Geisha Docile

Je suis une geisha, une vraie.. Poudrée et couvert de kimono en soie qui déploie leur plis et leurs replis sur mon doux corps.. Imagine mon amour, que tu n'as jamais vu ce corps.. Que tout ce que tu as pu en voir c'est un poignet lorsque je te servais et ma nuque lorsque je pliais le genou devant toi.. Mon maître, mon dana..

Tu m'auras acheté après des mois et des mois de séduction.. Je t'aurais envoûtée du regard, de mes danses et de ma voix mais jamais tu n'auras pu effleurer plus que ma cheville.. Un jour tu te serais laissé allé..

Tu m'as acheté et je suis devenue ton esclave sexuelle, le jouet de tous tes fantasmes mais tu n'as pas encore le droit de me posséder. Alors tu m'invites chez toi et me fais passer dans une petite salle.. Pour soit disant me faire admirer un kimono de soir et de soie.. Naïve j'y serais allée, ne sachant pas que tu comptais m'y soumettre.

Une fois rentrée dans ton antre.. Je verrais le noir et seule 4 bougies à chaque coin de la pièce.. Sans comprendre, j'entendrais la porte se claquer et tu me dirais.. Que cette porte est à présent fermée, que seul toi peut l'ouvrir et que je pourrais crier personne ne m'entendra.. Alors tu m'ordonnes de me déshabiller.. Et je refuse.. Je refuse tant et si bien que tu vas cherché un couteau.. Le glisse sous les pans de mon kimono et d'un seul geste l'ouvre te part en part.. Dévoilant mon corps à tes yeux..

Tu embrasse des seuls regards l'ensemble de mon corps et je me jette dans mon kimono pour m'en recouvrir.. Mais tu l'arraches de mes mains et je sens une énorme pression contre moi.. J’ignore ce que c'est mais c'est phénoménal et cela me fait peur.. Tu me pousses sur le tas de plumes et m'ordonnes d'écarter les jambes et j'ai peur.. Alors j'obéis.. Et tu remarques alors le fil qui pend.. Des boules.. Et mes seins dressés.. Tu m'excite..

Sûr de toi tu tire d'un coup sur le fil, m'arrachant un cri lorsque les boules sortent de ma petite chatte.

. Et j'ai mal. Je te le dis.

Tu te jettes sur moi et me promet mille souffrances bien agréables.. Mais avant je dois les mériter.. Tu me passes une corde autour des chevilles et des poignets et tu appelle tes serviteurs.. Pour qu'ils viennent voir mon corps.. Ils sont là tous autour de moi et tu me préviens que si je ne sais te satisfaire tu me jetteras en pâture sans le moindre scrupules à ces chiens..

Tu me dis alors que je serais enfermée dans une petite pièce contenant tout ce qu'il me faut.. Et d'où je pourrais voir le ciel.. Tu m'y entraînes toujours nue et de force..

Et tu me dis que je serais ta servante sexuelle, qu'à toute heure du jour et de la nuit je devrais te satisfaire, te faire hurler de plaisir.. Que je devrais inventer mille jeux et mille plaisirs toujours différents et que ma punition serait grande si je n'y parviens..

Tu m'abandonnes là..

Quelque heures passent et tu reviens..

J'ai été habillé comme la pire des salope et tu souris de me voir ainsi.. Tu as emmené une ceinture et un objet qui m'est inconnu.. Et tu me dis qu'aujourd'hui je vais apprendre ce qu'est en avoir plein les trous.. Je me traîne devant toi et commence à te déshabiller, je prends ton sexe dans ma bouche et te demande si tu aimes.. Mes lèvres gonflées serrent cette belle bite.. Et Oh surprise, j'aime ça, comme les salopes les pires.. J’aime ça.. Et je décapuchonne ton gland de mes lèvres.. Descends ma langue doucement le long de ton sexe, jusqu’à engloutir tes belles boules, tes réserves.. Tu gémis et n'en peux plus.

D'un coup tu me prends et me retourne.. Ah ma belle cochonne on aime hein ? À quatre pattes.. Je me mets selon ton désir et alors j'attends que tu t'approches de l'endroit d'où s'échappe un liquide chaud.. Je ne me maîtrise pas.. Des mots désordonnés sortent de mes lèvres.. Des mots entendus.. Baise moi, déchaîne toi sur moi... je veux ton foutre en moi, je suis une belle pute.., prends mes seins, viole moi, défonce ma petite rondelle.. Tu es surpris.. Et d'un coup m'enfonce cet grosseur dans le cul.. Je hurle de douleur mais tu me tiens et l'enfonce toujours plus profondément.. En me disant qu'il ne fallait pas te provoquer.. Tu me tiens et je ne peux pas m'échapper.. Je sens une douleur fulgurante et je crie mais tu me maintiens fermement..J’essaye de m'échapper.. Mais je commence à la sentir grossir, grossir.. Et tu me dis que tu vas exploser.. Alors tu prends l'objet que tu as amené.. Qui est énorme.. Et tu me dis que je vais ouvrir ma petite chatte pour le baptême.. Que je vais me faire prendre comme les pires catins.. Et que tu filmes tout.. Brutalement tu me l'enfonces dans la chatte et là je commence à sentir du plaisir.. Mon cul s'habitue et les grosses tapes de la ceintures sur mon cul me rendent folle.. Alors tu me soulèves et m'appuies contre la fenêtre.. tu veux qu'on voit une belle chienne, nue contre la fenêtre, en train de se faire prendre et défoncer et hurler de plaisir... et tout le monde voit ça.. On ne voit pas mes traits on ne te voit pas.. Mais on entends mes cris de plaisirs mais supplication.. Plus fort mon salop.. Saute moi comme une vulgaire catin.. Alors toi, au bord de la jouissance continue.. Tu me laboures, me sodomises à grand coup de queue, des coups de malade.. t'as jamais fait ça à aucune femme.. Et tu me prends.. Te retires, me mets à genoux.. Et tu décharges sur mes seins que tu s..... Tu me mords encore en laissant échapper des cris.. Mon corps n'est plus qu'une plaie.. Déchiré, mais j'ai joui... d'une jouissance infinie.. Alors pour me récompenser tu insinues ta belle langue au creux de ma chatte et me fait jouir à nouveau.. De tes doigts en me mettant la tête en bas et en jouant de ta langue... je crie et deviens alors définitivement ta cochonne, ta petite pute..

Nous restons allongé.. Ton sperme partout sur mon corps..Puis avant de partir tu m'informes que le jeu vient de commencer..