Etudiante Trop Sexy Pour Job D'Été.
Pendant cet été là, il me fallait à tout prix trouver du personnel afin de remplacer les employées en congé. Au service administratif la situation devenait ingérable pour le patron que je suis : une fille en maladie, une autre en congé maternité une 3e souhaitant partir en vacances, seule cette bonne vieille Denise me restait fidèle à la compta. Guère avant l'été un ami m'avait demandé si je n'avais pas un job pour sa fille pendant les vacances ; je lui proposais un poste d'hôtesse d'accueil/ standardiste. Je savais tout juste que la fille se prénommait carole et avait 18ans ; aux dires de son père c'était une fille sérieuse !
Le lundi suivant j'attendais donc la venue de carole quand arriva un de ces....Boudins. Mais ça n'était point carole, juste une coursière apportant un colis ; OUF, quitte à embaucher une jeune étudiante autant qu'elle ai du charme afin d'allier l'utile à l'agréable ! Quand arriva enfin Carole je ne fus pas déçu, bien au contraire! Beaucoup d'allure, mince, élancée, un adorable visage aux traits réguliers, des longs cheveux chatains et surtout une plantureuse paire de seins ; en plus de tout ça carole faisait plus mature que son age ; rapidement elle devint la coqueluche de la boite même parmi les bons pères de famille, il se disait même que l'un des vigiles l'aurait sauté dans le parking. Mon plaisir à moi c'était d'observer carole par la baie vitrée de mon bureau. Jadorais quand elle portait sa petite robe noire à dos nu... Denise se demandait combien j'allais mettre de temps avant de culbuter la belle étudiante ? Car à part Denise je les avais toute tirées, dans mon bureau j'ai un grand canapé très confortable exprès pour ça ! Carole, je la baisa au bout de 7 jours, un jour où elle avait sa fameuse petite robe noire. Fille d'ami ou pas carole est plus bandante que l'amitié que je porte à son père !!! On a baisé tout l'après-midi, je navais jamais été sucé comme ça, trop bon ! La gamine se défendait bien, après lui avoir bouffé la moule je pénétrais carole, je la ramonais vigoureusement, j'avais la sensation que ma bite continuait à s'allonger en elle.
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