Taxi-Brousse A Mayotte ( Suite )

Ce samedi je me suis rendu dans un coin où se trouve un sentier de grande randonnée à Mayotte. Pour changer c’était moi qui était client du taxi-brousse qui m’emmena de la barge au pied du sentier, sur la route de la plage de Moya.

Quand le chauffeur me laissa il me dit de faire attention tout seul ça pourrait être dangereux. Je lui paye sa course (1,20 euro) et lui fixe une heure pour le retour. C’est OK pour 17 heures.

Je prends mon petit sac à dos, ma bouteille d’eau et une casquette pour me protéger du soleil.

Le début du sentier se trouvait sur une route goudronnée, par très emballant comme paysage. Après une demi-heure de marche, me voilà sur la piste en terre, entouré d’arbres de plusieurs variétés avec entre autres des manguiers, des bananiers, des cocotiers.

Arrivé tout en haut de la colline après une heure de marche, je décide de m’accorder un petit repos. En montant j’ai bu beaucoup d’eau et une petite envie de pisser me prend.

Je dépose mon sac et me dirige vers un petit bosquet. Là, machinalement, je fais descendre mon mini short et c’est les fesses nues avec un petit string que je satisfais mon besoin.
Le vent frais caresse agréablement mes grosses fesses ainsi que mes cuisses. Je me laisse aller, les fesses à l’air de telle façon que je n’entends pas un cycliste et son VTT qui arrive sur le sentier.

Pour me faire comprendre, il actionne ses poignées de frein qui claquent, et moi, pas du tout inquiet, je jette un œil discret sur un beau et jeune black, fin et musclé qui poursuit son effort à vélo.

Je finis par remonter mon short et me dirige vers un champ de manioc pour manger un sandwich. En chemin, je me fais doubler par trois VTtistes qui roulent à vive allure.

Je mets une serviette au sol enlève juste mon t-shirt et commence à manger.
A peine après avoir terminé mon sandwich, je revois le premier VTtiste qui a du apercevoir mes fesses revenir en poussant son vélo.



En passant à proximité de moi, il me demande si j’ai un peu d’eau pour lui ; je lui donne ma bouteille et avale quelques gorgées.

-« Merci », me dit-il. Puis il me déclare : « Vous avez de belles fesses, surtout que le string rose tranche bien sur la couleur de votre peau ». C’est donc sûr et certain qu’il avait vu mes fesses tout à l’heure.

Je le remercie maladroitement. Il dépose son vélo et s’approche de moi et me demande s’il pouvait me prendre en photo.

« Là ? Dans le champ de manioc ? «

« Oui, n’importe où. Je souhaite prendre une photo de tes fesses. »

Sa proposition me fit bander comme un âne ; il le remarqua et me dit d’emblée : « Je vois que cela te fait de l’effet ! »

J’avoue que oui et je lui donne mon accord pour les photos. Il me fit mettre nu et commença à me prendre en photo debout, penché en avant de côté. Il me demanda de marcher dans le champ à poil, ce que je fis sans protester. J’étais aux anges.

Après cette séance, il me donna mon short que je remis. Et nous avons fait un bout de chemin ensemble jusqu’à un kiosque où se trouvait une table pique nique en bois.

Il prit encore quelques photos de ma bite, de mon cul et même une photo de la balise du GRR qui pointait dans mon petit trou qui commençait à mouiller vraiment.

Puis il rangea son appareil et me demanda de me remettre à poil. J’exécutais ses ordres et je me retrouvais allongé à plat ventre sur la table en bois.

Sans ménagement, il écarta mes grosses cuisses et sortit sa longue et fine bite de black. Sans me préparer je dus subir un assaut de ce véritable boutoir. Il m’encula pendant cinq bonnes minutes et se retira avant d’éjaculer.

Frustré, je lui demande alors de jouir sur mes fesses ou mon visage.

Comme toute réponse, j’ai eu droit à des insultes en mahorais. Et il hurlait fort, ce qui eu pour effet de voir surgir des buissons trois beaux sportifs, les VTtistes qui étaient passés tout à l’heure.


-« Et maintenant tu t’occupes de mes coéquipiers ; ils ont tout vu depuis que je t’ai abordé ».

Allons bon ; j’ai été regardé par trois qui se branlaient pendant une heure.

Sitôt dit, sitôt fait, je me suis retrouvé avec une bite dans le cul pendant une bonne demi heure sans compter celles que je suçais entre temps.

Toujours en mahorais mon « photographe » leur demande surtout de ne pas éjaculer dans mon cul.

Quand ils eurent fini de jouer avec moi, je me suis retrouvé à genoux devant les quatre bites, raides et prêtes à jouir.

« Allez les gars, arrosez la gueule de notre salope de ce jour ! »

Et je fus inondé par plusieurs jets de sperme dans la bouche, le nez, les oreilles. J’en ai avalé pas mal d’ailleurs.

Après quelques échanges ils sont repartis sur le sentier : « Nous y allons car nous avons pris du retard sur notre timing. Merci pour nous avoir donné ton gros cul de salope !!!!! »

J’étais plus crevé par cette partie de jambes en l’air que par la randonnée.

Il était temps de redescendre, dans une heure le chauffeur de taxi doit venir me récupérer.

Un peu avant 17 heures, le taxi-brousse me récupère. La première réflexion qu’il me fait c’est : « C’était bien de se trouver à poil là-haut ? »
Comment le sait-il ? « Je dis çà parce que votre short est à l’envers. Vous aviez du l’enlever complètement ». J’avoue que oui et lui demande de se garer pour me changer avant de reprendre la barge de 18 heures. Il se gare en retrait de la route pour être discret.

Je descends de la voiture je me cache derrière la voiture qui tourne toujours. J’enlève mon short et au même moment le chauffeur pousse un sifflet d’admiration en regardant mes fesses habillées de mon string rose.

« Tu as un beau cul, je peux toucher ? » Après tout pourquoi pas « Oui bien sûr ! »

Il commença par me caresser le dos, les fesses, l’intérieur des cuisses ce qui eu pour effet un léger écartement de me cuisses.
Il profita pour me touche le trou d’amour et voyant que je ne protestais pas, il inséra un doigt dans mon cul.

Je recommençai à dandiner du cul ; voyant cela il se déboutonna et sortit un putain de morceau de chair, raide et se mit à le poser sur mon anus.

Son gland força le passage pourtant déjà ouvert et d’un coup de reins il s’enfonça dans mon cul et me lima avec puissance et délicatesse. Il le fit pendant un bon quart d’heure, et ô surprise, il balança son jus dan mon cul.

Merci, me dit-il. Tu as payé ta course.

Ce n’est pas tous les jours qu’il a un client comme moi.

« Oh tu sais, ici pour la plupart ce sont ceux qui vont prendre l’avion ou qui arrivent ; aujourd’hui juste avant toi, j’ai récupéré deux VTtistes qui étaient à la bourre. Ils m’ont raconté leur après-midi ! »

Je comprends mieux maintenant.

Ceux et celles qui veulent voir quelques photos, utilisez mon mail pour me contacter.

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