Montmartre
Cétait en 1992, je venais de réussir mon concours dentrée dans une école dingénieur à Paris et pour mon logement, mes parents ont demandé à une de mes tantes de mhéberger.
Nicole, cest le nom de ma tante vivait avec son mari, non loin du quartier Montmartre, dans un bel appartement plutôt spacieux.
Je ne les connaissais pratiquement pas, je les avais rencontré 5 ou 6 fois peut être à la maison, le seul souvenir que javais de cet oncle, cest quil pilotait des avions de ligne et cela mavait toujours impressionné.
Ils furent ravis de maccueillir et me mirent très rapidement à laise, veillant sur moi comme laurait fait mes parents.
Jai passé le premier trimestre sans même songer à remonter une seule fois chez mes parents si ce nest pour les fêtes de fin dannée.
Il se passa pourtant un événement dont je fus le premier surpris, un après midi, alors que je rentrais plus tôt en labsence dun professeur, je fus étonné de ne pas trouver ma tante et alors que je me dirigeais vers ma chambre, jentendis des soupirs provenant de la cuisine.
Je mapprochais discrètement et le spectacle qui soffrit à moi, me laissa sans voix, ma tante était allongée nue sur la table et un homme sacharnait à grand coup de rein entre ses cuisses.
Jallais faire volte face, mais jétais littéralement hypnotisé par la scène qui se déroulait devant moi, les seins de ma tante que je navais même jamais imaginé , ballottaient au rythme de lhomme et ses hanches ondulaient, trahissant le plaisir quelle devait ressentir.
Dans un geste brutal, je vis les deux corps se raidir et ma tante pousser un long râle en penchant la tête en arrière.
Je me suis alors enfuit vers ma chambre de peur de me faire surprendre.
Je les ai entendu discuter un bon moment, narrivant à saisir que quelques mots de leur conversation : « un jour
.te baiser
salope
..à plusieurs
. ».
Javais éjaculé dans mon slip, jai attendu 2 bonnes heures avant de sortir de ma chambre, pour aller embrasser ma tante qui sétait installé dans le salon avec un magasine.
Elle fut étonnée de ne pas mavoir entendu rentrer, et moi de lui dire que jétais là depuis une dizaine de minutes.
Depuis ce jour, elle était devenu lobjet de tous mes fantasmes, pourtant rien dans son comportement ne trahissait son plaisir évident à lacte sexuel.
Il aura fallu une grève de la RATP 2 mois plus tard pour que je puisse de nouveau me régaler des performances de ma tante.
Il devait être 9h00 du matin quand je suis rentré, elle était dans la salle de bain et je me suis faufilé vers ma chambre sans faire de bruit.
Jai passé ainsi 2 bonnes heures étendu sur le lit à potasser mes cours, quand le bruit de la sonnette dentrée à retentit, plusieurs voix dhommes se sont élevés, jen distingué 3 différentes, mais je nétait pas sur et je nosais pas trop entrebâiller la porte, de peur de me voir découvert.
Au bout dune demi heure, je me décidais enfin à sortir de la chambre pour mapprocher doucement de la porte du salon et là le spectacle était au de là de toutes mes espérances, elle était à genou avec pour tout vêtement, une guêpière et des escarpins rouge, en train de sucer un des hommes assit sur le canapé et masturbant les 2 autres.
Les hommes ne faisaient apparemment pas parti du monde quelle devait fréquenter habituellement, leur vocabulaire et leurs manières contrastaient complètement avec la prestance coutumière de ma tante, pourtant cela navait vraiment pas lair de la gêner.
« Allez viens tasseoir là-dessus, elle nattend plus que toi ».
Elle sest assise sur lui dun seul coup, de mon poste dobservation je ne voyais la scène que de profil, mais même de là, jai entendu ses fesses claquées sur les cuisses de lhomme.
« Remues moi un peu tous ça, si tu veux continuer à faire bander mes copains ».
Je ne sais pas si cétait lhomme qui la faisait sauter comme ça ou si cétait elle qui sagitait sur lui, mais le résultat ressemblait à un spectacle de rodéo, tant les mouvements étaient brutaux.
« Toi ma salope tes motivé aujourdhui, ça te réussi de ne pas me voir pendant 3 semaines, vous avez intérêt à assurer les gars, elle a le feu au cul ».
« Oui mes cochons, je suis votre salope qui veut se faire baiser ».
Je nen croyais pas mes oreilles, comment était-elle capable de parler de la sorte ?
Et je nétais pas au bout de mes surprises.
« Vous navez que 2 heures et jai encore 2 trous à remplir, faut quand même pas que je vous tienne la main ».
Elle sest laissé glisser sur la moquette avec celui sur qui elle était assise et là je compris seulement que cétait entre ses fesses quil sagitait jusquà maintenant.
Le second arriva sur elle pour la pénétrer tandis que sur le coté, le troisième lui enfonça littéralement son sexe dans la gorge, cétait celui que je voyais le mieux et elle avait avalé la totalité de son membre.
Jamais à part dans un film X je navais vu ce genre de scène, mais là cétait ma tante que je côtoyais tous les jours depuis bientôt 6 mois qui en était lactrice principale.
Pendant plus dune heure, ils se sont relayés dans ses orifices et jétais tellement pris dans le spectacle que je nai même réalisé que jétais pratiquement rentré à lintérieur de la pièce.
Et ce qui devait arriver, arriva, lun des hommes annonça quil y avait un voyeur et ma tante toute empalée quelle fut, se mit une main pour cacher ses seins et une autre devant la bouche.
Alors que jaurais du menfuir, je suis resté là pétrifié par la situation.
« Tu le connais le petit jeune on dirait, tu ten tapes dautres que nous en douce ? ».
« Non, laissez moi cest mon neveu ».
« Approche petit, tu veux que tata te suce ».
« Vous êtes malade, cest un gosse ».
« Regarde la bosse du pantalon et tu verras que cest plus un gosse ».
« Allez sort ton engin petit et montre lui que tu as grandi ».
Je me suis approché timidement.
« Non je peux pas ».
« Tu le suces ou on te fout à poil sur le palier ».
Elle a pris mon sexe du bout des lèvres.
« Allez mieux que ça, ou on reviens plus ».
Elle englouti alors toute la longueur de mon sexe, je sentais littéralement aspiré et sa langue frottait sur mon gland.
Je sais ce nest pas trop héroïque, mais jai éjaculé en moins dune minute et elle avala toute ma semence en baissant les yeux.
« Allez, on reprend les choses en main, assis toi et prend de la graine ».
« Regarde, on va tous lenculer, elle adore ça, dit le que taimes te faire défoncer le cul ».
Elle murmurait à peine.
« Jentend rien, plus fort ».
« Jaime me faire prendre le cul ».
Il lui introduisit 2 doigts dans lanus et lui demanda dêtre plus convaincante pour les faire bander.
« Je suis votre salope qui veux se faire enculer ».
Tu y es presque.
« Je suis une grosse truie qui veux se faire défoncer par vos grosses bites ».
Je ne sais pas qui était le plus excité des 3 hommes qui lentouraient ou de ma tante qui débitait ces mots.
Toujours est t-il quelle oublia vite ma présence pour se faire prendre le cul sans la moindre tendresse, les encourageant même à plus de brutalité.
Le dernier samusant à lui rentrer 2 doigts en plus de son sexe dans lanus, pendant que les 2 autres lui faisaient nettoyer leurs bites un peu moles ensemble dans sa bouche.
Les 3 hommes se sont rhabillés et sont partis, laissant ma tante étendue sur la moquette entourée dune bonne dizaine de capotes.
En se relevant, elle me regarda et me dit :
« Excuse moi, je ne voulais pas, jai trop honte ».
Je ne savais plus quoi faire, je lai aidé à se relever et je lai soutenu jusquà la salle de bain, et lai embrassé sur la joue avant de la laisser seule.
Elle est restée longtemps enfermée, moi je suis retourné dans ma chambre jusquau dîner où un silence de plomb régnât toute la soirée.
Le lendemain mon oncle était de retour et elle reprit ses bonnes habitudes comme si de rien nétait et je mefforçais de faire de même.
Il est reparti 4 jours plus tard, ma tante semblait avoir perdu sa joie de vivre qui la caractérisait dordinaire et je me sentais coupable de cet état de fait, mais je ne savais pas comment my prendre pour y mettre un terme.
Deux jours sont ainsi passés avant que jose enfin madresser à elle.
Jai commencé par mexcuser pour ce qui sétait passé, elle était au bord des larmes, je lai prise doucement dans mes bras et là elle a pleuré toutes les larmes de son corps avant dêtre enfin capable de prononcer quelques mots.
Elle aussi sexcusait de ce qui était arrivé et moi bien maladroitement jessayé de lui faire comprendre que ce nétait pas grave et que je lappréciais toujours autant.
« Quest ce que tu vas penser de moi maintenant, que je suis quune moins que rien qui trompe son mari ».
Trouver les mots justes dans ces moments là est très difficile, je lui expliquais que je lavais trouvé très belle et que je navais aucune raison de la juger.
Oui je sais, cest ridicule, mais rien ne me venait à lesprit.
Et là, magie de la situation, nous nous sommes embrassés avec passion, au point de presque manqué de souffle, les mots ne servaient à rien, cétait lexpression de nos émotions qui nous débordait.
Ainsi naquit entre nous une complicité, bâtit sur le secret que nous partagions et qui nous rapprochât au point de nous faire partager le même lit pendant les absences de mon oncle.
Nous couchions ensemble, mais cela navait rien à voir avec la séance, de lautre jour, cétait beaucoup plus tendre, câlin, sans vulgarité, comme un véritable couple.
Elle avait lexpérience et moi lenthousiasme de la jeunesse, je ne pouvais espérer meilleur professeur car elle navait pas vraiment de tabous et nous arrivions à parler de nos désirs comme dautres discuteraient dun sujet banal.
Son plaisir favori était que je lui lèche longuement le clitoris en lui agitant un doigt dans les fesses, quand à moi, cétait plus banal, mais cétait la fellation où elle était capable de me faire éjaculer 4 fois dans la soirée.
Elle refusait par contre que jassiste de nouveau aux séances avec ses amants, mais nhésitait pas à me raconter ce quils lui faisaient, me mettant ainsi dans un état dexcitation qui la ravissait, et je la soupçonnais même den rajouter un peu parfois.
Je lui donnais bien quelques conseils pour quelles les excitent encore plus, mais mon imagination était puérile à coté de la leur.
Ils lutilisaient comme un jouet parfois jusquà sept à la fois, lui faisant subir les pires outrages comme des doubles pénétrations anales quelle redemandait, ou boire leur sperme au verre tout en lencourageant à débiter les pires obscénités pour la rabaisser un peu plus.
Ca me choquait beaucoup, car moi je lavais élevé au nouveau dune icône, et pourtant ça ne mempêchait pas dêtre terriblement excité.
Les vacances dété cette année là, mont paru interminable, jai bien eu une petite amie, mais quelle me semblait fade.
A la rentrée suivante, elle mautorisa plusieurs fois à assister comme voyeur caché à plusieurs de ses séances car javais piqué son orgueil en affirmant quelle exagérait quand elle me racontait ses exploits.
Je dû admettre que cétait plutôt linverse, pas sur les actes, mais sur la vulgarité de ses propos.
« Bouffez moi le cul, jutez moi à la gueule, défoncez moi la moule, étirez moi les nichons, éclatez moi le fion
.. ».
Et ce nest quun petit aperçu des propos dont je me rappelle encore aujourdhui.
Je ne comprends toujours pas comment elle était capable de se transformer ainsi dans ses séances de débauche.
Pour ma troisième et dernière année, il ny eu pas beaucoup de changement, si ce nest que je lai vu se faire introduire une main entière dans le cul et ce nétait pas celle dun bureaucrate.
Jaurais donné tout lor du monde pour y rester une année de plus, mais ça allé à lencontre des attentes de tous le monde, y compris ma tante.
Pour faire face à ce dilemme dont je lui avais parlé, elle my apporta une solution.
Pendant les deux mois qui vont précéder ton diplôme, pas de sexe, et si tu lobtiens, je toffre un voyage de deux semaines avec moi où tu pourras faire de moi tous ce que tu veux, avec qui tu veux, sans la moindre limite.
Quand elle ma annoncé cela, on devait être en janvier, autant dire que niveau motivation, cétait le top niveau et je ne vous dis pas les heures de réflexion passées à essayer dimaginer tous ce que je pourrais lui trouver pour nous satisfaire mutuellement.
Comme destination, javais choisi le Sénégal, car jai toujours rêvé de la voir faire lamour avec un noir et pour le reste, on verrait sur place.
Jai fini dans les dix premier de ma promotion et à peine le diplôme en poche, javais déjà des propositions dembauche dont la plus intéressante sur Montpellier dés la mi septembre.
Même si les billets davion ne lui revenaient pas trop cher, elle avait choisi un hôtel de standing avec tout le luxe attendu.
Le premier jour, nous ne sommes pas sorti de la chambre, on a fait lamour à toutes les heures, se faisant même livrer les repas.
Pour lanecdote, elle a dégusté une brochette dananas sur mon sexe et moi des kiwis aux liqueurs intimes, un vrai délice.
Javais totalement oublié tous mes projets pour profiter delle au maximum pour les quelques jours qui nous restaient à passer ensemble.
Il ny eu aucune visite pendant notre séjour, juste des lieux où nous mangions, buvions, ou faisions lamour.
Jinsiste sur le terme, car dans ces moments jétais totalement fou delle.
Cest le hasard qui nous rattrapa, alors que nous étions enlacés nus à lautre bout de la plage en milieu de nuit, nous avons senti une présence.
Un beau noir dune trentaine dannée était en train de se masturber à moins de 2 mètres de nous.
Nicole en avait vu dautre, et elle lui fit signe dapprocher pour le sucer.
Pas besoin de le lui répéter, il enfila aussitôt sa bite dans la chaude bouche de ma tante, lui maintenant la tête pour accompagner ses coup de reins, pendant que moi je la sodomisais en levrette.
Elle lui a fait cracher son venin en moins de 10 minutes, il aurait bien voulu poursuivre, mais en absence de préservatif, ce ne fut pas possible.
On lui a donc fixé rendez vous pour le lendemain, en lui précisant quil devrait avoir un capuchon, sil en voulait davantage.
Le lendemain, on sest économisé, passant la journée entre le buffet la piscine et les transats.
Le soir venu, elle enfila un simple paréo, dont elle se débarrassa à moins de cinq cent mètres de lhôtel, pour marcher toute nue au bord de leau sur plus dun kilomètre.
Au lieu du rendez, ce nétait pas un, mais quatre noirs en short qui étaient là, pour le plus grand plaisir de Nicole.
Je savais que cétait un de ses fantasmes puisquelle me lavait dit.
Ce fut pourtant différent des séances de groupe que nous avions connu, car beaucoup moins vulgaire, mais beaucoup plus physique, ils ne devaient pas avoir souvent loccasion de se taper une blanche et encore moins une qui voulait se faire enculer.
Ce fut très intense pendant prés dune heure et ils ouvrirent de grands yeux quand après quils eurent fini, elle se masturba sans pudeur devant eux, leur faisant ainsi comprendre quelle en voulait encore.
Mais malgré toute leur bonne volonté, ils avaient tout donné.
On se contenta de leur fixer rendez vous pour le soir suivant, mais je sentais bien quelle était déçu.
Le lendemain soir fût une toute autre histoire, quand nous sommes arrivés, ils étaient toujours 4, mais un peu plus loin, un autre groupe bien plus nombreux attendait.
Ils devaient être une dizaine et là malgré lobscurité, je vis une étincelle sallumer dans ses yeux.
Elle leur montra quils sétaient compris en leur faisant signe de sapprocher.
Jamais encore elle navait eu autant de mains sur son corps, ni autant de bite à son service dont 2 particulièrement bien dimensionnées.
Et vous me croirez ou pas, mais vers les 3 heures du matin elle en était venu à bout et pas en se laissant faire comme jaurais pu my attendre au vu du nombre, mais en sactivant vraiment pour tous les faire venir.
Je nen croyais pas mes yeux, elle avait du sperme partout, sur les cheveux, le visage, les seins, dans le dos et sur le ventre où le sable se collait.
Jamais je pense, je ne lui avais vu avoir autant dorgasme en un soir et dieu sait si elle men avait déjà montré.
Elle sest fait prendre dans tous les sens, couchée, assise, debout, en levrette et même la tête en bas en se faisant déguster le minou.
Ce soir là pas besoin de la bercer, il nous restait 9 jours et je savais quelle nallait pas sennuyer.
Le lendemain repos complet, il fallait quand même quelle récupère un peu.
Deux jours plus tard donc, rendez vous nocturne de la plage et là ils nétaient que deux et nous proposèrent de nous emmener dans un quartier chaud de la ville.
On a réfléchit un moment avant daccepter car ça allait à lencontre de toutes les règles de sécurité et ma tante de me dire :
« Après tout ils vont pas me violer, jy vais pour ça ».
Largument était simpliste mais convaincant.
La situation navait rien de réaliste, on était à larrière dune vieille camionnette en mocassin short et chemisette pour moi et elle complètement à poil sous son paréo pratiquement transparent dans une ville dont on ne connaissait rien.
On a traversé un quartier rempli de prostitués, jai senti sa main serrer la mienne quand on sest arrêté un petit kilomètre plus loin.
On était devant une espèce hangar où devait se dérouler quelque chose au vu de lattroupement quil y avait, on a juste traversé sans savoir vraiment pourquoi ils étaient rassemblés, on a ensuite parcouru une bonne centaine mètres pour passer sous un porche afin de rentrer dans un bar.
Ca empestait le tabac et la sueur, on nous a fait passer la porte dune salle au fond où une dizaine dhommes étaient là attendant apparemment la venue de ma tante.
« Alors cest elle la pute blanche qui veut se faire baiser par des black ».
« Oui mais seulement avec des capotes ».
On lui montra un panier rempli dau moins deux cent préservatifs.
Elle défit simplement le nud du paréo, me le tendit, passa la main entre ses cuisses pour porter ses doigts à la bouche et savança vers eux.
Il ny eu aucun préliminaire, elle eu aussitôt les 3 trous remplis et les 2 mains prisent, je ne la voyais presque plus tant elle était entourée.
Ils sacharnaient sur elle se relayant en permanence pour ne pas la laisser souffler et vu lenthousiasme dont elle faisait preuve, je pense quelle ne sétait pas rendue compte quun bon nombre dautres visiteurs étaient rentrés.
Dailleurs après presque 3 heures de ce traitement, elle montrait visiblement des signes de fatigue, ils lont alors allongé en travers dune table afin de mettre ses fesses et sa bouche à la bonne hauteur.
Elle était enfin arrivée au-delà de ses limites, car maintenant elle ne réagissait plus et pourtant il lui passa encore une bonne vingtaine de partenaires entre les cuisses.
Il a fallu laider à se relever, je lui renouais le paréo, tant bien que mal, un homme ma aidé à la soutenir jusquà la voiture qui nous ramena à 100 mètres de lhôtel.
« Quand elle veut, elle revient ».
Jai eu beaucoup de mal à la ramener jusquà la chambre, heureusement, il faisait encore nuit et nous navons croisé que 2 ou 3 personnes qui ont dû croire quelle été simplement ivre.
Sils avaient été plus prés, ils se seraient vite rendus compte que ce nétait pas de la crème solaire qui lui collait dans les cheveux.
Je lai mise dans le lit, elle était couverte de petits hématomes partout sur le corps, mais surtout aux jambes.
Elle avait les lèvres du vagin complètement tuméfiées et bien que cela fasse plus de 2 heures que soit fini, elle avait toujours lanus ouvert où jaurais pu rentrer 2 doigts sans en toucher les contours.
Malgré tous cela, je la trouvais très belle et épanouie dans cette semi inconscience.
Je lai nettoyé délicatement avec un gant de toilette et ne soyons pas hypocrite, je la caressais autant que je la lavais.
Je lai ensuite badigeonnais dhuile de massage délicieusement parfumée à la vanille.
Il ny a que les cheveux que je nai pas pu arranger, le sperme séché dedans, ne les mettait pas vraiment en valeur et je crois quelle naimera pas le regard dans le miroir du matin.
Le lendemain, elle était debout bien avant moi où après avoir fait un saut à la salle de bain et à la pharmacie, elle est venue me réveiller comme ma mère quand jétais en me passant la main dans les cheveux.
Malgré la soirée quelle venait de passer, elle était radieuse.
Elle ma embrassé sur le front en ajoutant un tendre merci, cétait un moment magique comme on en a quelquefois dans la vie.
Les quatre jours suivants, furent basés sur repos et détente, on sest dailleurs bien éclaté le soir dans la boîte de lhôtel.
Je ne suis pas fan des boîtes de nuit et elle, pas trop accro des musiques de lépoque, mais jai eu limmense plaisir de la voir danser devant et avec moi.
Cela navait rien de sexuel, tout au plus terriblement sensuel.
Nous arrivions au milieu de notre dernière semaine et Nicole souhaitait réaliser mon plus grand fantasme quel quil soit, car pour elle cétait fait.
Je lui avouais que jaimerais quune fois, elle me fasse lamour dans une tenue super sexy limite SM et quelle mexcite avec toutes les grossièretés dont elle ne faisait que profiter les autres car me layant toujours refusé.
Pour trouver la tenue, ce fut déjà toute une histoire, surtout à Dakar.
On nest parti le matin en taxi, demandant au chauffeur de nous trouver un magasin de lingerie.
Il nous a arrêtés devant une boutique, mais on lui demandé un genre plus sexy.
Il a affiché un sourire jusquaux oreilles nous demandant carrément sexy ou sexe.
Et Nicole de répondre en souriant :
« Très sexe ».
Dans quoi nous étions nous encore engagés ?
Il nous a amené jusquà un sexe shop dans une petite rue du centre ville, et aussi surprenant que cela puisse paraître, le magasin faisait assez moderne et européen.
Effectivement, quand nous sommes rentrés, il devait y avoir une quinzaine de client dont 2 couples et presque uniquement des blancs.
Je me sentais déjà plus rassuré, surtout que la boutique ne faisait pas du tout sordide, mais plutôt moderne.
Je nétais encore jamais rentré dans ce genre de boutique, ce qui je crois nétait pas du tout le cas de Nicole, qui semblait très à laise à lintérieur.
Elle ma tout dabord demandé de choisir pour elle ce qui me ferait plaisir, mais devant mon embarras, elle décidât que ce serait mieux si elle choisissait elle-même.
Je reconnais aujourdhui, que je naurais jamais eu le cran de lui faire prendre ce quelle avait choisit.
Elle a tout dabord sélectionné un ensemble tout en cuir, slip, bustier porte jarretelle et jupe, ainsi que des escarpins noirs avec une sangle clouté qui se fermait sur la cheville.
Elle prit ensuite 3 paires de bas noir, ainsi quune nuisette de la même couleur aussi courte que transparente.
Elle me montra ensuite plusieurs gadgets dont plusieurs paires de menottes, une espèce de godemichet creux que lon attache à la taille, mais dont les dimensions tant de longueur que de diamètre devait lui donner les caractéristiques dun membre de cheval.
Elle demanda à la caisse, sil disposait dune cabine dessayage et il lui en montra deux sur le coté.
Elle me fit attendre à lextérieur et quand elle tira le rideau pour me montrer le résultat, je restais la bouche bée, et regardant autour de moi, je nétais pas le seul à profiter du spectacle.
Je nai pas eu à ouvrir la bouche pour quelle comprenne que cela me plaisait.
Elle renonça au maxi gode, mais emmena quand même deux paires de menottes en plus de la tenue.
Quand nous sommes sortis un des clients nous rattrapa et nous remis son numéro de téléphone griffonné sur un papier.
Nous sommes rentrés déjeuner à lhôtel, où nous avons paressé une bonne partie de laprès midi au bord de la piscine.
En début de soirée, Nicole a commandé plusieurs cocktails alcoolisés pour elle, car moi je ne supporte pas lalcool.
Elle commençait à être bien gaie quand nous sommes remontés vers la chambre, et ce nest pas la discrétion de ses rires qui risquait de nous faire passer inaperçu.
Elle me fit attendre à lextérieur de la chambre le temps pour elle de se changer et alors que je mattendais à passer la nuit à deux, elle mouvrit la porte en mannonçant que lon sortait.
Elle portait la tenue achetée dans la journée, autant dire dune totale indécence pour sortir, jappréhendais même de traverser le hall daccueil, mais malgré quelques regards bien sentis, cela se passa bien.
Je ne sais pas si cest le hasard, mais cétait le même chauffeur de taxi que le matin qui nous attendait.
Il devait être 22 heures et Nicole lui demanda de nous amener à un endroit où il y avait du monde et de lanimation.
Il lui fit remarquer que ce nétait pas très prudent de se promener dans cette tenue le soir dans Dakar.
Pour toute réponse, elle retira son string et lui remit en ajoutant : »un endroit où je nen aurais pas besoin ».
Cétait impensable, elle était habillée dune manière ultra provocante, sans culotte, les seins prisonniers dun bustier trop petit, dans une ville inconnue, avec un chauffeur de taxi qui avait accroché son string au rétroviseur en guise de trophée.
Elle me regarda et me dit : »je serais incapable de faire ça seul avec toi, mais aujourdhui si tu veux, tu pourras en profiter au même titre que les autres ».
Le taxi nous à amené à un endroit en dehors de la ville où les blancs viennent sencanailler avec des noirs et effectivement il y avait déjà 4 voitures où des couples faisait lamour observés par des groupes dhommes, mais portière et vitre fermées.
« Il ny a rien de plus chaud que ça dans cette ville ? ».
Le chauffeur a ouvert de grands yeux et a remit la voiture en marche.
Il nous a emmené sur le chantier dune autoroute parsemé de dizaine de baraquements.
« Si tu rentres la dedans madame, je ne sais pas comment tu vas en ressortir, il y a au moins 200 ouvriers qui nont pas du voir de femmes depuis des mois ».
Pour la première fois, je lai vu hésiter et renoncer à cette folie.
Je me sentais soulagé, bien quensuite elle souhaitât se rendre dans le quartier des prostitués que lon avait traversé il y a quelques jours.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, je trouvais ça beaucoup plus raisonnable.
Imaginez, une femme blanche de 43 ans, en mini jupe en cuir ras les fesses et sans culotte, en escarpins avec des talons dau moins 7 ou 8 centimètres et en bustier noir doù débordait presque les auréoles de ses seins, se dandinant au milieu de petites rues bondées dhommes principalement là pour tirer un coup.
Elle ma soudain attiré dans une impasse au bord de la rue, ma descendu le short pour me sucer pratiquement à la vue de tous.
Un homme sest approché de nous pour me demander combien elle prenait pour une pipe, et moi je lui annonçais 100 francs CFA, un peu moins dun euro aujourdhui.
Et rapidement il commença à se former une file dattente dune dizaine de personne, ravie à lidée de se faire sucer par une blanche.
Elle était à genoux, suçant goulûment en pleine rue tous ces sexes qui lui pendais devant les yeux.
Elle sest affairée ainsi pendant 2 bonnes heures pour la modique somme de 4700 francs CFA, elle était maculée de sperme sur tous le visage, les cheveux et sur le haut de ses seins.
Un homme me proposât 300 francs pour lenculer, je négociais par principe 350 et le port du préservatif.
Avec un grand sourire, il en sortit un de sa poche et les billets et sans la moindre fioriture, il dégageât son sexe du pantalon pour lui investir les fesses alors quelle était encore en train den sucer un autre.
Il éjacula assez vite, mais demanda dattendre un peu car elle était trop large pour lui, mais quil connaissait dautres personnes pour qui elle serait parfaite.
Il est effectivement revenu un petit quart dheure plus tard avec deux espèces de colosse de prés de 2 mètres et dun petit gros.
Ils avaient eux des sexes beaucoup plus conséquents, surtout le petit qui avait le gland gros comme une mandarine.
Là ce fut beaucoup plus long et surtout beaucoup plus jouissif pour Nicole qui cambrait les reins et redressait la tête pour savourer ces pénétrations brutales et profondes.
Pour 100 francs je leur ai dailleurs offert la possibilité dun deuxième passage, dont ils se sont empressés daccepter.
Et comme si cela ne suffisait pas, elle a demandé au deux plus grand de la prendre ensemble.
Elle sest assise sur le premier et alors que le second allait lui investir le sexe, elle le guida contre lautre pour lui montrer quelle le voulait dans le même passage.
Ce ne fut pas simple ni sans grimaces, mais les 2 sont totalement rentrés entre ses fesses et lont ainsi labouré pendant plus de 10 minutes pour son plus grand plaisir.
Nous sommes finalement partis, bien quil y avait toujours une file dattente pour rejoindre le taxi qui nous attendait encore.
Et comme si cela ne lui suffisait pas encore, elle a sucé le chauffeur pendant tout le trajet du retour qui dura anormalement longtemps.
Avant de descendre, il lui a laissé une carte de visite et tendu un chiffon pour quelle puisse se nettoyer un peu.
Certes, elle avait une démarche chaotique en franchissant le hall de lhôtel, mais ils étaient tous loin den imaginer la raison.
Arrivé à la chambre, elle se déshabilla et prit les 2 paires de menottes quelle avait acheté pour se fixer les poignets aux barreaux du balcon et me demanda dr delle.
Jétais comme un con, car je ne voyais pas ce que pouvais lui faire de plus que ce quelle avait subit.
Elle me demanda alors de la pénétrer avec les mains.
Je commençais à joindre mes doigts pour lui pénétrer lanus en lui caressant le clitoris de lautre, mais elle marrêta afin que je lui rentre en même temps les poings dans sa chatte et ses fesses.
Hésitant, je les ai positionné à lentrée de chaque orifice et dun coup sec jai le passage.
Jai senti son vagin se contracté fortement sur mon poing, limmobilisant complètement.
Elle a ensuite poussé un petit cri sourd avant de sécrouler sur le coté.
Son sexe coulait comme si elle était en train duriner, assez rapidement je pu remuer mes mains dans ses orifices pour les sentir frotter lune contre lautre à travers les parois de son ventre.
Mais je nai pas insisté longtemps, car elle ne réagissait presque plus, par contre moi je métais éjaculé dessus.
Je lai détaché et après quelques minutes, je lai aidé à se coucher et je lai vu pleurer.
Je culpabilisais, pensant lui avoir fait mal, mais quand elle pu enfin parler, elle me remerciât au contraire de lui avoir fait vivre tous ça.
Jamais depuis ce temps, je nai bien sur eu loccasion ni même lenvie dassister à ce genre de spectacle, dailleurs je nai revu quune seule fois ma tante depuis, pour le baptême de mon fils, elle avait prit quelques rides bien sur, mais elle dégageait toujours la même classe naturelle qui faisait tous son éclat.
Hormis les banalités familiales que nous avons échangés, plusieurs sourires et regards en ont dit beaucoup plus sur ce que nous avions partagé ces années là.
Je ne sais pas si après mon départ, elle a continué ses folies, mais jamais depuis tous ce temps je nai porté le moindre jugement négatif sur ce quelle vivait et mavait fait vivre pendant ces trois années.
Même si aujourdhui, jai une vie bien sage avec une femme que jaime et des s que jadore, ma tante Nicole sera toujours pour moi un moment inoubliable de mon passé que jai couché sur le papier, car jamais je ne pourrais trahir son secret.
Saches si tu te reconnais, que tu as été une de mes plus belles histoires damour.
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