheval et était encore plus gros que dhabitude ! Il sest enfoncé dun coup, jai cru quil allait me défoncer, ses couilles ont claqué contre ma chatte.
Il sest retiré et a essuyé sa bite contre ma raie ; moi javais déjà bien compris la leçon et suis restée immobile en attendant quil me dise ce que javais le droit de faire. Cela ne ma pas empêché un petit hoquet de surprise quand il a frotté son doigt contre ma vulve gluante de foutre et me la enfoncé ainsi lubrifié dun coup dans mon cul. Il a fait deux trois va et vient puis a retiré son doigt et ma fait cracher le mors pour lui nettoyer la bite et le doigt avec ma bouche.
Pendant que je le léchais, il me disais, » tu vois, salope, comme tu es bonne quand tu es soumise. Cest moi ton maître. Tu as été une bonne chienne bien docile, alors tu vas pouvoir attendre la nuit sans ton petit attirail. Remercie-moi pour être si gentil avec toi ! » Jai du le remercier en le vouvoyant et en lappelant Monsieur. Il ma regardé boire comme une chienne, javais son foutre qui coulait le long de ma chatte et se mélangeait à tout ce qui menduisait. Jai osé lui demander quand il me délivrera, il ma répondu en me pinçant brutalement un sein tellement fort que les larmes me sont montées aux yeux « quand je veux, tas pas encore compris », et il est parti.
Jétais toujours attachée par les mains et mon collier de chienne, ce qui mempêchait de me redresser, je ne pouvais que tourner autour du point dattache de la chaine, sans même pouvoir relever la tête, tellement jétais attachée serré. Jai fini par me coucher en position ftale, dans la pisse de mon maître.
Il est revenu encore une fois, jai cru quil allait me délivrer, mais non, il a posé à côté de mon écuelle un set de table, en me disant, » tu as faim salope ? », Je navais pas mangé de la journée et il devait déjà être tard, mais je ressentais déjà la honte menvahir en devinant ce qui mattendait. Il a versé sur le set le contenu dune casserole, cétait sans doute le reste de son repas, des spaghettis bolognaises froids quil ma à manger à quatre pattes, comme une chienne sa pâté. Je ne pouvais pas faire autrement que de men mettre de partout ; il ma obligé à tout manger, malgré la honte qui me coupait lappétit, jai du lécher le set pour le nettoyer à la fin. Puis il reversé de leau dans lécuelle et ma là aussi à tout laper.
Il est reparti et a laissé le temps sécouler. Jai vite compris pourquoi il mavait obligé à tant boire : je recommençais à avoir envie de faire pipi, javais beau essayer de penser à autre chose (et javais de quoi penser !), lenvie devenait très obsédante
Quand il est revenu, il ma déclaré quil était minuit, et quil allait me délivrer, mais que je naurais pas le droit daller aux toilettes avant daller me coucher, alors javais le choix : ou me retenir jusquà demain ou me pisser dessus une dernière fois. Javais trop envie, jai du me résoudre à la dernière solution. Il ma fait mettre debout et jai du me pisser dessus sous son regard, et sentir la pisse qui me coulait sur les cuisses, les jambes, pour faire une petite mare sous mes pieds. Il a pris son temps, en me laissant mariner dans cette nouvelle humiliation, avant de prendre la chaîne et de memmener jusquà la maison. Il ma mise dans la baignoire et ma regardé me laver, mais cest lui qui ma lavé la chatte, il ne voulait pas que je me la touche. Il la dabord doucement savonnée, avec sa main, en glissant ses doigts dans ma chatte et dans mon trou du cul ; puis pour me rincer, il ma fait mettre à quatre pattes dans la baignoire, a réglé le jet sur fin avec pression et a brusquement ouvert leau froide à fond. La surprise a été totale, il a du me tenir la nuque fermement pour me maintenir en place. La pression était telle que le jet deau glacée a pénétré dans ma chatte et dans mon cul, me lavant de tout ce que javais reçu dans mes deux trous.
Puis il ma séché la chatte tout doucement, en mexpliquant que je lavais mis très en colère ce matin, et que cest pour cela quil avait voulu me donner une punition ; mais que tout au long de la journée, il avait pris un pied insensé, il avait été pris dune sorte de frénésie qui avait abattu tous ses blocages. En bref, il avait vécu autant que moi une vraie révélation, et que si je me donnais à lui sans limite, il était prêt à plonger avec moi. Je lai embrassé en lui disant que cétait mon plus cher désir.
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