Ma Cousine Amandine 15.
MARION
Je suis très fière de mon frère, lui na pas eu peur dembrasser Amandine après ce très beau facial, il a fait preuve dun courage bien supérieur aux deux autres camarades qui ont été aux abonnés absents, surtout Alexis car je pense que pour lui cela aurait été plus facile de goûter son propre sperme que celui dun autre, enfin cest ce que je suppose car moi jaime goûter le sperme de tous les garçons, je nai jamais déguster le mien et pour cause mais si jétais un garçon je crois que je me serais empressée de le savourer dés mes premières branlettes.
Théo na pas hésité à partager avec Amandine ce baiser épicé saveur crème de bite, nous échangeons beaucoup de confidences et il ne ma jamais parlé dune attirance particulière pour les garçons, je crois que cest sa première expérience, et je suis curieuse de savoir si jai raison, dans un avenir très proche je lui poserai la question afin de connaître la vérité, il ny a aucun tabou entre nous, je lui fais partager plein de secrets sur mes propres aventures, depuis que jécris sur HDS il lit mes histoires authentiques en sachant pertinemment que ce sont mes propres expériences, je lui ai donné toutes les clés pour midentifier sur ce site.
Et il connaît donc mon point faible pour les pipes, et des pipes complètes, pas celle où la fille soustrait sa bouche au moment capital, jimagine la frustration du garçon quant à linstant critique il est obligé de quitter le nid douillet où sépanouissait sa bite pour finir comme une vulgaire masturbation. Je souhaite que le garçon est le maximum de plaisir, et comme moi aussi, je prends mon pied à cette occasion et quil ny a pas de mal à se faire du bien cest avec une immense joie que jaccueille le fruit de mon travail dans ma bouche.
La reconnaissance qui émane du garçon décuple mon émotion, à chaque fois la sensation est différente suivant la force dexpulsion, la texture, la quantité et le goût du sperme que moffre le garçon de surcroit à chaque fois gratuitement.
Cest un sacrilège de dépiter un pauvre garçon et de perdre un met aussi succulent.
Théo me répète souvent quil ne connaît quune seule fille aussi cochonne que moi : cest Camille. Et cochonne, pour lui comme pour moi, cest un compliment, il pourrait même aller jusquà salope mais il est si gentil quil a peur de me vexer.
Mais revenons à notre Garden party, je crois que Théo mérite une petite récompense et quAmandine doit continuer ses expérimentations, elle me semble prête à poursuivre ses études, le visage rayonnant et le sourire épanoui quelle nous montreme pousse à lui proposer un nouveau challenge :
- Veux-tu faire un beau cadeau à Théo : le garder dans ta bouche sans interruption tout le temps dune pipe y compris quand il jutera , cest différent dune faciale, quand il inondera ta langue de sa crème et quil te remplira la bouche de sa sauce blanche, tu seras enchantée et tu pourras déguster jusquau bout du bout cette pipe intégrale.
- Surtout que le sperme de Théo est excellentissime et quil nest pas avare de la marchandise, ajoute Camille.
Je reconnais bien là ma Camille, une preuve supplémentaire quelle doit le pomper fréquemment.
Ma cousine ne pipe mot dans un premier temps si je peux me permettre, elle est timide naturellement mais elle continue à jouer les ingénues. Alors que je sens bien quelle est prête à sadonner aux pires cochonneries mais sans pleinement oser lassumer. Donc, je laide un peu.
THÉO
Marion propose à Amandine de me sucer à fond. Lidée me séduit et me ravit, rester bien au chaud jusquà gratifier la fille dune belle éjac dans la bouche est toujours dun raffinement inégalable, et jai énormément de mal à faire durer le plaisir tellement cest extra dirait Léo ferré. Vous pouvez demander à Camille, elle, qui adore madministrer ce terrible supplice.
Et vu létat dexcitation dans lequel je suis et la forme olympique que tient ma bite, jai très peur de ne pas résister très longtemps au traitement que risque de minfliger Amandine.
La savoir innocente et candide narrange rien à laffaire, je me remémore, il ny a pas si longtemps, les moments où elle ma sucé, heureusement que je nétais pas seul et que je pouvais relâcher la pression en passant le relais, nous nous succédions dans sa bouche pour le bonheur de tous.
Mais maintenant je vais être seul à devoir assumer et je dois essayer de durer le plus longtemps possible pour ne pas la spolier dune partie de la joie de sucer un garçon. Et cela ne va pas être simple pour moi.
Camille maide à métendre sur le dos, des coussins de chaises dextérieur me rendant la chose plus confortable.
Elle dispose Amandine à genoux sur mon côté droit et se place dans la même position sur mon côté gauche. Une fille ne suffisait pas en voilà deux! je sens déjà des mains qui se baladent sur mon corps, je ferme les yeux pour ne pas savoir à qui elles appartiennent, jen savoure une qui me pince les tétons, et une autre qui effleure mes couilles et une troisième qui saisit ma bite pour la redresser, des lèvres gourmandes qui bécotent déjà le bout de ma queue, une langue aventureuse qui déguste mon sucre dorge.
Enfin je sens que ma bite est prise goulûment et quelle est prisonnière comprimée entre deux surveillantes qui ne veulent pas quelle séchappe, ces deux cerbères gainées autour delle et qui lagitent en lubrifiant le mouvement par de la salive pour mieux la faire coulisser me tétanise, il faut vite que je pense à autre chose sinon ma queue va immédiatement séchauffer et bouillir.
Si je ne réagis pas vite ma réputation risque dêtre ternie avec ses deux pipelettes que sont Camille et Marion.
Et rouvrant les yeux je cherche un échappatoire et je tombe sur Hugo, il me dévisage avec un petit rictus au bord de ses lèvres, je dois renvoyer sans équivoque limminence de lapoplexie qui me guette.
En le voyant imberbe de tout le corps et la bite tendue depuis plus dune heure, elle est si appétissante que cela me donne une idée lumineuse : et si je faisais dune pierre deux coups, si je pouvais faire exploser simultanément nos deux bites.
En me concentrant sur la sienne, jai une petite chance : je pourrais peut-être retarder le processus de mise à feu de la mienne.
De ma main, je linvite à sapprocher encore plus, toujours sans parole, juste en agitant ma langue hors de ma bouche entrouverte, il semble comprendre ma provocante proposition, il sagenouille à côté de ma tête. En me tournant vers lui, je croise le visage stupéfait de Marion, mais je nen ai cure, je pense juste au plaisir de caresser et de sucer un garçon complètement épilé, comme il est beau! et en effet je ne suis pas déçu denfin pouvoir le faire.
Il maide à enfourner sa bite et loscillation de ses fesses permet à son piston de coulisser dans le cylindre dessiné entre mes lèvres. Mon attention et mon application ont provisoirement différé linévitable feu dartifice final et je remarque quHugo est précisément au même stade que moi. Jai la sensation, en suçant sa bite quelle est toute proche de rendre lâme.
Et je crois quil nest pas insensible à la délicieuse caresse buccale que je lui prodigue. Si Dieu le veut, nous jouirons ensemble.
A suivre.
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