Les Chaleurs Du Congélateur
Vanessa avait fêté sa 18ème année dans sa maison de campagne, où régnait une atmosphère de sérénité et tranquillité qui lont toujours impressionnée.
Ce soir là, sa famille était repartie en ville, laissant la brune passer une semaine en plein trou perdu, aux côtés des vaches et des bosquets darbres sauvages.
Cependant, ce soir là, la nervosité gagnait son esprit, elle tremblait de tous ses membres et, sur le coup des 20h00, alla se rafraîchir à lextérieur.
Tout était calme, limpide. Elle repensa à la rencontre du matin précédent.
Cétait au bourg du coin. Elle se préparait à rentrer chez elle quand elle remarqua un jeune homme labourer avec son tracteur. Elle fut prise dune envie irrésistible de lui parler. Plus elle sapprocha, plus elle semblait avoir chaud, quand celui descendit de son engin et linterpella. Sa voix était grave et veloutée. Elle murmura, inconsciente, "vous habitez le coin ?"
Il répondit qu'il habitait la ferme den face.
Ne sachant que dire, elle rétorqua: "Je suis seule ce soir et jai mon réfrigérateur en panne, je ne peu rien ranger, vous êtes fort en électronique ?" sans doute inventa elle tout cela sur le coup. Gêné, le beau géniteur répondit : "ouais, vous êtes du gîte cest ça ? Je passerai ce soir" Vanessa rebroussa de sitôt le chemin et rentra chez elle. Depuis, elle nétait pas bien...elle sentait les battement de son coeur dans la poitrine et lenvie de quelque chose...dinconnu.
11h00. un coup à la porte. Vanessa était prête. Elle savait ce quelle voulait : son sexe.
Le garçon rentra, il lui sembla énorme et imposant. Elle ferma la porte et lui montra lendroit du frigo. Tandis que le jeune se baissait pour trafiquer les dessous de la machine, elle se déshabilla, ses seins lui faisait mal elle voulait les toucher. Elle navait jamais eu de relation sexuelle mais elle en voulait. Ce soir. Elle sapprocha de lhomme, toujours occupé sous le frigo. Elle saisit sa taille dune force inouïe et le renversa sur le côté.
Elle ressentit enfin le sexe mâle lui pénétrer le cul et elle se sentit soulagé. Elle perdit sa force et lhomme pris le dessus et la plaqua à sa guise. Ho ce quelle était bien.
Ho oui. Le reste, elle ne sen souvient plus, elle ne se réveilla que le lendemain très tard, lhomme était parti. Plus tard, elle le vit dans son champ à labourer comme à lhabitude. Merci, bo mâle, murmura telle !
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