Collection Homme Femme. Tornade En Louisiane (2/3)
Cest lors de mon voyage aux USA, que cette aventure marrive.
Cest sur son lit de mort que jaccepte de louer un camping-car pour partir de New York faire ce périple qui doit me conduire à Bâton rouge en Louisiane.
Cest lors de cette étape que je vais essayer de savoir ce quest devenue une dénommée Dee Edward.
Cétait une jeune femme quil a rencontrée lors dune escale avec le navire-école des officiers français, Jeanne dArc.
Il était tombé amoureux, mais, hélas, il avait fallu rentrer en France ou alors déserter. Mais cétait en pleine guerre du Vietnam et il aurait fallu pouvoir démontrer que lon avait fait cinq ans darmer dans son propre pays.
Il en avait que quatre et risquait de se retrouver avec les Viets aux fesses.
Courageux, oui, mais peu téméraire, on laurait été à moins, ils avaient correspondu jusquà ce quil rencontre ma grand-mère.
Dans ses yeux, je voyais quil était au bord des larmes, ce devait être un amour éternel.
Bâton Rouge, étape décevante, car un ouragan avait dévasté le quartier quil mavait décrit.
Jai donc repris ma route en direction de Los Angeles voulant passer par Las Vegas, même si cest dans lintérieur des terres.
Cest à la sortie de Lafayette quune tornade nous ratt et que jai le temps de sauver une américaine, bon ton, dune quarantaine dannées et de faire delle ma maîtresse.
Les tornades étant fréquentes en ces lieux, les paysans ont creusé une fosse fermée par des battants de ferraille.
Un trou, une planche pour sassoir et une bombonne deau que je sauve de mon camping-car.
À son âge, elle devrait tout mapprendre, mais cest moi le jeunot qui la fait grimper au rideau lui apprenant à embrasser avec la langue et me faire une sucette.
Je suis jeune, la moitié de son âge, mais une fellation, cest la première quelle pratique sur la bite dun homme.
La tempête passée, jessaye de rouvrir la trappe qui semble bloquée.
Merde, il nous est impossible de sortir.
Nous allons mourir, je te dis que nous allons crever dans ce trou à rats.
Jallume mon propre portable, la jeune femme dont jignore le nom à défaut de connaître la chaleur de sa chatte semble tétaniser.
Je sens quelle me démarre une crise de nerfs.
Je lui assène une paire de baffes la faisant suffoquer.
Elle tombe à genoux et dans la lueur, je réagis par instinct naturel.
Jignorais que dans de telles circonstances, jétais capable de bander.
Alors quelle recherche son souffle, ma verge la prend sauvagement.
Je pense que ma réaction est identique à la sienne et cest pour ça que notre étreinte est à la limite de la bestialité, mais si bonne quand une nouvelle fois nous avons un orgasme simultané.
Je me suis demandé comment des hommes pouvaient bander en violentant une femme.
Jai une partie de ma réponse, la peur déclenche dans le corps dun être humain des poussées lui permettant de faire des choses improbables.
Cest lové sur cette terre battue que la jouissance ayant été si forte que nous devons nous endormir.
Je me réveille, nous sommes de nouveau dans le noir, la batterie de mon portable est coupée, je me redresse et jessaye de soulever la trappe.
Excuse-moi davoir paniqué, comment penses-tu que nous allons pouvoir sortir.
Quand nous.
Faisions lamour, cest ce que tu voulais dire.
Oui, m^me si jai été un peu brutal !
Brutal, cest peu dire, tu mas carrément violenté, mais ça a été si bon que tu es pardonné.
Nous papotons comme un vieux couple après lamour alors que la situation est pathétique.
Allume ton portable, le mien est sûr, batterie faible, jai senti un caillou sus mes genoux, cherche-le.
Je lai.
Bien éteint, regarde, il fait jour et avant de te faire magnifiquement lamour, javais réussi à soulever suffisamment la plaque pour te permets de caler le caillou qui nous permettra de voir la situation.
Je pousse, plus de jour et le caillou mis en place fait son effet.
Par sécurité je lui emprunte son portable et je cherche une autre pierre que je place à lopposé de la première.
On a de la clarté et surtout on respire mieux, car dans ce trou, lair a du mal à se renouveler par lintersite des plaques.
Fait moi voir, jai compris, le peu que lon voit, cest le coffre de ma voiture, elle est retournée, je reconnais la couleur.
Elle est retombée sur la trappe et nous bloque.
Je serais Mac Gyver, je déchirerais ta robe, jen ferais une corde.
Nous éclatons de rire, ça détend dans la situation où nous nous trouvons.
Vous aussi vous regardez ce feuilleton cousu de fil blanc.
Attends, appel ton mari avec ton portable.
Elle le récupère et fait un numéro.
Cest foutu pas de réseau, les émetteurs ont dû être détruits.
Ton mari savait où tu allais !
Je la sens gênée !
Chez une amie à quelques kilomètres dici, quand la tornade est arrivée jessayais de rejoindre sa maison.
Abby et Paul son mari ont, eux aussi un abri, mais bien mieux aménagé pour plusieurs jours.
Alors, ils vont te rechercher.
Nous avons de leau, cest une source de survie si nous savons léconomiser.
Tient entend, un hélico passe non loin dici.
Quant à la route elle doit être coupée, dès quils lauront dégagé et réparé, ils verront ta voiture sur le toit
Help, help, on est là, venez nous sauver.
Inutile de crier, cest impossible que lon tentende.
Elle sépoumone pour rien bien quils soient fort beaux quand je les regarde au-dessus de moi métant rassis sur le banc.
Jai une idée.
Avant que je réagisse, elle att son soutif sur le banc où elle est montée, le glisse dans la fente et le jette le plus loin quelle peut.
Si lhélico repasse, ils le verront et ils viendront nous sauver.
Laisse-moi prendre ma petite culotte, je vais la jeter aussi.
Jatt sa main, inutile de se démunir de ses petites protections, depuis un hélico, ça semble désuait.
Ce faisant, elle perd léquilibre et je la reçois dans mes bras.
Elle tombe assez pour que sa figure soit à la hauteur de ma bite.
Si un peu plus tôt, jai eu limpression de la violer pour son plus grand plaisir, là je présente pavillon bas.
Elle apprend vite, car elle me prend dans ses mains et sa bouche viennent compléter la bonne fellation quelle pratique sur moi.
Je suis un bon étalon.
Cest normal à deux pas du Texas où jespérais voir des cow-boys et des Indiens.
Hélas, tout ceci est bien compromis dans le trou où nous nous trouvons.
Elle était novice en sucette à notre arrivée, sans être une experte, comme Susy la suceuse que jai pratiquée, il y a quelques mois, elle se défend bien.
Si je lui faisais passer un examen, sans être à la hauteur de ma copine parisienne, je lui donnerais sept avec le commentaire.
« Dois encore saméliorer »
Non, une seconde, huit sur dix quand jéjacule et quelle avale tout mon sperme.
Jai soif.
Je prends la bonbonne, fait sauter le système de fermeture qui permet de la retourner sur la fontaine à eau avec difficulté, mais jy arrive.
Je lui présente dans sa bouche, de leau gicle partout.
La bonbonne est lourde, il y a douze litres deau, à ce rythme, rapidement nous serons à sec.
Mac Gyver, je prends sa petite culotte que je déchire pour en faire une sorte de mèche que je trempe dans le liquide.
Je la récupère, bien imbibé et cest avec délice que je la suce.
En la brisant et en suçant, je tombe sur la partie ayant touché sa chatte.
Ça adoucit le goût de leau, cest assez agréable.
Au fil du temps qui passe lentement, ce goût, jai envie de le retrouver.
Il fait nuit.
Je la caresse, elle réagit.
Cest moi qui me mets entre ses cuisses quelle écarte.
Je trouve sa fente qui mouille et ces poils, car elle garde sa toison.
Elle me met ses mains sur ma tête.
Dort-elle, je lignore ?
Oh oui, Abby, tu me fais du bien !...
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