Le Weekend D'Alice Et De Phil
Nu, je m'approche de toi. Comme je t'ai demandé, tu ne portes pas de culotte et de soutien-gorge, une simple nuisette trop courte qui ne cache rien de ta petite chatte. Tu t'allonges sur le lit, je me mets à quatre pattes au dessus de toi afin d'avoir ma grosse bite bien au dessus de ta bouche. Suçant et aspirant mon gland et ensuite ma verge toute entière, tu me malaxes les couilles avec beaucoup de douceur.
Je suis toujours à 4 pattes, tu te dégages de ta position pour te retrouver, derrière moi, et des deux mains tu écartes mes fesses pour me lécher mon petit trou du cul. Mes reins frémissent de désir, se creusent offrant ma croupe. Un doigt atteint mon illet sensible et le caresse doucement. Sous cette caresse je sentis mon anus se dilater peu à peu et un autre doigt enduit de salive pénètre lentement pour ressortir et s'enfoncer de plus belle. Au bout d'un moment je sens un troisième doigt qui essayait de se frayer un chemin. Je sais que je vais céder rapidement si tu continues ces caresses.
C'est délicieux, mais tu m'as demandé plusieurs fois par mail, que cette bite, ce sucre d'orge, cette verge dure et rasée, tu la voulais au fond de ton cul. C'est à mon tour de te préparer le cul à la sodomie promise.
Je te place à 4 pattes, et te transperce l'anus à coup de langue, tu réagis rapidement à ce traitement de choc. Ton illet s'ouvre tout grand, et je plonge carrément maintenant ma langue dans ton trou du cul. Houlalala, ton anus baveux et maintenant à l'agonie, un bon quart d'heure de cours de langue et il devient ouvert et très malléable. Jose un doigt, deux, trois, c'est fini tu es complètement ouverte du fion. Tu mimplores même de te mettre ma bite, ma grosse bite. Il faut dentendre d'ailleurs
-"Enfonce moi ta bite, bien a fond. Allez Phil, encule-moi. . . . . Ho oui, défonce moi le cul avec ta grosse bite et tes grosses couilles. J'ai trop envie. Va y laboure moi prends ton pied à me faire mal je mouille déjà du cul en attendant ta queue.
Je me résigne. Impossible de faire souffrir une femme. Je dirige ma bite sur ton petit trou, elle s'enfonce littéralement toute entière, et je commence un va et vient de plaisir. . .
Tu te tords de plaisir, ta main s'active sur ta chatte, Je ne faiblis pas, je te lime de toute ma queue. Tes cris envahissent la pièce. Tu te contractes sur ma bite pour me gueuler.
-"Ho oui, je jouis Phil, je jouis du cul avec ta grosse bite, je jouis, je jouis
."
Terrassée par le plaisir, tu técroules sur le lit . . . . . .
A suivre . . . . .
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