A Quatre Pattes Sur Le Tapis
Il venait darriver. Lécran du visiophone me laissait envisager un garçon plutôt grand, assez baraqué, avec une gueule dange.
Il tardait à monter les cinq étages, jouvris alors la porte et lui fit comprendre quil nétait pas devant la bonne porte, et quil lui fallait encore grimper quelques marches.
Il entra dans lappartement avec un grand sourire, je devais lui plaire.
Il était grand, très grand, beau, très beau. Il me plaisait, cétait exactement lhomme que jattendais.
Il membrassa sur les joues avant desquisser un timide baiser sur mes lèvres.
Après lavoir invité à rejoindre le salon, le timide baiser se transforma en un baiser un peu plus fougueux, passionné.
Nos langues sentrechoquaient, sa main caressait mon dos, mes fesses, remontait sur mes abdominaux, ségarait sur mon entrejambe.
Il sarrêta, me sourit de nouveau, membrassa gentiment.
« On va quand même parler un peu avant
? »
Après lui avoir demandé ce quil voulait boire et déboucher maladroitement une bouteille, nous nous sommes installés sur le canapé.
Il me regardait comme sil voulait me dévorer, je devais, je pense lui rendre le même regard.
Sa main a repris son travail dexploration. Elle a commencé par ma joue, mon cou, glissait sur mon épaule, mes pectoraux, sest introduite dans ma chemise, en a fait craquer les boutons, ma touché les tétons, les a pincés, sa langue est venue les mordre, les lécher. Et sa main a glissé de nouveau sur mon ventre, mon nombril, est arrivée à la ceinture et sans ménagement a franchi le cap du boxer.
Elle me travaillait les couilles. Il ma plaqué contre les cousins du canapé avec force, et sa langue est revenue retrouver de nouveau la mienne, dans un baiser intense, , puissant.
Ses mains mont mis nu, rapidement.
Il maîtrisait tout, jétais comme entravé.
Ses mains ont vite repris possession de mon sexe.
Mon sexe était dur, et de plus en plus dur
Ses doigts combinés à sa salive sagitaient sur ma tige glissaient vers mes couilles et ségaraient jusquà mon trou. Il rajoutait de la salive et continuait son exploration.
Il força le passage avec un doigt, et mon trou ne souhaitait pas tenter la résistance, je me laissai aller, cétait bon, chaud, il me faisait découvrir mon intérieur avec cette fois ci plus de délicatesse comme sil était en train de me créer.
Son doigt commença des aller et retours, bientôt suivi par un deuxième.
Mon cul était humide, chaud et humide.
Il me fit lécher ses doigts, goûtait à mon intérieur, et recommença à me masser les couilles, le sexe.
Il me prit la nuque et me rapprocha de son sexe quil venait de libérer.
Je me mis à le sucer, dabord le gland, doucement, avec de légers mouvements de langue, lentourant, puis sa tige, en humidifiant avec beaucoup de salive.
Et il me baisa la bouche, sa queue senfonçait dans ma gorge. Il me bloquait la nuque.
Je salivais énormément.
Jengloutissais sa belle tige.
Je voulais lavaler encore plus.
Ses doigts glissèrent de nouveau dans mon trou. Il avait pris beaucoup de salive et entrait en moi avec insistance, alors que je continuais à le sucer.
Dun seul coup, il se remit debout, me souleva et me fit mettre à quatre pattes sur le tapis.
Il cracha sur mon trou, et menfila dun coup.
Malgré sa préparation, le passage de sa queue entre mes chairs fut pour moi comme une détonation.
Il me maintenait fortement par les hanches, senfonça davantage.
Jétais à ce moment là, entièrement à lui.
Et il me pénétra comme un Dieu, jamais personne, auparavant navait réussi à me donner autant de plaisir.
Javais dans mon trou, la tige dun homme qui pensait autant à son plaisir quau mien.
Je couinais
Il râlait.
Il marquait des pauses, en sortant sa bite pour la rentrer dun coup.
Ses mains avaient quitté mes hanches et me massaient le sexe
Il était derrière moi, menculait et me branlait à la fois.
Dun coup, il me tira les cheveux, me faisant cambrer immédiatement, et je sentis en moi, sept puissantes giclées de sperme
le mien arriva au même moment, ses doigts me le firent avaler.
Il me mit sur le dos, me présenta une nouvelle fois son sexe, et je léchai tout ce que mon cul navait pas reçu.
Je sentais son sperme coulait par mon trou et ses doigts là encore venaient me lapporter.
Je les léchais.
Javalai.
Il me prit dans ses bras
me dit des mots dans sa langue
il mavait dit quil était croate
membrassa avec la même passion.
Après sa douche, il me sourit de nouveau, et me promit maladroitement de revenir.
Je souris.
Le lendemain, cétait son visage que jai revu de nouveau dans le visiophone
Il monta les cinq étages et me planqua contre le mur de lentrée, et
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