Week-End De Découvertes Bisexuelles: Ying-Yang Et Big Bangs

Tous quatre vautrés les uns sur les autres à même le plongeoir, le corps baigné de nos sécrétions laiteuses, nous devons former un tableau assez lubrique. C’est le moment que choisit Loana, l’amie de mes parents à qui appartient la villa, pour débarquer au jardin. Elle pensait sans doute me trouver seul et du même coup rééditer le week-end de baise sauvage que nous nous étions payé à l’insu de son mari. Je vais à sa rencontre, ma queue débandante luisante de foutre, et fais les présentations comme si de rien n’étais. Manifestant sa surprise, elle lâche: «Je ne m’attendais vraiment pas à toute cette chair fraîche étalée sur mon plongeoir. C’est pas gentil de t’amuser comme ça sans moi, tu aurais pu m’inviter, surtout que mon petit jardinier m’avais caché qu’il était aussi appétissant et que tes copains ont l’air pleins de ressources». Je l’assure qu’elle est la bienvenue et que nous allons nous occuper sérieusement d’elle. Ce ne sera pas un sacrifice; à quarante cinq ans, c’est une négresse magnifique et une baiseuse se première. Une robe noire moulante à bretelles qui dégage ses épaules met en valeur sa poitrine plantureuse. La forte cambrure de ses reins fait ressortir ses belles fesses rebondies. Elle ne porte visiblement rien sous sa robe moulante, comme le soir où, venue dîner avec son mari chez mes parents, elle m’avait littéralement violé sur le tapis de ma chambre au fonds de l’appartement que je lui faisais visiter. Ses cheveux de jais moussent autour de son beau visage aux lèvres pulpeuses et sensuelles. Elle s’approche du plongeoir et laisse glisser au sol sa robe de jersey, dévoilant ses seins d’ébène pointés comme des obus, ses hanches généreuses, son pubis à la toison crépue, et ses cuisses fuselées. Les deux mâles se sont relevés et la bouffent des yeux, leur sexe en main, déjà en train de reprendre vigueur. Mais c’est Cécile, toujours étendue sur la planche, genoux relevés, qui intéresse Loana pour l’instant. Elle l’enfourche à quatre pattes, lui présentant sa figue violacée et la fleur de son anus à déguster, et plonge sa tête entre ses cuisses largement écartées pour lui pourlécher la chatte qui coule encore, ses gros seins aux aréoles marron pressés contre le nombril de la jeune jouisseuse qui lui explore le con et le cul d’une langue agile.

Leurs deux corps forment un Ying et un Yang noir et blanc des plus excitants, d’où sortent des bruits de succion et de lèche qui me font saliver.
Laissés pour compte, nous sommes les trois mecs à bander à nouveau comme des boucs au dessus des deux femelles, astiquant nos trois massifs polars inutiles d’un poignet souple. Gilles choisit de s’aventurer sur le bout du plongeoir qui plie dangereusement vers l’eau, s’y assied à califourchon au niveau de la tête de Loana, et aide de la main sa grosse bite durcie à s’introduire dans le vagin humecté de salive de Cécile, léchée au passage par la langue gourmande de la suceuse éjectée du con qu’elle barattait. Balançant son bassin d’avant en arrière, le gars tringle à grands coups de reins, ressort sa queue pour l’enfourner dans la bouche de la négresse qui l’engloutit couilles comprises, puis continue en alternant ses visites en force de la bouche de l’une et la chatte de l’autre, toutes les deux en attente avide de ce piston insaisissable qui s’en échappe sans cesse pour y revenir encore. Il choisit finalement le vagin de Cécile pour y décharger son foutre en une série de spasmes qui la secouent furieusement.
Sans perdre des yeux cette scène qui me fait mal à la queue d’excitation, je viens m’agenouiller en tête de plongeoir entre les fesses de Loana accroupie, au dessus de la tête renversée de Cécile qui laisse glisser sa langue enveloppante le long de ma bite jusqu’aux couilles qu’elle happe de sa bouche goulue et baigne de salive. De mon gland hypersensible, j’entrouvre les lèvres de la figue boursouflée et gorgée de jus de la belle noire, et me fraie un chemin le long de ce sillon humide en remontant jusqu'à dégager le clitoris en érection et le branler délicatement avec mon bout suintant. Je sens que le fruit est mûr à point, et, écartelant ses cuisses de mes paumes, je lui enfonce mon madrier jusqu’au seuil de la matrice d’un coup de reins rageur. La négresse pousse un rugissement de plaisir à demi étouffé par la bite de Gilles qui lui obstrue la bouche, et contracte les muscles de son vagin qui enserre ma bite dure comme de l’acier.
Cécile concentre maintenant ses efforts sur mes couilles en béton qu’elle aspire dans sa bouche et fait rouler sous sa langue et dont elle tire la peau ensalivée entre ses lèvres à presque les arracher. J’ai introduit l’index dans le cul de Loana tendu vers moi, et l’enfonce en vrille dans cet antre douillet. Je la ramone énergiquement du doigt et de la bite et elle m’encourage en remuant son bassin en cadence. Mais je ressors mon braquemart de sa chatte qui ruisselle de cyprine, j’en enduis copieusement son trou du cul, et guidant de la main mon engin en folie à ce gouffre béant je m’y enfonce d’une poussée insistante. Je reste un moment à coulisser dans ce fourreau qu’on dirait ajusté à ma grosse pine, avant de revenir investir pour un moment son vagin pantelant. Je continue mon manège jouissif, alternant le moelleux du vagin et le soyeux du cul, les couilles affolées par les succions de Cécile. Arrivé au summum de l’excitation, je n’en peux plus et je décharge ma purée en giclées frénétiques qui éclabousse le pubis et le dos de Loana, et dégouline sur la figure de Cécile qui s’en pourlèche.
Fatigué de se branler, Angel vient se glisser derrière moi, lui aussi à genoux, et colle sa poitrine duveteuse contre mon dos. Il presse son gros phallus entre mes fesses et je le sens qui palpite le long de ma raie écartée. Récoltant dans ses doigts mon foutre qui dégouline de la toison pubienne de Loana et de mon sexe luisant, il s’en enduit la bite et m’en lubrifie le trou de balle. Je réalise que je vais recevoir le baptême de mon cul, et ce n’est pas pour me déplaire. Ma queue retrouve le chemin du con de Loana, et je m’affale sur son dos, écartant à deux mains mes fesses relevées et offertes. Je sens le gland du jeune jardinier qui force l’entrée de mon derche, et s’enfonce millimètre par millimètre dans mon fondement distendu. J’ai l’impression que son gland est démesuré et que son poteau d’airain trop gros pour cet espace étroit va m’éclater le fion écartelé. Mais les parois de mon anus se détendent peu à peu pour s’ajuster à l’intrus et je commence à ressentir un plaisir douloureux aux mouvements de ce piston qui coulisse avec insistance jusqu'à presser à chaque va et viens son gland contre ma prostate.
Ses couilles bien pendues battent contre les miennes que les lèvres de Cecile ont retrouvé et qu’elle lèche avec application par en dessous. Du coup, je me reprends une érection solide au fonds de la moule gluante de Loana. Je passe une main derrière la cuisse d’Angel, éprouve la fermeté de ses muscles fessiers, empoigne à pleine main son sac par l’arrière et lui malaxe méchamment les couilles, les ongles plantés dans sa chair. Je les sens gonfler en même temps que son dard se rigidifie encore dans mon anus qui manque exploser quand il découille en longues rasades et tapisse de sperme bouillant ma prostate stimulée à l’extrême. Son foutre refoule de mon cul obstrué par sa grosse bite et coule le long de mes balloches où il est léché bruyamment par Cécile. Le petit enculeur ne sait pas qu’il m’a défloré le cul, mais je le lui glisse à l’oreille.
Nos mouvements se ralentissent jusqu’à s’arrêter. Angel appuie son torse sur mon dos et nous restons un moment vautrés les uns sur les autres à revenir sur terre. Cécile, comprimée contre la planche par le poids de nos corps affalés est la première à réagir. D’un coup de hanches de côté, elle nous débarque du plongeoir et nous nous retrouvons au fonds de la piscine qui nous rafraichit et nous épure une nouvelle fois.
J’ai pris un pied géant et je crois que je ne suis pas le seul. Je suis sûr que nous allons passer le reste du week-end tous les cinq à jouir par tous les orifices dans toutes les configurations possibles, mais je te raconterai çà mon retour. D’ici là, imagine ce qui t’excitera le plus.

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