Stationnement Payant....
A lhôtel
.. Avec un black
Cela faisait 3 fois que je faisais le tour du pâté de maison pour trouver une place de stationnement. Des travaux en cours de réalisation sur la chaussée ne me facilitaient pas la tâche. Un des ouvriers qui avait remarqué mon embarras, me fit signe de la main et déplaça une barrière de chantier, suffisamment pour que je puisse garer mon véhicule. Jai trouvé ça sympa de sa part et lai remercié dun sourire généreux. A ma descente de voiture, il sest avancé vers moi pour engager une mini conversation des plus banales. Mais à mon retour, cet ouvrier couvert de poussières, black, est, de nouveau, venu à ma rencontre et avec un culot phénoménal, il ma tendu un bout de papier chiffonné sur lequel figurait un numéro de téléphone. Jai, bien sûr, supposé que cétait le sien.
Jai toujours été attirée sexuellement par les hommes de couleurs et les magrébins.
Aussi, la tentation fut trop forte et le soir même je lui passais un coup de fil et nous nous donnâmes rendez-vous, le lendemain à 17 h 30 (après son travail) sur le parking dun hôtel économique de banlieue.
Javais emporté un appareil photo jetable, et, dès que nous avons pris possession de la chambre je lui ai demandé sil ne voyait pas dinconvénient à ce quon lutilise. Il était très excité et il navait pas envie de me refuser quoi que soit (moi non plus dailleurs). Il sest déshabillé complètement et lorsque jai voulu enlever mes vêtements, il ma demandé de garder ma culotte et mon soutien gorge. Ensuite il ma demandé daller uriner, la porte ouverte. Je me suis exécutée et lorsque jeu finie, il na pas voulu que jessuie ma chatte avec du papier comme je le fais dhabitude. Il ma alors ôté mon soutien gorge, ma présenté debout face au grand miroir, et, de par derrière a fait glisser mon slip le long de mes jambes. Il ma légèrement écarté les fesses, toujours face à la glace, et à caressé puis fouillé ma chatte abondamment humidifiée par le mélange, à la fois, des traces de mon récent pipi et par mon excitation.
Je nen pouvais plus ! Mais jétais reconnaissante car il ma fait jouir plusieurs fois.
Il ma demandé quand on remettait ça. Je lui ai répondu quil fallait rester sur ce bon souvenir.
Il a quitté lhôtel le premier, et, avant de partir il ma piqué ma culotte et ma dit dun ton sarcastique : « tes pas la première bourgeoise que je baise et je constate que vous êtes toutes plus chiennes les unes que les autres ».
Je suis restée comme deux ronds de flan !
Suis passée à la douche et tout en me savonnant javais limpression que ma chatte avait subie lassaut dune troupe de Sénégalais.
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